Etre une femme dans l'Empire Romain

Publié le 27 avr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 29 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Il faut dire sa place dans la famille, la femme esclave, la mère ou l'épouse de l'empereur, ses activités et on peut peut etre trouver autre chose mais ça c'est prioritaire

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai pas encore commencer mais si vous puviez me donner un site ou un article dans un livre ça serai bien merci



29 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 avr. 2010

Bonsoir mamalol

copie/colle ce lien et va ensuite sur académie de Versailles ,c'est le premier site il me semble ,tu le
reconnaîtras grâce à ce lien .

Tout y est .

Si tu as besoin d'aide ensuite n'hésite pas ...^^

lat_femme_rome.htm
Anonyme
Posté le 27 avr. 2010
Dans l'empire romain, la femme n'a aucun droit politique et aucune autorité, car elle est sous l'autorité de on mari. Elle a très peu de libertés, et même lorsqu'elle sort en ville pour faire des achats, elle doit être accompagnée et surveillée. Les femmes vivent dans le gynécée. Elles s'occupent de la maison, du tissage et de tout ce qui relève de la "corvée". Elle gère aussi le budget et dirige les servantes.
La femme n'a que deux principaux devoirs:
- Bien s'occuper de son mari( pour ne pas dire le servir ), de ses enfants et de la maison.
- Avoir des enfants, surtout des garçons.

Voilà j'espère que ça pourra t'aider j'ai beaucoup travaillé sur ça l'année dernière.
Anonyme
Posté le 27 avr. 2010
Bonsoir,

Des liens qui t'aideront :

http://agora.qc.ca/reftext.nsf/Documents/Rome_antique--Les_femmes_a_Rome__leur_education_et_leur_role_dans_la_societe_romaine_par_Gaston_Boissier

http://pagesperso-orange.fr/karl.claerhout/page1.htm

Bonne continuation !
Anonyme
Posté le 28 avr. 2010
merci ça m'a beaucoup aider
Anonyme
Posté le 28 avr. 2010
merci
Anonyme
Posté le 28 avr. 2010
merci
Anonyme
Posté le 28 avr. 2010
merci beaucoup car ton site est super et si tu es dans ce collège tu pourra leur dire qu'il es génial !!
Anonyme
Posté le 28 avr. 2010
bonjour mamalo

Heureuse d'avoir pu t'aider ,par contre je ne suis plus au collège depuis bien longtemps .^^
Mon fils est en 4ème par contre ...

J'aimerai bien encore avoir 15 ans !!! ;)

Au cas ou,tu sais où me trouver .8-)



Anonyme
Posté le 29 avr. 2010
merci ok mais si tu n'es plus au college ou es tu tu as un travail ?
Anonyme
Posté le 30 avr. 2010

Bonjour mamalol

Et non je ne suis plus au collège ,j'habite en Bretagne et je
m'occupe de ma petite famille !!!

Mon fils a 15 ans et ma fille en a 7.

Avant je faisais des gardes de nuit en hôpital.

Et maintenant je viens aider ,si je le peux, sur ce site entre autres choses...

Et toi tu es de quelle région ??
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Bonjour !

http://pagesperso-orange.fr/karl.claerhout/page21.htm

Bon courage
Anonyme
Posté le 3 mai 2010
moi je suis dans le centre j'ai douze ans et donc ben je suis en 6 eme
Anonyme
Posté le 3 mai 2010
merci
Anonyme
Posté le 3 mai 2010
merci
Anonyme
Posté le 4 mai 2010
Les conditions de la femme :




La femme, considérée comme mineure, reste toute sa vie soumise à une tutelle masculine. Dans les temps les plus anciens, le mariage cum manu la fait passer de l'autorité paternelle à l'autorité maritale. Il s'agit toujours de l'autorité absolue patria potestas du chef de famille pater familias qui a droit de vie et de mort sur tous ceux qui habitent sous son toit. Il peut punir de mort son épouse pour adultère ou pour toute autre raison. A partir de 445 avant J.C., les plébéiens ayant obtenu le droit de mariage avec les familles patriciennes, celles-ci font triompher progressivement le mariage sine manu : l'épouse reste alors, même après le mariage, sous l'autorité du père qui désigne pour lui succéder un tuteur légitime. A partir du IIe siècle avant JC, la patria potestas est progressivement limitée. La tutelle légitime, affaiblie par les lois d'AUGUSTE, sera complètement supprimée au IIe siècle après JC. Le mari peut répudier son épouse notamment pour stérilité, tentative d'avortement, falsification des clés...à condition de restituer la dot à la famille de celle-ci. Les femmes n'acquièrent le droit au divorce qu'au début de l'Empire.

