Expression écrite " LE ROMAN DE RENART "

Nous n'avons pas besoin de moral. La prof nous a dit de raconter juste l'histoire mais je peux mettre une moral. Je vous envoie ce que j'ai déjà fait. POur l'instant c'est le brouillon avec les fautes mais je corrigerai après. J'ai déjà une idée pour la morale : qui ne voit pas,ne va pas bien loin mais c'est pas trop...



Renart qui était empréssé de trouver un diner, partit en route pour le trouver.

Il quitta Maupertuis et se dirigea vers la marre.

En cours de chemin, il trouva Blanche, l’oie du village. Renart lui adressa ces mots :

« Bonjour commère, que faîtes vous en ce beau jour de printemps ?

- Hélas, j’attends mon mari, répondit Blanche, il est parti depuis trois bonnes heures et il est toujours pas revenu.
- Et pourquoi donc l’attendez vous ? Avez-vous un soucis ? questionna Renart
- Je dois rendre visite à ma mère-grand, elle souffre du cancer, marmonna t-elle.
- Et pourquoi vous n’y allez pas ? Je ne comprends pas.
- Et bien, beau doux, je garde mes oeufs. J’ai peur qu’on me les voles.
- Vous gardez vos oeufs, ai je bien entendu ? bégaya Renart
- Oui, effectivement ils sont bien au chaud enfuis dans de la paille et personne ne les dérange.
- Mais, alors pourquoi vous ne partez pas voir votre mère-grand je suis sure, elle vous attend.
- Mais je ne peux pas partir, répliqua l’oie, et si on me les voles ?
- Ne vous inquiétez pas dame, je suis à votre service. Vous pouvez partir sans craindre je m’occuperai des oeufs comme de mes enfants, répliqua Renart.
- Très bien puisque vous voulez, je vous les laisse. Je reviendrai dans une heure, gare à vous si elle ne seront pas là !
Dame Blanche partit en route voir sa mère-grand pensant que Renart ne touchera pas aux oeufs. C’est ici qu’elle se trompait fort bien. Renart qui creuvait de faim, vit dans la paille enfuit pour avoir chaud 5 bels oeufs gros comme des pommes. Content de sa victoire il les prena tous et commença à partir. Les oeufs lui arrivait jusqu’au yeux, il ne voyait plus rien, n’est ce à par les petites taches présentes su son dinner. Il n’était pas loin de Maupertuis, lorsque des marchands l’aperçurent et s’écrièrent :
-Au voleur ! Au voleur ! Renart vole les oeufs de l’oie ! Au voleur ! Au voleur ! Renart vole les oeufs de Blanche !
A ces mots, Jars le mari de Blanche accouru voir ce qui se passe.

Alors je termine mon expression. Par contre la fin ne me plait pas trop! POuvez me la terminer en environ deux lignes, j'ai un manque d'idée. Par contre j'ai trouver une moral : Celui qui en veut trop, n'en a pas.

Et voici la fin:

Voyant Renart avec les oeufs, Jars courra après lui. Renart ne voyant rien, se heurta contre une branche et tomba à terre. Jars accouru et lui dit :
« Et bien, Renart tu voulais voler nos oeufs ! Que je t’ammène au roi Noble, lui il sera que faire ! »

Merci Cyberpro,
justement je me suis aider pour le départ car je voulais raconter une histoire avec une oie mais je ne savais pas quel ruse utiliser. J'ai cherché et j'ai trouvé une idée intéréssante avec les oeufs. Mais alors pour la moral ça va ou pas ?