Synthèse de texte

Publié le 11 oct. 2016 il y a 7A par Anonyme - Fin › 14 oct. 2016 dans 7A
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Sujet du devoir

Bonsoir, voilà j'ai un texte à synthétiser mais je n'y arrive pas du tout. Je peux mettre le lien du site si vous voulez ? 

J'ai essayé d'en faire quelque chose mais ça ne ressemble à rien... à part à de la paraphrase. Je suis nulle... j'arrive pas du tout à prendre que les informations importantes. C'est un texte sur la relation franco-algérienne de l'indépendance de l'Algérie à maintenant. 

Où j'en suis dans mon devoir

voila ce que j'ai fait

 

Au lendemain de l’indépendance algérienne, de Gaulle souhaite que la relation franco-algérienne soit « le symbole d’une nouvelle forme de coopération postcoloniale exemplaire ». Et c’est une politique qui s’est prolongé avec ces successeurs, sauf sous le gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing. Celui-ci met alors en lumière ce qu’il appelle « l’aveuglement » de la France face à sa « mauvaise conscience » lorsqu’en Algérie sous Houari Boumediene et Chadli Bendjedid, un régime autocratique et oligarchique. Mais les pensées anti-françaises n’ont pas de conséquence sur la coopération militaire des deux pays. Plus de 10 ans près l’indépendance de l’Algérie, le ministre des affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika déclare que « Les relations entre la France et l’Algérie peuvent être bonnes ou mauvaises, en aucun cas, elles ne peuvent être banales ». La relation entre Paris et Alger reste compliquée et particulière. Mais de nombreuse fois, les deux pays tentent de la rétablir. Cette instabilité n’a pourtant pas d’incidence sur les échanges économiques : la France est même le premier fournisseur de l’Algérie et son 4e partenaire commercial. En plus d’une grande présence d’algériens en France. Sous Mitterrand, un lien étroit se crée entre les deux Etats. En octobre 1981, une rencontre entre Mitterrand et Chadli Bendjedid (président 79/92) se fait. Le président dans un discours évoque alors un « nouvel ordre économique mondiale » en rapport avec le dialogue Nord-Sud. Ainsi, le 3 février 1982, un accord gazier est conclu. La France s'engage à payer le gaz algérien à un prix supérieur au cours mondial. En décembre 1982, c’est au tour de Chadli Benjedid de se déplacer. En effet, le président algérien se rend à l’Elysée, à Paris. C’est un évènement important car c’est la première visite d’un chef d’Etat algérien, depuis son indépendance. La deuxième visite se fait en novembre 1983 pour une visite d’Etat. Et pour la première fois, l’hymne national de l’Algérie se fait entendre en France mais c’est aussi la première fois qu’un président algérien ranime la flamme du soldat inconnu. Cependant, le fait que Mitterrand tente de se rapprocher du Maroc : rencontre avec à le roi du Maroc Hassan II à Ifrane ou encore ses négociations avec la Libye de Kadhafi sur le Tchad, rend les algériens perplexe ; sachant que ces déplacements ont lieu le lendemain de la signature d’un traité « d’union » entre le Maroc et la Lybie. En 1993, Mitterrand prend des distances avec l’Algérie suite à la répression de 1988 en Algérie des émeutes. En décembre 1992, des élections législatives pluralistes sont, pour la première fois, organisées en Algérie. Le Front islamique du salut obtient 47% des voix au premier tour. L'armée décide alors d'interrompre le processus électoral et de limoger le président Chadli. Le chef de l'Etat français juge "pour le moins anormale" cette interruption du processus démocratique. Alger rappelle alors son ambassadeur en France. Il faudra un an pour que Roland Dumas, qui se rend à Alger en janvier 1993, amorce une reprise du dialogue. 

