la révolution francaise! aidez moi SVP

Publié le 21 janv. 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 28 janv. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

svp je voudrai juste un résumé sur la revolution francaise: les difficulté de la monarchie; et les temps forts de la révolution!

Où j'en suis dans mon devoir

je voudrais surtt savoir: quand ils ont ecris les doléances quel étai le probleme apres pk il se sont rassemblé dans la salle de jeu de paume



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 25 janv. 2012
Voici qui pourrait d'aider

L'année 1789 marque la fin de la monarchie absolue et de l’Ancien RégimeArticles détaillés : Préludes de la Révolution française et États généraux de 1789.La révolution juridique (mai-début juillet 1789)La campagne électorale pour l'élection des députés aux États-générauxLa réunion des États généraux a suscité de grands espoirs parmi la population française[12]. Les paysans espèrent une amélioration de leurs conditions de vie avec l'allègement, voire l'abandon des droits seigneuriaux. La bourgeoisie espère l'instauration de l'égalité en droit et l'établissement d'une monarchie parlementaire à l'anglaise[réf. souhaitée]. Elle peut compter sur le soutien d'une petite partie de la noblesse acquise aux idées nouvelles et du bas-clergé qui vit auprès du peuple et est sensible aux difficultés de celui-ci. Ceci explique l'animation du débat politique pendant l'élection des députés aux États-Généraux. Les débats portent, entre autres, sur l'organisation des États-Généraux. En effet, traditionnellement, chaque ordre élisait à peu près le même nombre de députés. Les élus de chaque ordre se réunissaient, débattaient et votaient séparément. Le résultat du vote de chaque ordre comptait pour une voix. C'était le principe du vote par ordre. De ce fait, il suffisait que les deux ordres privilégiés votent dans le même sens, celui du maintien des privilèges, et le tiers état se retrouvait en minorité.

Le tiers état demande le doublement du nombre des députés le représentant, afin que le nombre de leurs élus corresponde davantage à son poids dans la société, ainsi que le principe du vote par tête, c'est-à-dire une assemblée unique où chaque élu dispose d'une voix. Louis XVI accorde le doublement des députés du tiers état mais garde le silence sur la question du vote par ordre ou par tête.

Les députés du tiers état s'opposent au roiLe 1er mai 1789, les députés arrivent à Versailles. Alors que ceux du clergé (291) et de la noblesse (270) sont reçus en grand apparat, ceux du tiers état (584)[13] sont ignorés. Le 5 mai, le roi ouvre les États généraux. Son discours met en garde contre tout esprit d'innovation. Necker parle pendant trois longues heures, mais uniquement de questions financières. Aucune évocation des réformes politiques tant attendues n'est faite. Le pouvoir ne prend pas clairement position sur la question du vote par ordre ou par tête alors que les membres du tiers état se disaient mal représentés. Les ordres privilégiés prennent parti pour le vote par ordre. Le tiers état s'engage alors dans un processus de résistance en refusant de se réunir séparément des deux autres ordres. Au bout d'un mois de discussions et d'attente, le tiers état se décide à prendre l'initiative de vérifier les pouvoirs des députés par bailliage et sénéchaussée et non par ordre. Le 13 juin, trois curés répondent à l'appel. Le 16, ils sont dix.

Le 17 juin 1789, le tiers état et quelques membres de la noblesse et du clergé, sur proposition de l’abbé Sieyès, prennent le titre d’ « Assemblée nationale ». Le 19 juin, le clergé, qui compte une forte minorité de curés sensibles aux problèmes des paysans, décide de se joindre aux députés du tiers état pour la vérification des pouvoirs. Le 20 juin, le roi fait fermer la salle des Menus Plaisirs, lieu de réunion du tiers état. Ceux-ci se dirigent alors vers une salle de jeu de paume voisine.


Le Serment du Jeu de Paume
par Jacques-Louis DavidDans un grand enthousiasme, ils prononcent le serment du jeu de paume. Ils s’engagent à ne pas se séparer avant d’avoir donné une Constitution écrite à la France.

Le 23 juin, lors d'une séance royale, une réunion des trois ordres en présence du roi, Louis XVI ordonne aux députés de siéger en chambres séparées. Alors que les députés de la noblesse et du haut clergé obéissent et s'en vont, les députés du tiers état et ceux du bas clergé restent immobiles. Bailly, élu président en tant que doyen, lance au marquis de Dreux-Brézé venu leur demander au nom du roi de partir, cette phrase : « Allez dire à votre maître monsieur, que la Nation assemblée n'a d'ordre à recevoir de personne », à la suite de laquelle Mirabeau rajoute: « Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous ne partirons que par la puissance des baïonnettes[14]. » Face à la résistance du tiers état, soutenu par le bas clergé et une cinquantaine de nobles, le roi invite, le 27 juin les trois ordres à débattre ensemble.

L’Assemblée reprend alors immédiatement sa marche en avant. Le 9 juillet, elle se proclame Assemblée nationale constituante. Durant ces journées, l’Assemblée réalise une autre révolution décisive : beaucoup de députés, effrayés par la tournure des événements, démissionnent ; l’Assemblée déclare qu’elle tient son mandat non pas des électeurs individuellement pour chaque député, mais collectivement de la Nation tout entière. C'est la mise en application du principe de la souveraineté nationale défendu par Diderot[15].

Cette assemblée peut s’appuyer sur les espoirs de la majorité de la Nation, sur les réseaux de « patriotes ». En face, il n’y a que des ministres divisés, un gouvernement sans ressources financières et un roi velléitaire qui recule.

Anonyme
Posté le 25 janv. 2012
merci beaucouup! :d:d Dans un tableau y a un paysan sui porte une assiette avec le signe royale et a coté de lui ya le noble et le clerc ca signifie koi? merci encore

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