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Sujet du devoir
Réécrire le texte qui suit en remplaçant "je" par "nous" ,et "le lion" par "les lions". Faites toutes les transformations nécessaires :Et entre les pattes de devant, énormes, qui jouaient à sortir et entre leurs griffes, je vis Patricia.Son dos était serré contre le poitrail du grand fauve. Son cou se trouvait à portée de la gueule entrouverte. Une de ses mains fourrageait dans la monstrueuse toison.
"King!Le roi!". Ce fut ma première pensée.
Le lion releva la tête et gronda. Sa queue claqua plus fort. La fillette se mit à gratter le mufle épouvantable entre les yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "King" revenait sans cesse.
Finalement, j'avançai.
Où j'en suis dans mon devoir
6 commentaires pour ce devoir
je te demande d'essayer, ci-dessous, de recopier ce passage en respectant les consignes données, paser à la première personne du pluriel et remplacer le lion par le lions. Ce n'est pas difficile, essaie et nous on rectifiera tes erreurs. Car sur ce site, on ne fait pas le devoir à ta place, même si cela irait plus vite ! On veut que ce soit toi qui mérite ta bonne note . Comprends-tu ? Bon courage
Je comprends ! Je Suis En Train De Le Finir Je Posterai Ce Que J'ai Fait !
d'accord et merci
Et entre les de devant, énormes, qui jouaient à sortir et entrer
leurs griffes, nous vîmes Patricia. Son dos était serré contre les poitrails des grands fauves. Son cou se trouvait à portée de leurs gueules entrouvertes. Une de ses mains fourrageait dans les monstrueuses toisons.
"Kings! Les rois!". Ce fut notre première pensée.
Les lions relevèrent la tête et grondèrent. Leur Queues claquèrent plus forts. La fillette se mit à gratter leurs mufles épouvantables entre leurs yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "Kings" revenait sans cesse. Finalement nous avançîmes
leurs griffes, nous vîmes Patricia. Son dos était serré contre les poitrails des grands fauves. Son cou se trouvait à portée de leurs gueules entrouvertes. Une de ses mains fourrageait dans les monstrueuses toisons.
"Kings! Les rois!". Ce fut notre première pensée.
Les lions relevèrent la tête et grondèrent. Leur Queues claquèrent plus forts. La fillette se mit à gratter leurs mufles épouvantables entre leurs yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "Kings" revenait sans cesse. Finalement nous avançîmes
Et entre les de devant, énormes, qui jouaient à sortir et entrer
leurs griffes, nous vîmes Patricia. Son dos était serré contre les poitrails des grands fauves. Son cou se trouvait à portée de leurs gueules entrouvertes. Une de ses mains fourrageait dans les monstrueuses toisons.
"Kings! Les rois!". Ce fut notre première pensée.
Les lions relevèrent la tête et grondèrent. Leur Queues claquèrent plus forts. La fillette se mit à gratter leurs mufles épouvantables entre leurs yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "Kings" revenait sans cesse. Finalement nous avançames
leurs griffes, nous vîmes Patricia. Son dos était serré contre les poitrails des grands fauves. Son cou se trouvait à portée de leurs gueules entrouvertes. Une de ses mains fourrageait dans les monstrueuses toisons.
"Kings! Les rois!". Ce fut notre première pensée.
Les lions relevèrent la tête et grondèrent. Leur Queues claquèrent plus forts. La fillette se mit à gratter leurs mufles épouvantables entre leurs yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "Kings" revenait sans cesse. Finalement nous avançames
Et entre les de devant, énormes, qui jouaient à sortir et entrer
leurs griffes, nous vîmes Patricia. Son dos était serré contre les poitrails des grands fauves. Son cou se trouvait à portée de leurs gueules entrouvertes. Une de ses mains fourrageait dans les monstrueuses toisons.
"Kings! Les rois!". Ce fut notre première pensée.
Les lions relevèrent la tête et grondèrent. Leur Queues claquèrent plus forts. La fillette se mit à gratter leurs mufles épouvantables entre leurs yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "Kings" revenait sans cesse. Finalement nous avançames
leurs griffes, nous vîmes Patricia. Son dos était serré contre les poitrails des grands fauves. Son cou se trouvait à portée de leurs gueules entrouvertes. Une de ses mains fourrageait dans les monstrueuses toisons.
"Kings! Les rois!". Ce fut notre première pensée.
Les lions relevèrent la tête et grondèrent. Leur Queues claquèrent plus forts. La fillette se mit à gratter leurs mufles épouvantables entre leurs yeux. Elle parla en anglais, puis différents dialectes africains. Mais le mot "Kings" revenait sans cesse. Finalement nous avançames
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