comment se magnifeste l'expension Chretienne au Moyen Age?

Publié le 5 mai 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 12 mai 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

c'est une production écrite qui est a rendre pour 9/05,la date approche S'IL VOUS PLAIT AIDEZ MOI,je n'y arrive vraiment pas

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai 6 pages dans mon manuel pour m'aider dans ma production écrite,j'ai 1 page ou j'ai bien compri,la 2eme page se sont des exercices je l'ai ai tous fait,la 3eme page,je n'est pas très bien compri,mais j'ai quand meme su faire quelques questions de la 4eme page,la 5eme et 6eme pages je n'ai vraiment RIEN COMPRIE



5 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 5 mai 2011
Il y a
- les croisades
- l'évangélisation des régions slaves et baltes
- la reconquista en Espagne

Chaque fois tu dois expliquer
- comment?
- Par qui?
- le résultat?
- les dates

Tu dois avoir tout cela dans tes documents, tu vas trouver maintenant que tu as les questions que tu dois te poser.

Bonne soirée.
Anonyme
Posté le 5 mai 2011
Il y a pas des prêtres célèbres au Moyen-Âge qui sont allés dans des pays et qui ont converti des peuples entiers au Christianisme?
Anonyme
Posté le 5 mai 2011
Voila, un petit truc pour t'aider :

l’unité arithmétique et logique (UAL) ou unité de traitement : son rôle est d’effectuer les opérations de base, un peu comme le ferait une calculatrice ;
l’unité de contrôle. C’est l’équivalent des doigts qui actionneraient la calculatrice ;
la mémoire qui contient à la fois les données et le programme qui dira à l’unité de contrôle quels calculs faire sur ces données. La mémoire se divise entre mémoire vive (programmes et données en cours de fonctionnement) et mémoire permanente (programmes et données de base de la machine) ;
les entrées-sorties : dispositifs qui permettent de communiquer avec le monde extérieur.
Anonyme
Posté le 5 mai 2011
Mais si tu veut approfondir voila quelque chose d'autre :

