Vous pouvez me corriger mon expression écrite ?

Publié le 30 mars 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 6 avr. 2011 dans 13A
5

Sujet du devoir

Une nuit d’été, un homme se tenait sur une colline basse, et regardait un large panorama de forêts et de champs. Du fait que la pleine lune était accrochée bas en direction de l’ouest, il savait ce qu’il n’aurait pas pu savoir autrement : que l’aube allait bientôt arriver. Une brume légère recouvrait la terre, voilant en partie les endroits les moins élevés du paysage, mais, au-dessus, les arbres les plus grands se dessinaient avec leur masse bien définie contre le ciel clair. Deux ou trois bâtiments de ferme étaient visibles à travers la brume, mais, naturellement, il n’y avait pas de lumière aux fenêtres. Nulle part, en fait, il n’y avait de signe d’activité ou de vie, à l’exception d’un aboiement de chien au loin, […] répété d’une manière mécanique […].

Sujet : Vous écrirez la suite de l’un des débuts de nouvelles ci-dessus.
Votre texte devra :
• respecter les caractéristiques du genre fantastique ;
• être écrit au point de vue interne ;
• être cohérent avec le début du texte ;
• être écrit en français correct.

Où j'en suis dans mon devoir

alors j'ai écrit :

L'homme était intrigué par ces bâtiments de ferme tous sans vie.Il descendit de la colline où il se tenait , quand il tomba violemment et roula sur lui même jusqu'en bas de celle ci. Il se releva , regarda autour de lui , personne. Qui avait bien pu le poussé ? Avait -il tout simplement trébuché? Il reprit sa route un peu assommé mais sans plus d'inquiétude.Sur le chemin qui le conduisait jusqu'aux bâtiments, il remarqua qu'il n'y avait que des arbres et quelques corbeaux qui le regardait d'un œil effrayant. Au bout de cette allée les champs ne possédaient plus aucune culture satisfaisante. La brise commença à souffler quand l'homme fut devant la porte d'un des bâtiments. L'aboiement continu du chien avait l'air de provenir de l'intérieur. Mais quand l'homme posa sa main sur la poignée le vent se mit à souffler les graviers du sol provoquèrent de la poussière et l'homme fut projeté dans la maison comme si il avait traversé la porte sans même l'avoir ouverte. Soudain plus un bruit. Le silence prit place .
L'homme commença à avoir peur et une suer froide envahi son corps. Dans la pièce l'ombre était pesante. Il observa une petite lueur de lumière qui provenait du sous sol de la maison. Il s'y dirigea sans vraiment savoir où il marchait tellement il faisait noir. Il prit l'échelle poussiéreuse et descendit en bas quand une marche se cassa et il tomba. Il ne se redressa pas tout de suite; regarda en face de lui et remarqua que à côté de la chandelle qui éclairée tout le sous sol , se tenait une lettre. L'homme réfléchis puis cria à haute voix qu'il ne se ferait pas avoir une fois de plus. Soudain il sentit la présence de quelques chose de froid et la chandelle s'éteignit ...


Voilà c'est mon texte si il est long c'est parce que il faut faire 40 lignes. Merci de me dire si je respecte le sujet et si ça ne vous dérange pas de corriger les fautes que j'ai fait.



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 30 mars 2011
il descendit de la colline d'où il se tenait.....le pousser...des arbres remplis de corbeaux qui le regardaient
culture et satisfaisante ne vont pas ensemble
comme s'il...une sueur froide envahit...
une lueur de lumiere ne se dit pas cela fait redondance on dit une lueur
qu' a cote de la chandelle qui éclairait...réfléchit...
Anonyme
Posté le 30 mars 2011
ok merci !
Anonyme
Posté le 30 mars 2011
Merci beaucoup pour ta correction. Tu m'as bien aidé

Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte