Inventer une scène de théâtre

Publié le 5 avr. 2014 il y a 10A par Anonyme - Fin › 11 avr. 2014 dans 10A
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Sujet du devoir

Inventer une scène de théâtre sur le thème DE VOYAGE de 8 Personnes !!

Merci de m'aider ! Je ne sais pas quoi faire !

Où j'en suis dans mon devoir

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6 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 5 avr. 2014

Donc 8 personnages?

La scène pourrait se passer dans un avion, des gens qui prennent l'avion pour la 1° fois.

Anonyme
Posté le 5 avr. 2014

L'idée de l'avion est pas mal. Sinon, tu pourrais aussi prendre le thème de touriste mécontent lors d'une visite ou se plaignant à une agence quelconque. Commence écrire les grandes lignes de ton histoire. Il y a peut être 8 personnages mais certains  peuvent être secondaires voire inutile. Ensuite caractérisent chaque personnages ( caractère). Je te conseille de faire un truc un peu comique ( pour le côté fun ! :3) . N'oublie de poser le contexte au début, de rajouter des didascalies pour donner un peu de mouvement à la pièce

 

en espérant t'avoir aidé ! :D

Anonyme
Posté le 5 avr. 2014

bonjour,

tu peux inventer cette pièce de théâtre c'est bien sur un exemple pour te montrer comment tu peux construire une pièce de théâtre!!!

LE VOYAGE


DE


MONSIEUR DE PERRICHON


COMÉDIE


EN QUATRE ACTES


représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre du Gymnase, le 10 septembre 1860.

 

COLLABORATEURS : M. E. MARTIN


PERSONNAGES

Perrichon

Le Commandant Mathieu

Majorin

Armand Desroches

Daniel Savary

Joseph, domestique du commandant

Jean, domestique de Perrichon

Madame Perrichon

Henriette, sa fille

Un Aubergiste

Un Guide

Un Employé de chemin de fer

Commissionnaires

Voyageurs


ACTE PREMIER
La gare du chemin de fer de Lyon, à Paris. Au fond, barrière ouvrant sur les salles d’attente. Au fond, à droite, guichet pour les billets. Au fond, à gauche, bancs, marchande de gâteaux ; à gauche, marchande de livres.

Scène Première
Majorin, un employé du chemin de fer, Voyageurs, Commissionnaires


Majorin, se promenant avec impatience

Ce Perrichon n’arrive pas ! Voilà une heure que je l’attends… C’est pourtant bien aujourd’hui qu’il doit partir pour la Suisse avec sa femme et sa fille… (Avec amertume.) Des carrossiers qui vont en Suisse ! des carrossiers qui ont quarante mille livres de rente ! des carrossiers qui ont voiture ! Quel siècle ! Tandis que, moi, je gagne deux mille quatre cents francs… un employé laborieux, intelligent, toujours courbé sur son bureau… Aujourd’hui j’ai demandé un congé… j’ai dit que j’étais de garde. Il faut absolument que je voie Perrichon avant son départ… je veux le prier de m’avancer mon trimestre… six cents francs ! Il va prendre son air protecteur… faire l’important !… un carrossier ! ça fait pitié ! Il n’arrive toujours pas ! on dirait qu’il le fait exprès ! (S’adressant à un facteur qui passe suivi de voyageurs.) Monsieur, à quelle heure part le train direct pour Lyon ?…

Le Facteur, brusquement

Demandez à l’employé.
Il sort par la gauche.

Majorin

Merci… manant ! (S’adressant à l’employé qui est près du guichet.) Monsieur, à quelle heure part le train direct pour Lyon ?…

L’employé, brusquement

Ça ne me regarde pas ! voyez l’affiche.
Il désigne une affiche à la cantonade à gauche.

Majorin

Merci… (À part.) Ils sont polis dans ces administrations ! Si jamais tu viens à mon bureau, toi !… Voyons l’affiche…
Il sort par la gauche.

Scène II
L’Employé, Perrichon, Madame Perrichon, Henriette

Ils entrent par la droite.

Perrichon

Par ici !… ne nous quittons pas ! nous ne pourrions plus nous retrouver… Où sont nos bagages ?… (Regardant à droite ; à la cantonade.) Ah très bien ! Qui est-ce qui a les parapluies ?…

Henriette

Moi, papa.

Perrichon

Et le sac de nuit ?… les manteaux ?…

Madame Perrichon

Les voici !

Perrichon

Et mon panama ?… Il est resté dans le fiacre ! (Faisant un mouvement pour sortir et s’arrêtant.) Ah ! non ! je l’ai à la main !… Dieu, que j’ai chaud !

Madame Perrichon

C’est ta faute !… tu nous presses, tu nous bouscules !… je n’aime pas à voyager comme ça !

Perrichon
C’est le départ qui est laborieux…une fois que nous serons casés !… Restez là, je vais prendre les billets… (Donnant son chapeau à Henriette.) Tiens, garde-moi mon panama… (Au guichet.) Trois premières pour Lyon !…

L’employé, brusquement

Ce n’est pas ouvert ! Dans un quart d’heure !