C'est aussi le début de la décennie noire en Algérie. Les attentats se multiplient, la violence devient paroxystique. La communauté française en Algérie est également visée, puis le territoire français. Paris proclame son soutien au gouvernement algérien. Mais les décideurs français ne sont pas toujours d’accord. Les années Balladur sont caractérisées un mélange d'immobilisme et désordre. François Mitterrand conserve une certaine influence sur la diplomatie française. Alain Juppé, au Quai d'Orsay tient d'abord un discours très anti-islamiste avant de prôner l'ouverture d'un dialogue avec ceux qui déposent leurs armes. Tandis qu'une partie de la presse se demande dans quelle mesure certains groupes islamistes ne sont pas manipulés par les autorités algériennes, accusées d'utiliser la violence islamiste pour s'assurer du soutien des pays occidentaux et notamment de la France. La diplomatie française ignore en tous cas complètement en 1995 les accords de Sant'Egidio qui propose pourtant pour la première fois une plate-forme politique élaborée par l'ensemble des forces non gouvernementale dont le Front islamique du salut. L’arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en 1999 n’aide pas les relations franco-algériennes. Mais l’idée d’une politique de « concorde civile » quelques mois plus tard, permet de renouer le dialogue. Le président Bouteflika souhaite réaffirmer l’Algérie sur le plan internationale. Il se déplace à Paris en visite d'Etat en juin 2000. Avant cette venue, l'Assemblée nationale reconnait les "évènements" d'Algérie en tant que guerre. Bouteflika s'adresse ainsi lors de sa visite aux députés français. Il confirme son désir de paix avec la France. En mars 2003, Jacques Chirac est à Alger. Une visite en grande pompe marquée par la signature d'une "déclaration" dans laquelle les deux pays s'engagent à établir un "partenariat d'exception". Le président français envisage un traité d'amitié. 

Cependant, en février 2005, le Parlement français adopte une loi qui reconnaît le rôle positif de la colonisation. L’article est annulé un an plus tard mais ceciPour l'Algérie, c'est une provocation. Certes, l'article litigieux sera abrogé par le président Chirac un an plus tard, mais cette loi portant "reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés" incite les Algériens à se lancer dans une campagne visant à obtenir la "repentance" de la France pour la période coloniale. Le traité d'amitié auquel tenait temps Jacques Chirac est enterré. Nicolas Sarkozy, qui se rend à se tour à Alger en 2007, évoque le caractère "injuste" de la colonisation mais se refuse à adresser à l'Algérie les "excuses" demandées. Les deux pays signent une "convention de partenariat" qui organise la coopération dans plusieurs domaines. Un "traité simplifié" qui a le mérite d'être concret mais qui ne change pas la donne politique. Et les Algériens ont dès l'année suivante un nouveau motif de crispation: l'arrestation en 2008 à Marseille d'un diplomate algérien (acquitté depuis) dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat en plein Paris en 1987 de l'opposant Ali Mecili. A cela s'ajoute les pressions de Paris pour une révision des accords sur l'immigration et l'inscription de l'Algérie sur la liste des pays "à risques" dont les ressortissants doivent être signalés à la police lorsqu'ils réservent un billet pour la France. Initialement prévue en 2010, la visite du président algérien en France ne cesse d'être ajournée. Elle n'aura en fait jamais lieu. Vient la question de la mémoire "inévitable" pour François Hollande

François Hollande entend « refonder » la relation franco-algérienne. Il choisit donc de réserver sa première visite au Maghreb à l'Algérie, où il est attendu ce 19 décembre pour une visite de deux jours. Les Marocains ont bien un peu tiqué mais les Français leur ont expliqué qu'il était normal de commencer par l'étape la plus délicate, tout en leur rappelant que le roi Mohammed VI avait été le premier chef d'Etat étranger reçu à l'Elysée après l'élection du chef de l'Etat. Afin de préparer le terrain, le chef de l'Etat a fait un geste en reconnaissant publiquement que des Algériens qui manifestaient le 17 octobre 1961 pour l'indépendance de leur pays « avaient été tués lors d'une sanglante répression » et en rendant hommage à leur mémoire. L'initiative est jugée positive mais insuffisante pas l'Algérie. Quelques semaines plus tard, l e ministre algérien des affaires étrangères Mourad Medelci prévient: la question de la mémoire et du passé colonial sera « inévitable » lors de la visite du président français en Algérie. Le « peuple algérien » attend des « clarifications ».

