EXPRESSION ECRITE / REDACTION

Publié le 4 mai 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 6 mai 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Le discourt direct:Insérez un dialogue dans un récit de l'époque médiévale. Vocabulaire correct ainsi que le récit. le récit sera au passé

Où j'en suis dans mon devoir

En son château de Camelot, le roi Arthur tient cour plénière quand survient un chevalier inconnu. Il a fait prisonniers des chevaliers d'Arthur et offre de les rendre si un champion du roi vient lui disputer, dans la forêt, la reine Guenièvre. Le sénéchal Ké accepte le combat, mais on voit bientôt revenir son cheval sans cavalier. Gauvain, neveu du roi, part à la recherche de la reine. En route, il prête un de ses destriers à un autre chevalier inconnu, dont le cheval est fourbu. Mais, quelque temps plus tard, il trouve le cadavre de ce destrier entouré d'armes brisées, comme s'il s'était produit un violent assaut. Il aperçoit alors le chevalier, et une charrette réservée aux condamnés, conduite par un nain, à qui le chevalier demande s'il a vu passer la reine. Le nain lui promet qu'il saura ce que la reine est devenue, s'il monte dans la charrette, ce qu'il fait aussitôt. Gauvain réitère la même question, mais refuse avec indignation de monter dans la charrette, se bornant à suivre à cheval.

Ils arrivent en un château où ils sont accueillis par des jeunes filles. Après une nuit d'épreuve (une lance enflammée vient mettre le feu à son lit), le mystérieux chevalier aperçoit d'une fenêtre la reine Guenièvre, que Méléagant, fils du roi Bademagu, emmène au pays de Gorre "d'où nul étranger ne retourne". Pour l'atteindre, deux voies périlleuses s'offrent à eux : le Pont sous l'eau, et le Pont de l'Epée. Gauvain prend la première, et le chevalier à la charrette choisit la seconde. Ce dernier vainc et acquitte sur les prières de sa dame le gardien d'un gué qui lui défendait le passage. Poursuivant sa route, le chevalier rencontre une demoiselle qui lui propose de l'héberger, s'il couche avec elle. Il accepte, non sans hésitations. Parvenu au manoir, il se désarme, pendant que la demoiselle se retire. L'entendant appeler à l'aide, il accourt et la délivre d'un chevalier malintentionné et de ses gardes. Après l'avoir remercié, la demoiselle le laisse dormir seul, comme il le désire.

Le lendemain, il accepte de se faire accompagner d'elle. Ils parviennent à une fontaine au bord de laquelle ils trouvent un peigne d'or retenant quelques cheveux d'or, que la jeune fille lui révèle être ceux de Guenièvre. Ils rencontrent un chevalier qui veut engager le combat afin de s'approprier la jeune fille, ce dont son père parvient à le dissuader, se doutant de la vaillance de l'adversaire. Ils arrivent à une chapelle située près d'un cimetière qu'un moine les invite à visiter. Le moine leur indique que c'est là que reposeront les chevaliers de la Table Ronde. Une pierre plus grande que les autres intrigue le chevalier. Le moine raconte qu'elle accueillera celui qui libérera les prisonniers du royaume dont on ne revient pas, et que seul ce héros serait capable de la soulever, ce que le chevalier fait aussitôt, au grand étonnement de tous, sans dévoiler son identité malgré la demande du moine.

Il passe la nuit chez un vavasseur, à qui il révèle l'objet de sa quête, et se fait accompagner par ses deux fils. Après avoir refusé de suivre le chemin détourné mais moins dangereux, permettant d'éviter le Pont de l'Epée, il atteint le Passage des pierres gardé par un chevalier qu'il vainc au combat. Après un tournoi, il est défié par un chevalier qui lui reproche de vouloir passer le pont de l'épée alors qu'il a été charretté et déshonoré. La joute s'engage et le chevalier outrecuidant est vaincu. Sa tête est offerte à une jeune fille qui réclamait sa mort.

Parvenu au Pont de l’Épée, notre héros le franchit sans se laisser impressionner par les enchantements (deux faux lions, que son anneau magique lui a signalés). Sur l'autre rive, Méléagant et son père Bademagu observent son arrivée : le premier, plein d'orgueil et de colère, le second admirant le courage du héros dont la reine a incidemment donné le nom. Le roi Bademagu propose de remettre le combat au lendemain par égard pour Lancelot blessé qui accepte. Un moment en mauvaise posture, Lancelot l'emporte finalement, et fait grâce à son adversaire à la demande de la reine.

Lancelot croit avoir mérité les grâces de sa dame, mais elle l'accueille durement et refuse de l'entendre. Enfermé dans une tour par des envoyés de Méléagant, c'est Gauvain, après mille périls, qui a l'honneur de ramener Guenièvre au roi. Lancelot, libéré sur parole se rend incognito au tournoi solennel donné par Arthur. Il y remporte d'éclatants succès, jusqu'au moment où, par ordre de la reine, il doit combattre "au pire", et se laisser vaincre honteusement. C'est seulement après s'être humilié par fidélité pour sa dame, qu'il est autorisé à se couvrir de gloire. Un an plus tard, Lancelot, revenu dans sa prison est délivré par la sœur de Méléagant, et arrive à la cour pour y tuer le misérable devant le roi et sa dame.




1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 4 mai 2011
Le récit est très bien mais si j'ai bien compris la consigne de ton devoir, tu dois insérer un discours direct dedans... Qu'est-ce qui te pose problème? Le vocabulaire ou le discours direct lui-même?

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