Exposer : les séisme en Californie

Publié le 31 mars 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 15 avr. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

Bonjour,

J'ai un éxposer pour dans quelques temps...
Le sujet est "Le séisme en Californie".
je ne sais pas du tout par où commencer étant donner que nous n'avons aucune information (sauf affiche + Diapo).

j'aimerai ne pas utiliser Wikipédia
Et avoir des infos...
Exemple : un séisme en particulier

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai seulement quelques livres, mais il n'y a pas grand chose d'intéressant...

Cordialement, HaRib0



9 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 31 mars 2012
Coucou,

tu peu aller surfer sur internet et trouver des idée mais tu ne sais pas par ou commence donc commence par le commencemen ou est situé la Californie es ce une garnde ville la densité de population etc et apres tu developpe .

zomima
willffy
willffy
Posté le 31 mars 2012
http://gabrielle-narcy.suite101.fr/le-big-one-le-seisme-qui-menace-la-californie-a23388

et

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/243049/2008/04/15/La-Californie-balayee-par-un-seisme-devastateur-d-ici-trente-ans.dhtml


le dernier séisme:
http://www.cyberpresse.ca/international/etats-unis/201202/13/01-4495526-seisme-de-magnitude-55-dans-le-nord-de-la-californie.php

nsoirée.
Anonyme
Posté le 1 avr. 2012
Merci !
Anonyme
Posté le 1 avr. 2012
Merci beaucoup !
willffy
willffy
Posté le 1 avr. 2012
à ton service!
Anonyme
Posté le 4 avr. 2012
Séisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Un séisme ou tremblement de terre est le résultat de la libération brusque d'énergie accumulée par les contraintes exercées sur les roches. Le résultat de la rupture des roches en surface s'appelle une faille. Le lieu de la rupture des roches en profondeurs se nomme le foyer. Plus rares sont les séismes dus à l'activité volcanique ou d'origine artificielle (explosions par exemple). Il se produit de très nombreux séismes tous les jours, mais la plupart ne sont pas ressentis par les humains. Environ cent mille séismes sont enregistrés chaque année sur la planète[1]. Les plus puissants d'entre eux comptent parmi les catastrophes naturelles les plus destructrices. La science qui étudie ces phénomènes est la sismologie (étudiée par des sismologues) et l'instrument d'étude principal est le sismographe (qui produit des sismogrammes).
Caractéristiques principales[modifier]
Épicentre, hypocentre (foyer) et failleLe point d'origine d'un séisme est appelé hypocentre ou foyer sismique. Il peut se trouver entre la surface et jusqu'à sept cents kilomètres de profondeur (limite du manteau supérieur) pour les événements les plus profonds. On parle de l'épicentre du séisme pour désigner le point de la surface de la Terre qui se trouve directement au-dessus de l'hypocentre.


Les trois grands types de failles Trois catégories de tremblements de terre[modifier]Un tremblement de terre est une secousse plus ou moins violente du sol qui peut avoir trois origines : rupture d'une faille ou d'un segment de faille (séismes tectoniques) ; intrusion et dégazage d'un magma (séismes volcaniques) ; explosion, effondrement d'une cavité (séismes d'origine naturelle ou dus à l'activité humaine)[2]. En pratique on classe les séismes en trois catégories selon les phénomènes qui les ont engendrés :

Séismes tectoniques[modifier]Les séismes tectoniques sont de loin les plus fréquents et dévastateurs. Une grande partie des séismes tectoniques a lieu aux limites des plaques, où se produit un glissement entre deux milieux rocheux. Ce glissement, localisé sur une ou plusieurs failles, est bloqué durant les périodes inter-sismiques (entre les séismes), et l'énergie s'accumule par la déformation élastique des roches[3]. Cette énergie et le glissement sont brusquement relâchés lors des séismes. Dans les zones de subduction, les séismes représentent en nombre la moitié de ceux qui sont destructeurs sur la Terre, et dissipent 75 % de l'énergie sismique de la planète. C'est le seul endroit où on trouve des séismes profonds (de 300 à 645 kilomètres). Au niveau des dorsales médio-océaniques, les séismes ont des foyers superficiels (0 à 10 kilomètres), et correspondent à 5 % de l'énergie sismique totale. De même, au niveau des grandes failles de décrochement, ont lieu des séismes ayant des foyers de profondeur intermédiaire (de 0 à 20 kilomètres en moyenne) qui correspondent à 15 % de l'énergie. Le relâchement de l'énergie accumulée ne se fait généralement pas en une seule secousse, et il peut se produire plusieurs réajustements avant de retrouver une configuration stable. Ainsi, on constate des répliques suite à la secousse principale d'un séisme, d'amplitude décroissante, et sur une durée allant de quelques minutes à plus d'un an. Ces secousses secondaires sont parfois plus dévastatrices que la secousse principale, car elles peuvent faire s'écrouler des bâtiments qui n'avaient été qu'endommagés, alors que les secours sont à l'œuvre. Il peut aussi se produire une réplique plus puissante encore que la secousse principale quelle que soit sa magnitude. Par exemple, un séisme de 9,0 peut être suivi d'une réplique de 9,3 plusieurs mois plus tard même si cet enchaînement reste extrêmement rare.

