les limites de la monarchie absolue

Publié le 9 déc. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 20 déc. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

la politique religieuse de louis14 contre les protestants avec les conséquences de la fuite des protestants et la revolte des camisard.

Où j'en suis dans mon devoir

la vie de louis 14 avec ses maladie et ces probleme de santé. coment et quand a t-il régner.quand et t-il mort et quand et t-il nait



8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
Tu dois faire une dissertation?
Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
Les questions, c'est : "coment et quand a t-il régner.quand et t-il mort et quand et t-il nait " C'est ca ?

Alors, petite recherche sur internet et tu trouve :
Il a régné en monarque absolu (il concentrait tous les pouvoirs) à partir de 1638 jusqu'en 1715, c'est à dire pendant 54 ans.
Il est né le 5 septembre 1638, mort le 1er septembre 1715.
Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
nan ces montrez que la politique religieuse de louis 14 contre les protestants fut un échec avec les conséquence de la fuite des protestants et la révolte des camisards mercii davence!!!
Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
ces montrez que la politique religieuse de louis 14 contre les protestants fut un échec avec les conséquence de la fuite des protestants et la révolte des camisards mercii davence!!!
Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
D'accord j'ai compris, mais tu dois cependant organisé ta réponse.
D'aprés ton sujet, on voit que tu peux faire deux parties sur la politique religieuse de Louis XIV:
- politique contre les protestants
-révolte des camisards

En faisant une recherche sur Internet:
Politique vis à vis des minorités religieuses

Après la révocation de l'Édit de Nantes, le protestantisme devient interdit sur le territoire françaisPersécutions des Protestants
Le protestantisme était, à l'époque de Louis XIV, minoritaire en France, où il n'avait jamais constitué plus de 10 % de la population y compris lors des guerres de religion du XVIe siècle. L'édit, signé à Nantes le13 avril 1598 par le roi de France Henri IV, était un compromis qui laissait la liberté de culte aux protestants dans certaines limites et la possession de certaines places fortes militaires. Cette possibilité de conserver des places fortes avait été révoquée sous le règne de Louis XIII lors de la paix d'Alès en 1629.

A la cour, le parti nobiliaire protestant avait donc disparu. La conversion d'Henri IV et l'édit d'Alés l'avait affaibli et Louis XIV, en "domestiquant" la noblesse, « domestiqua » aussi la religion: bon nombre de nobles protestants, pour acquérir une charge durent se convertir à la religion du roi, le catholicisme. En effet, sur le plan symbolique, le maintien du protestantisme contredisait l'idée royale qu'Élisabeth Labrousse formule ainsi: le royaume de France ne devait être que sous le règne de l'Unique « un roi, une foi, une loi ». La révocation de l'édit de Nantes ne fut donc pas un coup de tête soudain du monarque mais le coup final porté au parti protestant en France qui, sans chefs et polémistes charismatiques, ne put résister à la propagande et aux moyens mis en place par les catholiques, qu'ils soient dévots, gallicans ou même jansénistes.

Au plan local et par des arrêts du Conseil, Louis XIV restreignit petit à petit les libertés accordées aux protestants par l'application rigide de l'édit de Nantes, jusqu’à vider le texte de sa substance. La logique fut rapidement que ce qui n'était pas autorisé par l'édit était interdit. Cela conduisit à l'interdiction de tout prosélytisme et de certains métiers pour les membres de la RPR. Avec l'arrivée au pouvoir de Le Tellier, la pression sur les protestant s'aggrava par le moyen des logements de troupes. Les protestants les plus pauvres furent soumis à partir de 1679 aux dragonnades. La radicalisation de cette politique accéléra des conversions contraintes.

Révocation l'édit de Nantes
C'est donc le versant religieux de l'édit de Nantes fut révoqué par Louis XIV le 17 octobre 1685[14] (Édit de Fontainebleau)[15], contresigné par le chancelier Michel Le Tellier. Le protestantisme est dès lors interdit sur le territoire français. Cette révocation entraîne l'exil de beaucoup de huguenots vers des pays protestants : l'Angleterre, les États protestants d'Allemagne, les cantons protestants de Suisse, les Provinces-Unies et ses colonies, comme celle du Cap. On estime à environ 200 000 le nombre d'exilés, dont beaucoup d'artisans ou de membres de la bourgeoisie. Si les récents travaux de Michel Morrineau et de Janine Garrisson ont nuancé les conséquences économiques de la révocation, l'économie ne s'effondrant pas en 1686 et la formation d'une diaspora française en Europe favorisant l'exportation ou l'essor européen de la langue française, les conséquences humaines et religieuses sont sensibles.

La révocation de l'édit de Nantes rétablit le Royaume comme exclusivement catholique, les temples sont transformés en églises ; mais chez beaucoup des protestants, l'adhésion au catholicisme reste superficielle, comme le montrent des soulèvements de protestants dans le Languedoc dont la guerre des Cévennes entre les Camisards et les troupes royales constitue le paroxysme.

Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
merci beaucoup!!!!
Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
ecq tu pourais me présenter la révolte des camisards stp!
Anonyme
Posté le 9 déc. 2010
Je t'en prie.

Oui alors tout d'abord Les Camisards étaient des protestants français (Huguenots) de la région des Cévennes, en France, qui ont mené une insurrection contre les persécutions qui ont suivi l'Édit de Fontainebleau en 1685. La Guerre des Cévennes éclate en 1702, avec les affrontements les plus importants en 1704, puis une lutte moindre jusqu'en 1710 avant une paix définitive en 1715.

La revolte:
Le meurtre de l'abbé du Chaila au Pont-de-Montvert (Gévaudan, aujourd'hui Lozère) le 24 juillet 1702 marque le début de la guerre des Camisards, nommée à l'époque guerre des Cévennes. Le 28 juillet 1702, Esprit Séguier, premier chef camisard, natif du hameau du Magistavols, commune de Cassagnas (Lozére) est arrêté. Il sera exécuté, ainsi que Moïse Bonnet et Pierre Nouvel, deux autres des probables auteurs du meurtre de l'abbé du Chaila.

Combats et exécutions vont alors s'enchaîner : meurtre de M. de Saint-Côme le 13 août 1702, combat de Champdomergue le 11 septembre 1702, bataille du vallon de Témélac le 22 octobre 1702, où Gédéon Laporte, premier chef militaire des Camisards, trouve la mort.

Le 24 décembre 1702, la troupe de Jean Cavalier met en déroute la bourgeoisie d'Alès au Mas de Cauvi; et le 27 décembre les camisards prennent Sauve.

Voilà, bon courage :)


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