En réalité, le « peuple algérien » aspire surtout à une vie plus décente ce qui passe, pour l'essentiel, par l'emploi et le logement. François Hollande devra cependant tenir compte de cette rhétorique s'il veut favoriser une embellie entre Paris et Alger. Or telle est bien l'ambition affichée. En visite en Algérie en juillet 2012, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius évoquait un futur « partenariat de grande dimension ». François Hollande songerait même à reprendre à son compte l'idée d'un « traité d'amitié ». De plus dans son discours aux invalides du 25 septembre 2016, le président français a reconnu les responsabilités de la France dans l'abandon des harkis, ces soldats enrôlés par Paris pendant la guerre d'Algérie. Des paroles lors d'un discours prononcé à l'occasion d'une journée d'hommage national qui n'ont toutefois pas eu beaucoup d'écho sur place, en Algérie.




14 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 11 oct. 2016

UP Les notions importantes sont celles qui marque, textes, sans lesquelles ton  texte perd son sens et son apport de connaissances.

Par exemple, des faits importants, des dates ou l'action ou les actions  de certains personnages.

 

 

POUR SAISIR les bonnes infos, n'hésite pas à surligner, et lire à haute voie.

 

Le principe de la synthèse n'est pas de recopier, c'est de résumer avec ses propres mots, tout en s'appliquant à placer les notions et mots clés, et à les connaître. Ne t'impose pas de limite de lignes, il vaut mieux (trop que pas assez ;) )avoir un texte complet, qui te parle à toi pour se souvenir des notions et points importants du cours, plutôt que de se limiter et se bloquer dans son analyse synthétique.

Bonne soirée et Bonne Chance !!

Anonyme
Posté le 11 oct. 2016

Oui je vois mais je comprends pas comment on est censé savoir ce qui est important ? :/ Pour moi tout ce qu'il y a dans l'article est super important 

 

merci de ta réponse ! Et bonne soirée à toi aussi

Anonyme
Posté le 12 oct. 2016

bien joué

willffy
willffy
Posté le 11 oct. 2016

Beaucoup trop long pour une synthèse.

 

Au lendemain de l’indépendance algérienne, de Gaulle souhaite que la relation franco-algérienne soit « le symbole d’une nouvelle forme de coopération postcoloniale exemplaire ». Et c’est une politique qui s’est prolongé avec ces successeurs, sauf sous le gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing. Celui-ci met alors en lumière ce qu’il appelle « l’aveuglement » de la France face à sa « mauvaise conscience » lorsqu’en Algérie sous Houari Boumediene et Chadli Bendjedid, un régime autocratique et oligarchique. Mais les pensées anti-françaises n’ont pas de conséquence sur la coopération militaire des deux pays. Plus de 10 ans près l’indépendance de l’Algérie, le ministre des affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika déclare que « Les relations entre la France et l’Algérie peuvent être bonnes ou mauvaises, en aucun cas, elles ne peuvent être banales ». La relation entre Paris et Alger reste compliquée et particulière. Mais de nombreuse fois, les deux pays tentent de la rétablir. Cette instabilité n’a pourtant pas d’incidence sur les échanges économiques : la France est même le premier fournisseur de l’Algérie et son 4e partenaire commercial. En plus d’une grande présence d’algériens en France.

Et tu abordes très rapidement les difficultés de la coopération ..

 

Anonyme
Posté le 11 oct. 2016

Ah la la c'est beaucoup plus compliqué que je ne le pensais. Merci pour ton aide en cas ! 

Anonyme
Posté le 12 oct. 2016

ok je te suis

willffy
willffy
Posté le 11 oct. 2016

Pour une synthèse , tu n'es pas obligé de suivre l'ordre du texte.

