Creer un sonnet

Publié le 1 mai 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 2 mai 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

Je doit créer un sonnet contenant au moins une comparaisons mais je n'ai pas d’idée et je dois le finir aujourd'hui c'est vraiment urgent aider moi

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai réfléchi au sujet mais je n'est pas du tout d'inspiration



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 mai 2011
un sonnet comporte 2 quatrain et 2 tercet
Musique


Mille notes s’envolent
Vers la voûte céleste
J’entends do si la sol
Qui sonnent dans ma tête

Cette musique danse
Telle une courtisane
Entourée de fragrance
Et de robes diaphanes

Chantez la mélodie
C’est l’heure des cigales
Dansez toute la nuit

Jouez la symphonie
Agitez les timbales
Chassez la nostalgie !
Anonyme
Posté le 1 mai 2011
Je sait ce que c'est un sonnet mais l'inspiration ne me vient pas
Anonyme
Posté le 1 mai 2011

Retrouvons la chaleur des lendemains passés
Quand les vents du printemps caressaient nos envies
Nous l'ignorions alors mais nous étions en vie
Légers sereins et beaux, fragiles et racés

Nos paumes imprégnées de rosée matinale
Nous pouvions- le sais tu ?- rêver notre destin
Et les dieux invités partageaient le festin
Soufflant dans nos esprits la douce bacchanale

Nous étions des châteaux de cristal et de verre
Sans douves ni remparts herses ni meurtrières
Habités de folie de bruits et de silences

Et les rires vibraient comme des clarinettes
Car toute démesure savait rester honnête
Puisant sans le savoir dans notre insouciance.


Voila pourriez vous me dire si c'est bien
Anonyme
Posté le 1 mai 2011
Retrouvons la chaleur des lendemains passés
Quand les vents du printemps caressaient nos envies
Nous l'ignorions alors mais nous étions en vie
Légers sereins et beaux, fragiles et racés

Nos paumes imprégnées de rosée matinale
Nous pouvions- le sais tu ?- rêver notre destin
Et les dieux invités partageaient le festin
Soufflant dans nos esprits la douce bacchanale

Nous étions des châteaux de cristal et de verre
Sans douves ni remparts herses ni meurtrières
Habités de folie de bruits et de silences

Et les rires vibraient comme des clarinettes
Car toute démesure savait rester honnête
Puisant sans le savoir dans notre insouciance.

Je vais écrire ça finalement

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