Perrichon, à l’employé

Ah ! pardon ! c’est la première fois que je voyage… (Revenant à sa femme.) Nous sommes en avance.

Madame Perrichon

Là ! quand je te disais que nous avions le temps… Tu ne nous as pas laissés déjeuner !

Perrichon

Il vaut mieux être en avance !… on examine la gare ! (À Henriette.) Eh bien, petite fille, es-tu contente ?… Nous voilà partis !… encore quelques minutes, et, rapides comme la flèche de Guillaume Tell, nous nous élancerons vers les Alpes ! (À sa femme.) Tu as pris la lorgnette ?

Madame Perrichon

Mais oui !

Henriette, à son père

Sans reproches, voilà au moins deux ans que tu nous promets ce voyage.

Perrichon

Ma fille, il fallait que j’eusse vendu mon fonds… Un commerçant ne se retire pas aussi facilement des affaires qu’une petite fille de son pensionnat !… D’ailleurs, j’attendais que ton éducation fût terminée pour la compléter en faisant rayonner devant toi le grand spectacle de la nature !

Madame Perrichon

Ah çà ! est-ce que vous allez continuer comme ça ?…

Perrichon

Quoi ?…

Madame Perrichon

Vous faites des phrases dans une gare !

Perrichon

Je ne fais de phrases… j’élève les idées de l’enfant. (Tirant de sa poche un petit carnet.) Tiens, ma fille, voici un carnet que j’ai acheté pour toi.

Henriette

Pour quoi faire ?…

Perrichon

Pour écrire d’un côté la dépense, et de l’autre les impressions.

Henriette

Quelles impressions ?…

Perrichon

Nos impressions de voyage ! Tu écriras, et moi je dicterai.

Madame Perrichon

Comment ! Vous allez vous faire auteur à présent ?

Perrichon

Il ne s’agit pas de me faire auteur… mais il me semble qu’un homme du monde peut avoir des pensées et les recueillir sur un carnet !

Madame Perrichon

Ce sera bien joli !

Perrichon, à part.

Elle est comme ça, chaque fois qu’elle n’a pas pris son café !

Un Facteur, poussant un petit chariot chargé de bagages
Monsieur, voici vos bagages. Voulez-vous les faire enregistrer ?…

Perrichon

Certainement ! Mais, auparavant, je vais les compter… parce que, quand on sait son compte… Un, deux, trois, quatre, cinq, six, ma femme, sept, ma fille, huit, et moi, neuf. Nous sommes neuf.

Le Facteur

Enlevez !

Perrichon, courant vers le fond

Dépêchons-nous !

Le Facteur

Pas par là, c’est par ici !

Il indique la gauche.

Perrichon

Ah ! très bien ! (Aux femmes.) Attendez-moi là !… ne nous perdons pas !

Il sort en courant, suivant le facteur.

Scène III
Madame Perrichon, Henriette ; puis Daniel


Henriette

Pauvre père ! quelle peine il se donne !

Madame Perrichon

Il est comme un ahuri !

Daniel, entrant suivi d’un commissionnaire qui porte sa malle.

Je ne sais pas encore où je vais, attendez ! (Apercevant Henriette.) C’est elle ! je ne me suis pas trompé !
Il salue Henriette, qui lui rend son salut.

Madame Perrichon, à sa fille

Quel est ce monsieur ?…

Henriette

C’est un jeune homme qui m’a fait danser la semaine dernière au bal du huitième arrondissement.

Madame Perrichon, vivement

Un danseur !

Elle salue Daniel.

Daniel

Madame !… mademoiselle !… je bénis le hasard… Ces dames vont partir ?…

Madame Perrichon

Oui, monsieur !

Daniel

Ces dames vont à Marseille, sans doute ?…

Madame Perrichon

Non, monsieur.

Daniel

À Nice, peut-être ?…

Madame Perrichon

Non, monsieur !

Daniel

Pardon, madame… je croyais… si mes services…

Le Facteur, à Daniel

Bourgeois ! vous n’avez que le temps pour vos bagages.

Daniel

C’est juste ! allons ! (À part.) J’aurais voulu savoir où elles vont… avant de prendre mon billet… (Saluant.) Madame… mademoiselle… (À part.) Elles partent, c’est le principal !

Il sort par la gauche.

Scène IV
Madame Perrichon, Henriette ; puis Armand


Madame Perrichon

Il est très bien, ce jeune homme !

Armand, tenant un sac de nuit

Portez ma malle aux bagages… je vous rejoins ! (Apercevant Henriette.) C’est elle !

Ils se saluent.

Madame Perrichon

Quel est ce monsieur ?…

Henriette

C’est encore un jeune homme qui m’a fait danser au bal du huitième arrondissement.

Madame Perrichon

Ah çà ! ils se sont donc tous donné rendez-vous ici ?… N’importe, c’est un danseur ! (Saluant.) Monsieur…

Armand

Madame… mademoiselle.. je bénis le hasard… Ces dames vont partir ?