Séismes d'origine volcanique[modifier]Les séismes d'origine volcanique résultent de l'accumulation de magma dans la chambre magmatique d'un volcan. Les sismographes enregistrent alors une multitude de microséismes (trémor) dus à des ruptures dans les roches comprimées ou au dégazage du magma[2]. La remontée progressive des hypocentres (liée à la remontée du magma) est un indice prouvant que le volcan est en phase de réveil et qu'une éruption est imminente.

Séismes d'origine artificielle[modifier]Article détaillé : Séismes induits.Les séismes d'origine artificielle ou « séismes induits » de faible à moyenne magnitude sont dus à certaines activités humaines telles que barrages, pompages profonds, extraction minière, explosions souterraines ou nucléaires. Ils sont fréquents et bien documentés depuis les années 1960-1970. Par exemple, rien que pour la France et uniquement pour les années 1971-1976, plusieurs séismes ont été clairement attribués à des remplissages de lacs-réservoirs, à l'exploitation de gisements pétrolifères ou aux mines :

le remplissage du lac de Vouglans (Jura) (magnitude 4,3, le 21 juin 1971) qui produit des dégâts dans les villages voisins du barrage,
autour du lac-réservoir de l'Alesani, en Corse, le 29 sept 1971 un séisme est ressenti sur une faible surface centrée sur le lac (dans une zone jusqu'alors complètement asismique) . En avril 1978, lors d'un nouveau remplissage (après vidange du barrage durant plusieurs mois), un nouveau séisme de magnitude 4,4 est ressenti,
le lac-réservoir de Sainte-croix-du-Verdon (Alpes-de-Haute-Provence) n'a pas bougé lors de son remplissage, mais de septembre 1973 à août 1975, les stations séismiques télémétrées ont enregistré plus de 90 petites secousses, au voisinage même du lac, et leur fréquence maximale (36 secousses en 3 mois) correspondait au moment du pic de remplissage (mars-mai 1975),
le gisement pétrolifère et gazier de Lacq (surveillé depuis 1974), a encore produit des séismes (dont le 31 déc 1972, de magnitude 4,0),
le gisement gazier de Valempoulières (Jura) a généré un petit séisme le 8 janvier 1975, ressenti dans les communes l'entourant,
des "coups de toit" touchent régulièrement le bassin minier de Fuveau-Gardanne dans les Bouches-du-Rhône et celui de Creutzwald-Merlebach en Moselle, parfois confondus avec de véritables séismes naturels[4].
Les tremblements de terre engendrent parfois des tsunamis, dont la puissance destructrice menace une part croissante de l'humanité, installée en bordure de mer. Ils peuvent aussi menacer les installations pétrolières et gazières offshore et disperser les décharges sous-marines contenant des déchets toxiques, déchets nucléaires et munitions immergées. On cherche à les prévoir, pour s'en protéger, à l'aide d'un réseau mondial d'alerte, qui se met en place, en Indonésie et Asie du Sud Est notamment.

Dans certains cas, les séismes provoquent la liquéfaction du sol : un sol mou et riche en eau perdra sa cohésion sous l'effet d'une secousse.

Risques de séismes du aux essais dans les centrales géothermiques :

Un centre de recherche sur les centrales géothermiques, dans le nord-est de la France, expérimente des techniques de géothermie. L’expérience consiste à injecter de l'eau froide dans des poches de magma (2 trous préalablement forés, l'un pour l'entrée de l'eau froide et l'autre pour la sortie de l'eau transformée en vapeur, puis de la récupérer sous forme de vapeur, de la mettre en pression puis de faire tourner une turbine puis produire de l'électricité.

