Je dois faire une redaction: un felon raconte a sa femme sa defaite (la bataille des trois felons contre Yvain (le chevalier au lion)

Les fautes d'orthographes je les corriges plutard.
Mais peux-tu m'aider pour changer quelques petites choses, j'ai commencer et voila mon travail (le debut)
Le félon, d’une allure fâcheuse, rentra chez lui tout médusé à propos de sa grande défaite. Sur le chemin, il avait malencontreusement parut d’un aspect pitoyable, que ce soit dans son regard, ou de sa tête toujours basse. Ceci avait donc révélé aux habitant la victoire du chevalier Yvain, et révéler aussi la couardise du félon envers un vrai chevalier. En arrivant chez lui il alla se refugier sous l’auvent, en attendant sa bien-aimé. Un peu plus tard, sa femme rentra et chercha son mari :
« - Ou es-tu ? Mon tendre et cher mari ? cria la jeune femme sarcastiquement.
- Sous l’auvent rejoins moi ! répondit d’une petite voie le mari. »
La femme du félon, Geneviève, rejoignis son pauvre mari qui s’empressa de parler d’une voie toute ébahit :
« - Ah ! Ma femme ! Si tu savais comme je vous aime ! Mais cela est réciproque car tu ne m’a jamais promis de m’aimer malgré moi ou même malgré mon honneur. Alors, en ce mois de soleil, promettez le moi ! Pour que vous et moi ne formions plus qu’un seul nous.
- Pourquoi me fais-tu promettre de tels choses ou lui de m’avouer vite la vérité ! Car moi je la connais, dans ce comté tout se sache, vous avez perdu contre un malheureux petit chevalier ! Et de plus vous n’osez même pas le dire à votre femme dont vous aimez tellement comme venez-vous de le dire. cria Geneviève
-J’allais y venir ! Laissez-moi le temps ! Mais qui vous a prétendu cela, car personne et je ne dit bien personne n’est au courant ou même censé être au courant a propos de ma défaite ! protesta le félon.
- Eh bien vois-tu, on est tous au courant, pourquoi n’avez- vous pas suivis les conseils de votre compagnon ? Sinon vous auriez gagné ! Tu dois être fort, et tu agis comme un immorale ! Tu as beaucoup plus d’expérience que le chevalier au serpent ou au lion, je ne sais plus. Et quelqu'un digne de ce nom doit être une proie facile ne pensant qu’a son honneur pour vous. Comme tous les autres ! s’énerva la femme du félon.
-Arrêtes-tu agis comme toutes ces vieilles dames, qui sont austère ! Et j’ai suivis ses conseils ! Voulez-vous bien m’accorder le malheur de vous conter la bataille? demanda le mari de Geneviève
-Ne m’abouche pas avec des vieilles dames ! Et je te l’accorde, c’est le moins que je puisse faire, je ne peux pas allez en arrière.

Quesqun felon et je pourrait petetre t'aider