Madame Perrichon

Oui, monsieur.

Armand

Ces dames vont à Marseille, sans doute ?…

Madame Perrichon
Non, monsieur.

Armand

À Nice, peut-être ?…

Madame Perrichon, à part.

Tiens, comme l’autre. (Haut.) Non, monsieur !

Armand

Pardon, madame, je croyais… Si mes services…

Madame Perrichon, à part.

Après ça, ils sont du même arrondissement.

Armand, à part.

Je ne suis pas plus avancé… je vais faire enregistrer ma malle… je reviendrai ! (Saluant.) Madame… mademoiselle…

Scène IV
Madame Perrichon, Henriette, Majorin ; puis Perrichon


Madame Perrichon

Il est très bien, ce jeune homme !… Mais que fait ton père ? Les jambes me rentrent dans le corps !

Majorin, entrant par la gauche

Je me suis trompé, ce train ne part que dans une heure !

Henriette

Tiens, monsieur Majorin !

Majorin, part
Enfin, les voici !

Madame Perrichon

Vous ! comment n’êtes-vous pas à votre bureau ?…

Majorin

J’ai demandé un congé, belle dame ; je ne voulais pas vous laisser partir sans vous faire mes adieux !

Madame Perrichon

Comment ! c’est pour cela que vous êtes venu ! Ah ! que c’est aimable !

Majorin

Mais, je ne vois pas Perrichon !

Henriette

Papa s’occupe des bagages.

Perrichon, entrant en courant ; à la cantonade

Les billets d’abord ! très bien !

Majorin

Ah ! le voici ! Bonjour, cher ami !

Perrichon, très pressé

Ah ! c’est toi ! tu es bien gentil d’être venu !… Pardon, il faut que je prenne mes billets !

Il le quitte.

Majorin, à part.

Il est poli !

Perrichon, à l’employé au guichet

Monsieur, on ne veut pas enregistrer mes bagages avant que j’aie pris mes billets…

L’employé

Ce n’est pas ouvert ! attendez !

Perrichon
« Attendez ! » et là-bas, ils m’ont dit : « Dépêchez-vous ! » (S’essuyant le front.) Je suis en nage !

Madame Perrichon

Et moi, je ne tiens plus sur mes jambes !

Perrichon

Eh bien, asseyez-vous. (Indiquant le fond à gauche.) Voilà des bancs… Vous êtes bonnes de rester plantées là comme deux factionnaires.

Madame Perrichon

C’est toi-même qui nous a dit : « Restez là ! » Tu n’en finis pas ! tu es insupportable !

Perrichon

Voyons, Caroline !

Madame Perrichon

Ton voyage ! j’en ai déjà assez !

Perrichon

On voit bien que tu n’as pas pris ton café ! Tiens, va t’asseoir !

Madame Perrichon

Oui, mais dépêche-toi !

Elle va s’asseoir avec Henriette.

voici un exemple d'une pièce de théâtre!!

bon courage pour la suite

à bientôt!!

Hannah

 

 

 

 

 

Anonyme
Posté le 11 avr. 2014

regarde le film la classe volante, a la fin, les élèves de la classe du film font un spectacle, marrant

C'est la classe qui va parler d'abord à St Pierre, ensuite ils vont ne égypte...

Anonyme
Posté le 11 avr. 2014

aide toi de l'avion qui a disparu un couple qui prend l'avion sans passeport et qui prend le controle de l'avion 8 survivant quand l'avion se crache

Anonyme
Posté le 11 avr. 2014

un départ en voyage vers le canada

voila c'est un groupe qui fond appel a une agence pour tous organisez. l’emblème de l’agence c'est partir en vacance la tété vide sans se préoccuper des papier et de savoir ou dormir ou koi visite 

1) rencontre avec les voyageurs alors il y a plusieurs nationalités un couple de français avec 2 enfant de 14 ans et 11 ans ,puis une portugaise de 20ans qui mélange toute la langue et un autres couple avec 1 enfant de 15.

couple français les parent Monique et jp les enfant Edouard et valentin ils sont plein de bétises et d'humour.la portugaise raphie très drôle et pleine d'humour et l'autre couple très bcg leur fils Corentin il se rencontre le 1 jour avec l'agence domique se présente je vais vous faire visite le pays le plus beau le Quebec ne vous soucier de rien je suis parfait

raphie/ben quel drôle se Dominique vous vous dites parfait hihi

Dominique/demain nous partirons je viendrais vous cherchez chez vous a 8 h pas de question 

(et n'oublier pas le maillot et les ski) raphie ben la si il neige vous me perdrais pas car je suis couloré

le couple bourgeois la mère :non je ne peux pas voyons se mélanger comme cela avec des gens de couleur et des enfants de 15 ou lala ma fille va se de convertir

Monique a bon vous croie que mes enfants ne sont point éduquer puis votre fille s’appelle Corentin c'est un garçon

la bourgeoise non ouvrez les yeux

edouard répons super j'en ferais mon affaire hihi

dominique a demain pur le départ en avions 


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