Conséquences de l'expérience :

L'injection d'eau froide dans les poches de magma agissait sur les failles environnantes, l'eau agissait comme lubrifiant et produisait des micro séismes qui pouvaient jusqu'à produire des fissures sur les murs des maisons.

Magnitude[modifier]Article détaillé : Magnitude d'un séisme.La puissance d'un tremblement de terre peut être quantifiée par sa magnitude, notion introduite en 1935 par le sismologue Charles Francis Richter[5]. La magnitude se calcule à partir des différents types d'ondes sismiques en tenant compte de paramètres comme la distance à l'épicentre, la profondeur de l'hypocentre, la fréquence du signal, le type de sismographe utilisé, etc. La magnitude n'est pas une échelle mais une fonction continue logarithmique[5]. En raison de ce caractère logarithmique, lorsque l'amplitude du déplacement du sol est multipliée par 10, la magnitude augmente d'une unité. Ainsi, un séisme de magnitude 7 provoquera un déplacement du sol dix fois plus important qu'un événement de magnitude 6, cent fois plus important qu'un de magnitude 5.

La magnitude, souvent appelée magnitude sur l'échelle de Richter, terme le plus connu du grand public, est généralement calculée à partir de l'amplitude ou de la durée du signal enregistré par un sismographe[5]. Plusieurs valeurs peuvent être ainsi calculées (Magnitude locale , de durée , des ondes de surfaces , des ondes de volumes ). Mais ces différentes valeurs ne sont pas très fiables dans le cas des très grands tremblements de terre. Les sismologues lui préfèrent la magnitude de moment (notée ) qui est directement reliée à l'énergie libérée lors du séisme[5]. Des lois d'échelle relient cette magnitude de moment aux paramètres géométriques du séisme (surface rompue et quantité de glissement sur la faille).

Intensités d'un séisme[modifier]
Carte des intensités du tremblement de terre d'Haïti de 2010.La magnitude d'un séisme ne doit pas être confondue avec l'intensité macrosismique qui se fonde sur l'observation des effets et des conséquences du séisme en un lieu donné : vibration des fenêtres, nombre de personnes qui ressentent les secousses, ampleur des dégâts, etc[6]. Les échelles d'intensité comportent des degrés notés en nombres romains, de I à XII pour les échelles les plus connues (Mercalli, MSK ou EMS). Parmi les différentes échelles, on peut citer :

l'échelle Rossi-Forel (aussi notée RF) ;
l'échelle Medvedev-Sponheuer-Karnik (aussi notée MSK) ;
l'échelle de Mercalli (notée MM dans sa version modifiée) ;
l'échelle de Shindo (震度) de l'agence météorologique japonaise ;
l'échelle macrosismique européenne (aussi notée EMS98).
Les relations entre magnitude et intensité sont complexes. L'intensité dépend du lieu d'observation des effets. Elle décroît généralement lorsqu'on s'éloigne de l'épicentre en raison de l'atténuation introduite par le milieu géologique traversé par les ondes sismiques, mais d'éventuels effets de site (écho, amplification locale par exemple) peuvent perturber cette loi moyenne de décroissance.

Différents types d'ondes sismiques[modifier]Article détaillé : Onde sismique.Au moment du relâchement brutal des contraintes de la croûte terrestre (séisme), deux grandes catégories d'ondes peuvent être générées. Il s'agit des ondes de volume qui se propagent à l'intérieur de la Terre et des ondes de surface qui se propagent le long des interfaces[7].

Dans les ondes de volume, on distingue :

les ondes P ou ondes de compression. Le déplacement du sol se fait par dilatation et compression successives, parallèlement à la direction de propagation de l'onde. Les ondes P sont les plus rapides (6 km/s près de la surface). Ce sont les ondes enregistrées en premier sur un sismogramme[7] ;
les ondes S ou ondes de cisaillement. Les vibrations s'effectuent perpendiculairement au sens de propagation de l'onde, comme sur une corde de guitare. Plus lentes que les ondes P, elles apparaissent en second sur les sismogrammes[7].
Les ondes de surface (ondes de Rayleigh, ondes de Love) résultent de l'interaction des ondes de volume. Elles sont guidées par la surface de la Terre, se propagent moins vite que les ondes de volume, mais ont généralement une plus forte amplitude[7]. Généralement ce sont les ondes de surface qui produisent les effets destructeurs des séismes.

