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Sujet du devoir

"Le gouvernement arbitraire d'un prince juste et éclairé est toujours mauvais. Ses vertus sont la plus dangereuse et la plus sûre des séductions: elles accoutument insensiblement un peuple à aimer, à respecter, à servir son successeur quel qu'il soit, méchant et stupide. Il enlève au peuple le droit de délibérer, de vouloir ou ne vouloir pas, de s'opposer même à sa volonté, lorsqu'il ordonne le bien; cependant ce droit d'opposition, tout insensé qu'il est, est sacré: sans quoi les sujets ressemblent à un troupeau dont on méprise la réclamation, sous prétexte qu'on le condit dans de gras pâturages. En gouvernant selon son bon plaisir, le tyran comment le plus grand des forfaits. Qu'est ce qui caractérise le despote? Est-ce la bonté ou la méchanceté? Nullement; ces deux notions n'entrent pas seulement dans sa définition. c'est l'étendue et non l'usage de l'autorité qu'il s'arroge. Un des plus grand malheurs qui pût arriver à une nation, ce seraient deux ou trois règnes d'une puissance juste, douce, éclairée, mais arbitraire: les peuples seraient conduit par le bonheur à l'oubli complet de leurs privilèges, au plus parfait esclavage.

1 Introduction en deux paragraphes
a Quelle est la thèse du texte ?
b Comment cette thèse est-elle argumentée ?
2; Expliquez
a " Ses vertus sont la plus dangereuse et la plus sûre des séductions: elles accoutument insensiblement un peuple à aimer, à respecter, à servir son successeur quel qu'il soit, méchant et stupide"

b "Qu'est ce qui caractérise le despote? Est-ce la bonté ou la méchanceté? Nullement; ces deux notions n'entrent pas seulement dans sa définition. c'est l'étendue et non l'usage de l'autorité qu'il s'arroge."

c "Un des plus grand malheurs qui pût arriver à une nation, ce seraient deux ou trois règnes d'une puissance juste, douce, éclairée, mais arbitraire: les peuples seraient conduit par le bonheur à l'oubli complet de leurs privilèges, au plus parfait esclavage."

Où j'en suis dans mon devoir

La thèse soutenue est consiédéré sur la justice
c "Un des plus grand malheurs qui pût arriver à une nation, ce seraient deux ou trois règnes d'une puissance juste, douce, éclairée, mais arbitraire: les peuples seraient conduit par le bonheur à l'oubli complet de leurs privilèges, au plus parfait esclavage. p