Coopération politique

Coopération économique

Coopération migratoire

 

Les désaccords

 

La repentance française

L'avenir?

 

Anonyme
Posté le 11 oct. 2016

j'ai beaucoup de mal à me défaire du texte. C'est grave si je suis le développement du texte ? 

Anonyme
Posté le 12 oct. 2016

bravo

Anonyme
Posté le 11 oct. 2016

Merci à tous pour votre aide. J'ai essayé de me détacher du texte mais j'ai encore (beaucoup de) du mal. Voilà ce que ça donne maintenant... je sais, il y a encore du travail :/ 

Au lendemain de l’indépendance algérienne, de Gaulle souhaite améliorer la relation franco-algérienne. Et c’est une politique qui est reprise par ses successeurs, sauf sous le gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing. Celui-ci met alors en lumière ce qu’il appelle « l’aveuglement » de la France face à sa « mauvaise conscience » lorsqu’en Algérie sous Houari Boumediene et Chadli Bendjedid, un régime autocratique et oligarchique. Plus de 10 ans près l’indépendance de l’Algérie, le ministre des affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika déclare que « Les relations entre la France et l’Algérie peuvent être bonnes ou mauvaises, en aucun cas, elles ne peuvent être banales ». La relation entre Paris et Alger reste compliquée et particulière. Mais de nombreuse fois, les deux pays tentent de la rétablir. Cette instabilité n’a pourtant pas d’incidence sur les échanges économiques : la France est même le premier fournisseur de l’Algérie et son 4e partenaire commercial. En plus d’une grande présence d’algériens en France. Sous Mitterrand, un lien étroit se crée entre les deux Etats. En octobre 1981, une rencontre entre Mitterrand et Chadli Bendjedid (président 79/92) se fait. Ainsi, le 3 février 1982, un accord gazier est conclu. La France s'engage à payer le gaz algérien à un prix supérieur au cours mondial. Le président algérien se rend même sur le sol français en décembre 1982 ; ce qui est la première visite d’un président algérien en France. Cependant Mitterrand prend des distances avec l’Algérie suite à la répression de 1988 en Algérie des émeutes. Lors des élections, l'armée décide alors d'interrompre le processus électoral et de faire partir le président Chadli. La France est contre ce procédé. Un an plus tard, c’est Roland Dumas, qui se rend à Alger en janvier 1993 à fin de tenter un rapprochement. C'est aussi le début de la décennie noire en Algérie. Les attentats se multiplient. La communauté française en Algérie est également visée, puis le territoire français. Paris proclame son soutien au gouvernement algérien.

L’arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en 1999, celui-ci souhaite réaffirmer l’Algérie sur le plan internationale. Il se déplace à Paris en visite d'Etat en juin 2000. Avant cette venue, l'Assemblée nationale reconnait les « évènements » d'Algérie en tant que guerre. Bouteflika ainsi confirme son désir de paix avec la France. En mars 2003, Jacques Chirac est à Alger pour la signature d'une « déclaration » dans laquelle les deux pays s'engagent à établir un « partenariat d'exception ». Le président français envisage un traité d'amitié. Cependant, en février 2005, le Parlement français adopte une loi qui reconnaît le rôle positif de la colonisation. L’article est annulé un an plus tard mais pour l'Algérie, c'est une provocation. Le traité d'amitié est annulé. En 2007, c’est Nicolas Sarkozy qui se rend à Alger. Celui-ci mentionne l’injustice de la colonisation mais ne fait pas d’excuses. Une « convention de partenariat » est tout de même signée. En 2010, la visite du président finit par être annulé à la suite des accords sur l'immigration et l'inscription de l'Algérie sur la liste des pays à risques. Vient la question de la mémoire "inévitable" pour François Hollande. Celui-ci entend « refonder » la relation franco-algérienne. Il choisit donc de réserver sa première visite au Maghreb à l'Algérie, où il est attendu le 19 décembre 2012. Le président reconnait alors publiquement que les manifestants du 17 octobre 1961, partisans de l’indépendance de leur pays ont été massacrés. Mais ceci n’est pas suffisant pour les algériens.  Quelques semaines plus tard, le ministre algérien des affaires étrangères, Mourad Medelci affirme que la mémoire et le passé colonial devra être clarifié lors d’une prochaine visite. L’idée d’un  « traité d'amitié » refait surface. Dernièrement, le 25 septembre 2016, dans son discours aux invalides, le président français reconnait les responsabilités de la France dans l'abandon des harkis, ces soldats enrôlés par Paris pendant la guerre d'Algérie. Des paroles lors d'un discours prononcé à l'occasion d'une journée d'hommage national qui n'ont toutefois pas eu beaucoup d'écho sur place, en Algérie.