Enregistrement des séismes[modifier]
Les séismes dans le monde de 1963 à 1998Les plus anciens relevés sismiques datent du VIIIe millénaire av. J.-C.[réf. nécessaire].

Séismes les plus puissants enregistrés depuis 1900[modifier]Pays Ville / Zone Magnitude Date Nombre de morts Nombre de blessés Remarques et liens vers les articles détaillés
Équateur 8,8 19060000 !1906
États-Unis San Francisco 8,2 19060418 !18 avril 1906 &0000000000003000.0000003 000 Séisme de 1906 à San Francisco
Chili Valparaíso 8,2 19060817 !17 août 1906 &0000000000020000.00000020 000 &0000000000020000.00000020 000
Japon Kanto 8,3 19230901 !1er septembre 1923 &0000000000141720.000000141 720 Séisme de 1923 de Kantō
Russie Kamtchatka 8,5 19230000 !1923
Indonésie Mer de Banda 8,5 19380201 !1er février 1938 Séisme de la mer de Banda
Chili Chillán 8,3 19390124 !24 janvier 1939 &0000000000028000.00000028 000 &0000000000058000.00000058 000
Tibet 8,6 19500815 !15 août 1950
Russie Kamtchatka 9,0 19521104 !4 novembre 1952
Alaska Andreanof 8,6 19570309 !9 mars 1957[8]
Chili Valdivia 9,5 19600522 !22 mai 1960 &0000000000003000.0000003 000 Séisme de 1960 de Valdivia (le séisme le plus violent jamais recensé)
Russie Iles Kouriles 8,5 19630000 !1963
États-Unis Alaska 9,2 19640327 !27 mars 1964 &0000000000000131.000000131 Séisme de 1964 en Alaska
États-Unis Alaska 8,7 19650000 !1965
Mexique Mexico 8,1 19850919 !19 septembre 1985 &0000000000010000.00000010 000 Séisme de 1985 à Mexico
Pérou Arequipa 8,4 20010623 !23 juin 2001 &0000000000000250.000000250 &0000000000001000.0000001 000 Séisme de 2001 du Pérou (en)
Sumatra Andaman 9,3 20041226 !26 décembre 2004 &0000000000227898.000000227 898 &0000000000125000.000000125 000 Séisme du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien
Sumatra Île de Nias 8,7 20050328 !28 mars 2005 &0000000000000905.000000905 Séisme de 2005 à Sumatra
Tonga 8,3 20060503 !3 mai 2006 Séisme de 2006 aux Tonga
Russie Iles Kouriles 8,3 20061115 !15 novembre 2006 Raz de marée d'1,80 m et effets à plus de 16 000 km de l'épicentre, notamment à Crescent City, Californie
Russie Iles Kouriles 8,3 20070113 !13 janvier 2007
Pérou Ica, Lima 8 20070815 !15 août 2007 &0000000000000387.000000387 &0000000000001050.0000001 050
Océan Pacifique 8,3 20090929 !29 septembre 2009
Chili Concepción 8,8 20100227 !27 février 2010 &0000000000000497.000000497 Séisme de 2010 au Chili
Japon Sendai, Côte Pacifique du Tōhoku 9,0 [9],[10] 20110311 !11 mars 2011 &0000000000020001.00000020 001 !15 776 morts et 4 225 disparus[11],[12] &0000000000005929.0000005 929[11],[12] Séisme de 2011 de la côte Pacifique du Tōhoku

Séismes les plus meurtriers depuis 1900[modifier]Tremblements de terre ayant fait plus de 15 000 morts d'après les estimations des autorités locales, placés dans l'ordre chronologique. Comme on peut s'y attendre, ils comptent parmi les plus puissants.

