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Sujet du devoir
bonjour a tous ,Voici mon travail
je dois expliquer la vie et le travail des mineurs DANS UN PARAGRAPHE ARGUMENTER !!!
AVEC BIEN-SUR L'INTRODUCTION
JE NE SAIS PAS KOI mettre dans l'intro
on DOIT UTILISER CE VOCABULAIRE IMPORTANT :
-geules noires,conditions de travail,conditions de vie,Nord de la France,terril,chevauchement,fosse,puit,voie ferrée,charbon,soicietes industrielles,lampisterie,grisou,berline,amendes,coron,courrieres(1906),maison syndicales
Où j'en suis dans mon devoir
Voici ce que j'ai fait svp NE CORRIGER PAS LES FAUTES D'ORTOGRAPHE J'AI FAIT EXPRES POUR ALLER PLUS VITE:Les mineurs commencait des l'aube et terminer tard dans la soirée les conditions de travail n'eatait pas sécuriser on les appelaient les geukles noirs car ils etaient taches de charbon sur la peau
Les charbonnages du Cosson, pres de liege en belgique en nord -de-la france vers 1900 ont fait leur appratition
Il n'y avait pas beaucoup de confort
Les chevaux etais la pour aider les mineurs les chevaux transportait le charbon a force de rester dans le noir ils devenaient aveugles.
Les femmes triant le cgarbon.
Les mineurs devait prendre l'acenseur pour desendre au puit.
3 commentaires pour ce devoir
et quand tu auras fini, remercie les aides et ferme ta demande. Merci
merci !!
Ils ont besoin d'aide !
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alors tu n'as rien trouvé sur le net ? Moi j'ai simplement tapé "la vie des mineurs dans le charbon", j'ai sélectionné un site et j'ai trouvé cela !!! Il faut apprendre à chercher dans la vie, surtout quand on est de la génération internet, nous, élèves nous n'avions qu'un vieux dictionnaire, et ni télé ni internet, mais qu'est-ce que cela nous a reendus dégourdis !!!
"L'histoire
Le bassin minier du Nord de la France, qui s'étend de Béthune dans le Pas de Calais en passant par Lens, Douai, Cambrai, Valenciennes jusqu'en Belgique, a fait vivre énormément de familles du Nord de la France mais aussi de toute l'Europe. Les contingents comptaient même des ouvriers des pays Africains venus travailler pour faire vivre leurs familles restées au pays.
Pendant longtemps, le mineur qui commençait à travailler à la mine à l'âge de huit ans, n'allait pas beaucoup à l'école et, travaillant avec des mineurs venus de tous horizons, a développé un dialecte (parlé uniquement) dont il reste quelque mots aujourd'hui, qui appelle le Ch'ti ou le rouchi. Des passionnés des dialectes des mineurs ayant voulu créer un dictionnaire ont recensé un dialecte différent par mine.
Chevalet de mine
Vue d'en bas vers le haut. Mine Ledoux de Condé sur l'Escaut
© ZOTHOP
ZOTHOP
Chevalet de mine
L'un des rares chevalets de mine encore debout dans le Nord de la France. Fosse Ledoux à Condé sur l'Escaut. Cet édifice servait à faire descendre les mineurs au fond de la mine et de les remonter et remonter le charbon grâce à un ascenseur.\nPour donner une idée de la taille de l'édifice, les pieds en béton à gauche sont à peu près de la taille d'un homme.
© ZOTHOP
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Chevalet de mine
Vue d'en bas de la longue tour de métal dans laquelle la cabine d'ascenseur montait ou descendait. Fosse Ledoux de Condé sur l'Escaut.\nLe chevalet d'une mine permettait aux mineurs de descendre dans la mine et de remonter grâce à un ascenseur.
© ZOTHOP
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Dans le Nord de la France on exploite la mine depuis le 3 février 1720, date à laquelle les première veines de charbon ont été découvert dans la ville de Fresnes-sur-l'Escaut. Jusqu'au 19ème siècle, les mineurs descendaient au fond de la mine grâce à des échelles et remontaient , par ces mêmes échelles, avec sur leur dos des paniers remplis de charbon. Le travail était pénible.
Mais l'arrivée des machines au 19ème siècle a rendu la descente moins dure grâce à l'invention des chevalets en métal et des ascenseurs qui permettait de descendre et remonter des hommes mais aussi des berlines, ces fameux wagons remplis de charbons poussés par des hommes ou tractées par des chevaux très puissants. Ces pauvres chevaux descendaient au fond de la mine pour ne plus jamais en sortir de leur vie.
La vie du mineur
Le mineur vivait avec sa famille dans une cité appelée coron où les maisons se ressemblent toutes. Il était logé, chauffé, soigné gratuitement. Mais si il démissionnait, il perdait tous ces avantages et se retrouvait à la rue. Le coron était tenu par un garde qui veillait à ce que les ruisseaux et les maisons soient bien entretenues sous peine d'amendes ou de retrait des primes du mineurs fautif.
Il travaillait soit l'après midi, soit le matin soit la nuit. Avant de descendre, il allait dans la sale des pendus pour y décrocher sa tenue, accrochée au plafond à l'aide d'une corde ( casque, tenue et bottes) et il allait percevoir ses outils et sa lampe, indispensable pour voir clair dans l'obscurité de la mine.
Sa journée de travail était beaucoup moins pénible que la journée dans une usine aux dires de mineurs ayant quitter la mine pour aller travailler à l'usine et regrettant leur choix. Mais le travail se faisait dans des conditions assez dures, poussières, bruits, manque d'air, effondrements, explosions. Il ressortait de la mine avec les mains et le visage noircis par les poussières et le charbon d'où le nom de « gueule noire »"