 

 

 

 

Anonyme
Posté le 12 oct. 2016

dacor

willffy
willffy
Posté le 11 oct. 2016

Au lendemain de l’indépendance algérienne, de Gaulle souhaite améliorer la relation franco-algérienne. Et c’est une politique qui est reprise par ses successeurs, sauf sous le gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing,  lorsque Houari Boumediene et Chadli Bendjedid mettent en place  , un régime autocratique et oligarchique. . La relation entre Paris et Alger reste compliquée et particulière. Mais de nombreuse fois, les deux pays tentent de la rétablir. Cette instabilité n’a pourtant pas d’incidence sur les échanges économiques : la France est même le premier fournisseur de l’Algérie et son 4e partenaire commercial, elle accueille de nombreux émigrés algériens.  . Sous Mitterrand, un lien étroit se crée entre les deux Etats. Ainsi, le 3 février 1982, un accord gazier est conclu. La France s'engage à payer le gaz algérien à un prix supérieur au cours mondial.  En décembre 1982,   première visite d’un président algérien en France. Cependant Mitterrand prend des distances avec l’Algérie suite à la répression de 1988 . Lors des élections, l'armée décide alors d'interrompre le processus électoral et de faire partir le président Chadli.  Un an plus tard, c’est Roland Dumas, qui se rend à Alger en janvier 1993 à fin de tenter un rapprochement. C'est le début de la décennie noire en Algérie. Les attentats se multiplient. La communauté française en Algérie est visée, puis le territoire français. Paris proclame son soutien au gouvernement algérien.

L’arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en 1999, celui-ci souhaite réaffirmer l’Algérie sur le plan internationale. Il se déplace à Paris en visite d'Etat en juin 2000. Avant cette venue, l'Assemblée nationale reconnait les « évènements » d'Algérie en tant que guerre. Bouteflika ainsi confirme son désir de paix avec la France. En mars 2003, Jacques Chirac envisage un traité d'amitié.

 

  En février 2005, le Parlement français adopte une loi qui reconnaît le rôle positif de la colonisation. L’article est annulé un an plus tard mais pour l'Algérie, c'est une provocation. Le traité d'amitié est annulé. En 2007, c’est Nicolas Sarkozy qui se rend à Alger. Celui-ci mentionne l’injustice de la colonisation mais ne fait pas d’excuses. Une « convention de partenariat » est tout de même signée.

Résume cette partie , c'est trop long

En 2010, inscription de l'Algérie sur la liste des pays à risques.  François Hollande entend « refonder » la relation franco-algérienne en 2012. Le président reconnait alors publiquement les massacres de 1961.    Ceci n’est pas suffisant pour les algériens.   Mourad Medelci affirme que la mémoire et le passé colonial devra être clarifié lors d’une prochaine visite. L’idée d’un  « traité d'amitié » refait surface. Dernièrement, le 25 septembre 2016, dans son discours aux invalides, le président français reconnait les responsabilités de la France dans l'abandon des harkis. 

J'ai encore un peu raccourci.

 

 

 

 

Anonyme
Posté le 12 oct. 2016

ah ok

Anonyme
Posté le 11 oct. 2016

je ne pourais pas lire tous sa dsl


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