Dès le vie siècle et durant tout le haut Moyen Âge, la « mission chrétienne » se développe aux confins d'un monde chrétien qui avait été jusque là, à peu de différences près, superposable à l'empire romain de Constantin Ier : œuvre d'évangélisation effectuée par les envoyés d'une Église, ou « missionnaires », elle continue à s'appuyer sur l'élan monastique, mais gagne souvent un caractère « officiel », parfois moins spontané, dû aux mandats et aux soutiens d'une Église organisée, d'un royaume, ou des deux.
Le nom même de « mission » revêt un sens particulier, au moins jusqu'au xvie siècle siècle, qu'il faut expliquer : il fait référence à l'envoi du Fils par le Père pour sauver les Hommes ; le missionnaire est donc l'« envoyé » (missus) pour le salut. Une idéologie liée à ce sens se développe, notamment aux viie et viiie siècles : dans celle-ci, l'action du missionnaire s'inscrit dans le cadre plus vaste de la propagation de la foi et de l'expansion de l'Église catholique jusqu'aux confins de la terre, dans une perspective eschatologique, qui est celle du salut de l'humanité.
À travers la mission, l'évangélisation gagne incidemment un caractère « national » plus affirmé : l'évangélisation et la naissance d'une Église peuvent correspondre à la naissance ou à l'affirmation de l'identité d'un peuple (latin gens) chrétien issu d'une nation « barbare » (latin natio). C'est, par exemple, ce que décrit Bède le Vénérable dans son Histoire ecclésiastique du peuple anglais (latin historia ecclesiastica gentis anglorum) achevée vers 732. La notion de « peuple élu », telle qu'elle est exprimée dans l'Ancien Testament, a un rôle à jouer dans cette évolution : ainsi Bède considére-t-il que son peuple a servi les desseins de Dieu en envahissant les terres des Bretons touchés par l'hérésie pélagienne. Encore selon cette idéologie, les Anglo-Saxons ont un autre rôle à jouer en apportant les Évangiles dans les régions d'où ils sont originaires et qui sont demeurées païennes : la Frise et la Saxe médiévales.
L'évangélisation devient encore un enjeu politique pour les souverains chrétiens, qui cherchent à accroître leur influence : le rôle des rois francs, appuyés par l'Église depuis le baptême de Clovis, en 496, est aussi important à cet égard pour la Germanie que celui des Empereurs d'orient auprès des Slaves, des Magyars et des Russes. Le pouvoir temporel sait, au gré des conquêtes et des victoires, appuyer la mission, susciter la conversion de souverains des peuples païens entrés dans sa sphère d'influence, et, lorsque cela s'avére insuffisant, il peut avoir recours à la force pour étendre la chrétienté.
Ainsi, après que les rois mérovingiens ont appuyé l'expansion vers l'est de leur royaume sur l'expansion de l'Église catholique, notamment en Bavière, Pépin le Bref appuie l'action de saint Boniface en Frise païenne ; il reçoit peut-être le sacre des mains de ce dernier, en 751. À sa suite, Charlemagne se heurte à la résistance des Saxons. Ce dernier tente finalement de les convertir par la force, lors de sanglantes campagnes menées à la fin du viiie siècle. Ce procédé extrême a vraisemblablement peu de succès.
Dans tout l'Occident, le rôle « directeur » de l'Église romaine s'affirme, entre autres, à travers la mission. Rome, « siège apostolique », devient le point de départ, ou de « reconnaissance », de plusieurs missions : celle d'Augustin de Canterbury, envoyé en 596 par le pape Grégoire le Grand auprès des Angles dans le Kent, connaît le succès avec le baptême d'Æthelbert, en 610.
Elle est immédiatement suivie, en 616–625 par celle de Paulinus auprès des Angles du nord, en Northumbrie, qui entraîne le baptême du roi Edwin. Après s'y être heurtée à l'influence du christianisme irlandais, autre grand fournisseur de missionnaires, l'influence de l'Église romaine l'emporte dans l'Église anglaise.
Des moines anglo-saxons, désireux d'évangéliser les Germains demeurés païens sur le continent, prennent le relais aux viie et viiie siècles : Willibrord († 739) est envoyé en Frise en 695 par le pape Serge II. Peu de temps après, Winfrid le suit. Ce dernier se rend à Rome et y reçoit le sacre épiscopal des mains du Pape en 722. Prenant le nom de Boniface, il est sanctifié à la suite de son martyre à Dokkum, en Frise orientale, en 754.
Occupant les sphères d'influence franque et byzantine, une certaine compétition a lieu pour convertir les païens entre les Églises de Rome et de Constantinople : les Églises des Bavarois et des Slaves de l'ouest sont fondées sous l'aile bienveillante du Pape romain et placées sous l'autorité d'évêques germaniques, tandis que les Slaves de l'est, la majorité des Slaves du sud, puis les Russes, reçoivent le baptême des Grecs : parmi ces derniers, Cyrille et Méthode sont les apôtres des Slaves.
Ils effectuent une première mission en Grande Moravie à l'initiative du patriarche de Constantinople, Photius, durant la seconde moitié du ixe siècle (en 862–863). S'ils peuvent y constituer rapidement une Église slavonne, celle-ci est éphémère, en raison de l'absence d'un réel soutien de la part de Rome, de la dégradation des relations entre les deux Églises et, surtout, à cause de la résistance du clergé germanique à la liturgie grecque. Cyrille meurt en 869 et Méthode, en 885. Par la suite, leurs disciples sont chassés par le clergé catholique. Ils obtiennent néanmoins les fruits de cette première expérience en Bulgarie : munis d'une écriture et d'une liturgie adaptées, ils posent les bases de l'Église slave.
En Orient, l'évangélisation joue un rôle important dans la diffusion de l'écriture : au ive siècle, l'évêque arien Wulfila a créé, avec succès, un alphabet gotique pour rendre accessibles les saintes Écritures aux Goths. Aux ixe et xe siècles, l'alphabet glagolitique a la même portée chez les Slaves. L'alphabet cyrillique que nous connaissons et qui doit son nom à Cyrille en est l'héritier.
En Occident, si des œuvres vernaculaires à caractère missionnaire existent, l'usage exclusif du latin pour la liturgie limite le rôle de l'évangélisation à cet égard, mais l'iconographie chrétienne joue un rôle pédagogique auprès des païens. Ainsi, les motifs végétaux typiquement germaniques de la période des migrations des peuples ont tendance à disparaître, en Germanie intérieure, de l'art des Alamans et des Thuringes au viie siècle, alors que le christianisme progresse dans leurs régions. La transition d'un art « barbare » vers un art chrétien se fait progressivement. Dans l'île de Grande-Bretagne, le poème anglo-saxon du Christ sur la Croix (connu à travers une version datée du ixe siècle) dépeint le martyre et le triomphe du Christ-Roi. Il est probablement l'indice d'une méthode pour la conversion qu'utilisent les missionnaires, à savoir l'association du dieu-roi Woden au Christ-Seigneur. Ce poème fait écho à la Croix de Ruthwell, en Écosse, œuvre antérieure quant à elle ornée d'un poème runique sur le même thème.
L'action des missionnaires romains est éclipsée, après la fin du viiie siècle, par le rôle des souverains nouvellement convertis, comme en Scandinavie. Dans cette dernière région, le rôle des rois danois, à la suite d'Harald à la Dent bleue baptisé vers 960, est le premier déterminant. En Suède, il faut attendre la dynastie du Götaland pour que le christianisme s'impose dans les années 1060. L'influence politique des rois chrétiens est également déterminante en Pologne. Le duc Mieszko Ier reçoit le baptême en 966, à la suite d'un voyage chez le prince de Bohême Boleslas Ier, dont il a épousé la fille chrétienne.
Le modèle du missionnaire du haut Moyen Âge – inspiré par les apôtres, notamment par saint Paul – est promis à un bel avenir : il est l'héritage majeur de la période. Mise en sommeil lorsque les royaumes chrétiens organisent leur Église, l'idéologie qui s'est formée autour de l'action des missionnaires, surtout au viiie siècle, perdure dans les monastères.
Elle ressurgit à travers l'idéal de vie apostolique qui connaît un nouvel essor dans les ordres mendiants, Dominicains et Franciscains, à la fin du xiie siècle. Les premiers, en particulier, prennent le nom de « frères prêcheurs ».
Anonyme
Posté le 5 mai 2011
Tu peux aussi parler (si on en parle dans ton manuel) que la Pape promet au nobles (ceux qui combattent) pour les motiver de donner les terres qui auront conquit et évangéliser.

Je sais que c'est oas grand chose mais j(espère que ça va d'aider

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