les chevaliers

Publié le 9 janv. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 13 janv. 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

faire un exposé oral sur la vie d'un chevalier
faire un exposé écrit """"""""""""""""""""""
l'adoublement la formation l'éducation et les tournois

Où j'en suis dans mon devoir

exposé écrit avec les tournois la formation l'équipement du chevalier et l'éducation les questions faite livre sur les chevalier lu plusieurs fois
+ introduction et conclusion faite



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 10 janv. 2011
Bonjour lolo78,

Ton exposé est vraiment facile!
Déjà ce que tu pouvais déjà mettre c'était l'armement des chevalier:
Le heaume : c'est le casque; d'abord muni d'une simple protection nasale, de forme légèrement pointu, il évolue au XIIIème siècle vers un modèle plus fermé, ne laissant qu'une ou deux fentes pour la vue, reposant sur les épaules, et de forme plus arrondie, puis plus plat au sommet.
Le haubert : c'est la cote de maille, relativement souple, qui descend jusqu'au genoux, fendue devant et derrière pour permettre de monter à cheval. Elle est formée de petits anneaux de fil de fer entrelacés, engagés les uns dans les autres puis rivés. On réalise aussi des moufles de maille, des chausses de maille et des coiffes de maille. Le haubert protège contre les coups d'épée ou les flèches, mais non contre l'arbalette ou la lance.
L'armure plate : au XIIIème siècle le haubert se renforce de plaques de métal, puis au XIVème siècle on dispose d'une armure entièrement formée d'élements rigides articulés qui, au XVème siècle évince l'armure de maille.
Le bouclier ou écu : en bois puis en fer, de forme étroite et longue, pointue à la base, il est tenu au bras gauche ou suspendu au cou du chevalier pour chevaucher; il protège surtout son coté gauche.
L'épée : elle était faite au départ pour le combat à pied, pour littéralement fendre l'adversaire; pour cela elle était assez épaisse, mesurait un bon mètre et pesait 2 à 3 kg, avec une longue poignée pour la saisir à 2 mains.
La lance : tige de bois terminé par une pointe en fer, de 2.5m de longueur, elle devait être assez solide pour ne pas éclater sous les chocs frontaux.

La formation des chevaliers :
Adolescent, il servait d'écuyer aux chevaliers, le mot écuyer venant d' "écu" qui désignait le bouclier. Afin que les chevaliers arrivent en pleine forme sur le champ de bataille, l'écuyer était chargé de transporter son équipement , notamment le bouclier qui était très lourd. En pleine bataille il relevait les chevaliers désarçonnés ou leur amenait une nouvelle monture.
Former un guerrier, rompu à l'exercice de l'escrime à cheval, demandait des années. On leur donnait les chevaux les plus rétifs qu'ils devaient dompter sous l'œil des moniteurs. Ils en sortaient couverts de plaies et de bosses, et beaucoup y laissaient leur vie ou devenaient estropiés. Vers 18 - 20 ans, la cérémonie de l'adoubement consacrait l'état de chevalier. Lors de cette cérémonie, il recevait le destrier, les éperons, l'épée et le manteau, ainsi qu'un geste symbolique, un coup sur la nuque du plat de la main (la colée), plus tard transformé en léger coup du plat de l'épée sur l'épaule.

Au combat:
Si au début du Moyen Age l'arme offensive était le glaive, il fut remplacé par la lance, que l'on projetait de loin sur l'ennemi. Une véritable révolution apparue au XIème siècle quand il apparut qu'il valait mieux garder la lance en main, fermement calée sous l'aisselle, tout en fonçant sur l'ennemi pour percer son armure ou le désarçonner. Cette méthode de cavalerie lourde fut rendue possible par la généralisation des étriers (apparus au VIIIème siècle en Europe) et de la selle profonde et enveloppante (Xème siècle), deux éléments qui rendent solidaire le cavalier et son cheval, et transforment ainsi la vitesse du cheval en puissance d'impact.
Lorsque l'ennemi était en vue, le chevalier descendait de son roncin qui l'avait transporté, puis enfourchait son destrier et prenait des mains de son écuyer le bouclier et la lance. Il s'approchait alors au trot, puis arrivé à 30mètres, il éperonnait son cheval et se lançait sur l'ennemi, la lance solidement coincé sous son aisselle droite, en l'abordant par la gauche. En fait, à cause du poids des armes et des armures du chevalier et du cheval, tout cela se passait lentement, comme dans un film au ralenti, bien loin des charges de cavaleries du XVIIIème siècle.
Entre chevaliers, on préférait désarçonner l'ennemi plutôt que de le tuer. On pouvait ainsi tirer une rançon pour la libération du chevalier. On récupérait aussi son cheval, car un bon destrier entraîné à la guerre valait fort cher. Au XIIème siècle, la guerre était permanente, les chevaliers passaient chaque été à combattre car la guerre était un jeu, le divertissement principal de la noblesse. Les chevaliers passaient aussi beaucoup de temps à cheval pour chasser dans les forêts, où l'homme ne sortait pas toujours vivant du combat avec le gros gibier.

Les tournois :
Au XIème siècle une autre manière de contenir la turbulence des chevaliers s'instaura dans le Nord de la France, le tournoi. Jusqu'au XIIIème siècle, le tournoi se différencie peu de la guerre. Plusieurs fortes équipes se disputent alors la victoire devant des experts. Les tournois se déroulent dans un vaste espace incluant château ou cité, bois et champs. Au signal donné, 2 ou 3 bandes de plusieurs centaines de guerriers se jettent furieusement les uns contre les autres, c'est la mêlée. Tous les coups sont permis, seuls des zones de repli, où les participants peuvent se reposer, permet de le distinguer d'une vraie guerre.
Outre la gloire, le gain demeure l'attrait principal du tournoi. On peut y gagner le prix, mais aussi des chevaux, des armures, des armes ou même de l'argent, issu des rançons ou du rachat des équipements pris. En fin de tournoi, une grosse foire aux chevaux s'organisait où les maquignons discutaient du prix des bêtes.
A partir du XIVème siècle, les tournois se transforment en joutes, qui opposent 2 chevaliers face à face, dans un espace réduit entouré de palissades, les lices. Ces tournois deviennent alors plus ludiques que guerriers, festifs et même mondains.

Voilà j'espère que ça t'a un peu aidée!!!

Bon courage pour ton exposé!!

Kisa...


willffy
willffy
Posté le 10 janv. 2011
Qui peut devenir chevalier?
Quels sont ses devoirs?
Quel est son avenir?
Quelles sont ses récompenses?

En complément de la réponse de Kisa.

Bonne journée.
Anonyme
Posté le 11 janv. 2011
jAI FAIT UN EXPOSER SUR LANCELOT JE PEUT UN PEU TAIDER AVEC MAIS DI NOUS C4EST SUR KELLE CHEVALIER
Anonyme
Posté le 11 janv. 2011
VOICI CE SITE TU TROUVERA PAS MAL DE CHOSE POUR TAIDER

http://nonnobisdominenonnobissednominituodagloriam.unblog.fr/2007/02/14/vie-quotidienne-des-chevaliers/
Anonyme
Posté le 11 janv. 2011
Des recherches sur internet et dans des livres devraient te donner toutes les informations dont tu as besoin, c'est juste un travail de recherche...

Bon courage

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