La matrona ou mère de famille doit se comporter en épouse soumise, rester à la maison pour filer et tisser la laine, activité qui symbolise les devoirs mais aussi la dignité de sa fonction. Elle est en effet entourée d'honneur, en tant que gardienne du foyer, et dotée d'un certain pouvoir à l'intérieur de la maison : elle dirige les servantes (le trousseau de clés qu'elle détient est l'emblème de son pouvoir), elle a la charge d'éduquer les jeunes enfants qui conservent pour elle un immense respect. A partir de la fin de la République les femmes ont moins d'enfants et s'occupent de moins en moins de leur éducation. Elles sont moins cantonnées à l'intérieur de la maison. Au IIème siècle avant JC, elles manifestent dans la rue pour réclamer l'abrogation d'une loi d'austérité qui limitait leurs dépenses de toilette. Admises dans les banquets, plus instruites et cultivées qu'autrefois, elles participent de plus en plus à la vie mondaine, culturelle et politique de leur temps, même si elles n'ont pas le droit de vote ni celui de participer aux assemblées. Au Ier siècle après JC, les hommes voient avec inquiétude les femmes envahir des terrains jusque là réservés aux hommes : la littérature, les sports et même les sports de combat (les spectacles de gladiatrices sont réputés). Elles participent, surtout dans les milieux riches, au relâchement général des moeurs, elles rivalisent parfois de vulgarité avec les hommes dans les banquets, et multiplient adultères et divorces.





Le mariage :



L'âge légal est de 12 ans pour les filles, 14 ans pour les garçons. Mais ceux-ci se marient en général vers 30 ans. A l'époque républicaine,on ne se marie pas par amour mais pour avoir des enfants et accomplir ainsi un devoir religieux (continuation du culte des ancêtres) et civique. Les romains de cette époque condamnent toute manifestation publique de tendresse entre époux.

A l'origine, seuls les patriciens ont le droit de se marier légalement. Les plébéiens n'obtiennent ce droit qu'en 450 avant JC, et les étrangers et les esclaves en seront toujours privés. Les mariages les plus anciens étaient des mariages cum manu qui faisaient passer la jeune épousée de l'autorité du père à celle du mari.

Il y avait trois formes possibles de mariage :

La confarreatio, cérémonie la plus ancienne, à caractère religieux et qui rendait le mariage indissoluble. Après la prise des auspices, les deux nouveaux époux offraient à Jupiter un gâteau de froment ou farreum qu'ils se partageaient ensuite devant l'autel domestique. A la fin de la République ce mariage n'est plus en usage que dans les familles de flamines (prêtres).

La coemptio consistait en un achat symbolique de la jeune fille par le fiancé. Le père accomplissait l'acte rituel de vente en prononçant la phrase "par l'airain (pièce de monnaie) et la balance, je transfère la propriété".

Le mariage per usum ou de fait, qui légitime une cohabitation d'une année.

A partir de 445 avant JC., date à laquelle les plébéiens obtiennent le droit d'épouser des filles de patriciens, se généralisent les mariages sine manu qui permettent au père de garder le pouvoir sur sa fille même après le mariage. Des artifices permettent de rendre sine manu les mariages par coemptio ou per usum. Mais à la fin de la République, ces deux formes de mariages ont pratiquement disparu. Un nouveau type de mariage apparaît dit nuptiae fondé sur le consentement mutuel.

Les cérémonies sont à peu prés semblables dans les diverses formes de mariages. La cérémonie préalable au mariage est les fiançailles. Sous l'Empire, elles consistent en un engagement réciproque des fiancés devant témoins. Le fiancé passe un anneau à l'annulaire gauche de la jeune fille et lui offre des cadeaux, souvenir probable des arrhes qui scellaient le contrat des fiançailles à l'époque de la coemptio. La veille du mariage, la fiancée revêt une tunique blanche, tissée de façon traditionnelle et coiffe ses cheveux en six tresses ramenées autour de la tête à la manière des vestales. Le matin du mariage, elle s'entoure d'un palla ou manteau couleur safran, chausse des sandales de la même teinte, et se couvre la tête d'un voile orangé flamboyant sur lequel est posée une couronne de fleurs. Au domicile des parents de la mariée, on fait un sacrifice sur l'autel domestique et l'on consulte les auspices. Puis une matrone n'ayant été mariée qu'une seule fois, joint devant 10 témoins, les mains droites des nouveaux époux en signe d'engagement mutuel à vivre ensemble. Durant la nuit, à l'apparition de l'étoile Vesper, un simulacre d'enlèvement de la mariée met fin au festin de noces. Un cortège, précédé de porte-torches et de joueurs de flûte accompagne la mariée jusqu'au domicile de l'époux. Les amis des deux nouveaux époux chantent alternativement un chant d'hyménée interrompu par des exclamations rituelles et des plaisanteries grivoises qui fusent de toutes parts. On lance des noix aux enfants. Deux amies de la mariée portent le fuseau et la quenouille qui sont les symboles de ses vertus domestiques. Accueillie par son époux qui lui demande son nom, elle répond par la formule rituelle "Où tu seras Gaius, je serai Gaia". Elle orne les montants de la porte avant d'entrer puis les amis du marié la soulèvent pour lui faire franchir le seuil dans un souci d'éviter un mauvais présage. Son époux lui présente l'eau et le feu, symboles de la vie commune et du culte familial, ainsi que les clés de la maison. Elle offre à son tour 3 pièces de monnaie, l'une à son époux, l'autre au dieu Lare, la troisième au dieu du carrefour le plus proche.