Ville / Zone Pays Date Magnitude Nombre de morts Remarques et liens vers les articles détaillés
Kangra Inde 19050404 !4 avril 1905 M=8,6 &0000000000019000.00000019 000
Santiago du Chili Chili 19060817 !17 août 1906 M=8,6 &0000000000020000.00000020 000
Messine Italie 19081228 !28 décembre 1908 M=7,5 &0000000000100000.000000100 000[13]
Avezzano Italie 19150113 !13 janvier 1915 M=7,5 &0000000000029980.00000029 980
Bali Indonésie 19170121 !21 janvier 1917 M=? &0000000000015000.00000015 000
Gansu Chine 19201216 !16 décembre 1920 M=8,6 &0000000000200000.000000200 000
Tōkyō Japon 19230901 !1er septembre 1923 M=8,3 &0000000000143000.000000143 000 Le séisme de 1923 de Kantō est suivi d'un gigantesque incendie.
Xining Chine 19270522 !22 mai 1927 M=8,3 &0000000000200000.000000200 000
Gansu Chine 19321225 !25 décembre 1932 M=7,6 &0000000000070000.00000070 000
Quetta Pakistan 19350530 !30 mai 1935 M=7,5 &0000000000045000.00000045 000
Chillán Chili 19390124 !24 janvier 1939 M=8,3 &0000000000028000.00000028 000
Erzincan Turquie 19391226 !26 décembre 1939 M=8,0 &0000000000030000.00000030 000
Ashgabat Turkménistan 19481005 !5 octobre 1948 M=7,3 &0000000000110000.000000110 000
Dashti Biaz Khorassan Iran 19680831 !31 août 1968 M=7,3 &0000000000016000.00000016 000
Chimbote Pérou 19700531 !31 mai 1970 M=8,0 &0000000000066000.00000066 000
Yibin Chine 19740510 !10 mai 1974 M=6,8 &0000000000020000.00000020 000
Guatemala 19760204 !4 février 1976 M=7,5 &0000000000023000.00000023 000
Tangshan Chine 19760727 !27 juillet 1976[14] M=8,2 &0000000000240000.000000240 000 Le nombre officiel de morts est 240 000 personnes[15]. D'autres estimations font état de 500 000[13] à 800 000 victimes directes ou indirectes[16].
Article détaillé : Séisme de 1976 à Tangshan.
Michoacan Mexique 19850919 !19 septembre 1985 M=8,1 &0000000000020000.00000020 000 Article détaillé : Séisme de 1985 à Mexico.
Région de Spitak Arménie 19881207 !7 décembre 1988 M=7,0 &0000000000025000.00000025 000 Article détaillé : Séisme de 1988 en Arménie.
Zangan Iran 19900620 !20 juin 1990 M=7,7 &0000000000045000.00000045 000
Kocaeli Turquie 19990817 !17 août 1999 M=7,4 &0000000000017118.00000017 118 Article détaillé : Séisme de 1999 en Turquie.
Bhuj Inde 20010126 !26 janvier 2001 M=7,7 &0000000000020085.00000020 085
Bam Iran 20031226 !26 décembre 2003 M=6,6 &0000000000026200.00000026 200
Sumatra Indonésie 20041226 !26 décembre 2004 M=9,3 &0000000000227898.000000227 898 Article détaillé : Séisme du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien.
Muzaffarabad Pakistan 20051008 !8 octobre 2005 M=7,6 &0000000000079410.00000079 410 Article détaillé : Séisme de 2005 au Cachemire.
Province du Sichuan Chine 20080512 !12 mai 2008 M=7,9 &0000000000087149.00000087 149 Article détaillé : Séisme du Sichuan de mai 2008.
Port-au-Prince Haïti 20100112 !12 janvier 2010 M=7,2 &0000000000300000.000000300 000 Article détaillé : Séisme de 2010 à Haïti.
Côte Pacifique du Tōhoku Japon 20110311 !11 mars 2011 M=9,0 &0000000000020001.00000020 001 !15 776 morts et 4 225 disparus[11],[12] Article détaillé : Séisme de 2011 de la côte Pacifique du Tōhoku.
Anonyme
Posté le 6 avr. 2012
deja tu peux commencer par expliquer ou est la californie ...
ensuite tu peux dire le nombre de blesses de morts ....
aussi qu'est ce qui a ete detrruit(village ....)
et puis ensuite tu develloppe
Axel420
Axel420
Posté le 8 avr. 2012
Aide toi de ton libre et cherche sur des revus ou des site sur les séisme.meme si ça ne parle pas du même séisme parle de la magnitude du séisme et trouve des information de n'importe quelle séisme. Ex: il faudra de longues année pour tous reconstruire , bilan très l'ours dans le pays pauvre...etc
Anonyme
Posté le 15 avr. 2012
donne deja au tout debut la definition d'un seisme et ou se situe la californie sur une carte avec sa densité
et apres dit si la californie est une zone a risques pour les seismes en montrant cela par exemple sur une carte
puis parle du seisme qu'il y a eu en expliquant avec du vocabulaire d'un seisme et en donnant la definition pour ce qui ne save pas

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