En éspérant t'avoir aider.
Bonne chance et n'hésite pas si tu as encore besoin d'aide.

Bonne fin de journée.

Camille
Anonyme
Posté le 5 mai 2010

Belle région !! A bientôt ...8)
Anonyme
Posté le 5 mai 2010
Drayah

Tu ne te fatigue pas pour tes aides ,tu te contente de ce genre réponse pratiquement sur toutes .

Tu laisses faire le travail aux autres et ensuite tu vien dire que c'est bien tu t'en va !

Il n'y a aucune aide ,juste un moyen facile de récupérer des points sans te fatiguer les méninges !!!
Anonyme
Posté le 8 mai 2010
Bonjour mamalol98 ,
voici ce que jai trouver surr le net : : :
a femme romaine est traditionnellement, c'est-à-dire selon la religion romaine, sous la dépendance de son père (pater familias), puis de son mari. À Rome, on ne conservait en général que la fille aînée. La mention de deux filles dans une famille romaine est tout à fait exceptionnelle. «Tous les juristes ont relevé ce qu’on appelle la disparition forcée des cadettes1». Le phénomène existait aussi chez les garçons chétifs ou victimes d’une malformation. Alors que les garçons reçoivent un prénom, ce qui est une marque d’individualité, les filles ne conservent que celui du père. Ce n’est qu’à la fin du ive siècle que le droit de vie et mort sur ses enfants est retiré au pater familias2.






La coutume romaine donnait originellement le même statut aux femmes que celui des enfants, elles étaient soumises au pater familias qu'il soit père ou mari, de la même manière qu'un enfant. Elles étaient destinées à être femme et mère. Ce cadre était, en fait, religieux. Sortir de ce cadre, comme par exemple commettre un adultère, c'était se révolter contre les dieux du foyer. Une fois veuve ou divorcée, la femme rentrait au domicile du père toujours pour honorer les dieux du foyer. Dans l'hypothèse où la femme devait ou choisissait de rester seule, elle ne dépendait plus des dieux du foyer et par conséquent pouvait faire les mêmes choses qu'un homme libre.
Les femmes, comme dans nombre de civilisations, sont politiquement mineures et exclues de la plupart des droits. Être romaine permet néanmoins d’être choisie comme vestale, de participer à certains cultes traditionnels et de contracter le mariage légal. Certains aspects de la tradition romaine leur accordent des droits dont les femmes ne disposent pas dans d'autres cultures :
leur témoignage est recevable devant un tribunal (sauf de la part des courtisanes, vénales par définition),
elles peuvent hériter à part entière
elles ont droit comme les hommes à l’éloge funèbre lors de leurs funérailles, tradition que Tite-Live fait remonter à l’époque du sac de Rome par les Gaulois (390 av. J.-C.), lorsque les dames romaines avaient offert leurs bijoux pour financer la rançon exigée par les Gaulois3.
Enfin, selon une tradition que les Romains faisaient remonter à l'enlèvement des Sabines, les Romaines sont dispensées de tout travail domestique ou agricole, excepté filer la laine et élever les enfants.

en esperant t'tavoir aider ;)
habibah =)
Anonyme
Posté le 9 mai 2010
Coucou, ce que je sais c'est que la femme n'est pas considérée comme citoyenne, car............c'est une femme.
Anonyme
Posté le 12 mai 2010
Ton paragraphe avance bien ?
Anonyme
Posté le 13 mai 2010
bonjour tu peut aller sur google ou le moteur de recherche de ton chois tape wikipedia tu veras c'est cool siple et rapide tu trouveras tout j'ensuis sur salut.
Anonyme
Posté le 18 mai 2010
oui j'ai appris beaucoup de choses avec vos sites
Anonyme
Posté le 18 mai 2010
merci cela m'a beaucoup servi
Anonyme
Posté le 18 mai 2010
merci cela me sert beaucoup comme tout ce que vous m'avez donner
Anonyme
Posté le 18 mai 2010
merci
Anonyme
Posté le 18 mai 2010
merci
Anonyme
Posté le 24 mai 2010
tu devrais déjà chercher des documents sur l'empire romain!
vas sur wikipédia
tu as ausssi :
www.memo.fr
tu as aussi sur pageperso orange : le role de la femme dans l'empire romain
Anonyme
Posté le 24 mai 2010
Anonyme
Posté le 24 mai 2010
merci

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