DM sur Germinie Lacerteux

Publié le 11 oct. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 13 oct. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

J'ai énormément de mal en français, sur les arguments de textes et je n'arrive pas à faire mon DM.

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Images concernant mon devoir de Français

Où j'en suis dans mon devoir

J'espère que vraiment quelqu'un pourra m'aider car la je pense encore avoir une très mauvaise note :/




6 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 11 oct. 2014

Il nous faudrait le texte sans sa on ne peux pas t'aider

Anonyme
Posté le 11 oct. 2014

Excuse moi la photo ne c'était pas téléchargé , voilà normalement elle devrait être là :)

Anonyme
Posté le 11 oct. 2014

C'est trop petit. Prends la moitié du texte et tu prends l'autre moitié pour que sa soit assez gros

 

Anonyme
Posté le 11 oct. 2014

C'est fait

Anonyme
Posté le 11 oct. 2014

J'espere vraiment qu tu vas savoir m'aider :$

 

Anonyme
Posté le 12 oct. 2014

1) Dans ce passage, Germinie apparaît comme une personne presser. " Elle avait eu " a courir" " Ligne 22. Une personne qui se retrouve à trouver deux milles trois cents francs mais la réalité est qu'elle n'en a les premiers cinq francs ( Ligne 24 ).

Les caractéristiques morales qui peuvent lui être donner sont l'orgueil (Ligne 33 je crois) ; et une battante, car malgré la honte et les difficultés, elle cherche l'argent et le réunis tout en vivant avec le minimum. Néanmoins Germinie nous est apparût comme une "soumise", les dernières lignes nous démontrent qu'elle est posséder par son maître pour toujours.

 

2) Ls différentes figures d'insistance qui soulignent les difficultés qu'à dû affronter la domestique dans sa quête d'argent sont : Ligne 24 à 29 " Elle les avait quêtés, mendiés, arrachés pièce à pièce, presque sou à sou. Elle les avait ramassés, grattés ici et là, sur les uns, sur les autres, par emprunts de deux cents, de cent francs, de cinquante francais, de vingt francs, de ce qu'on avait voulu. Elle avait emprunté à son portier, à son épicier, à sa fruitière, à sa marchande volailles, à sa blanchisseuse, elle avait emprunté aux fournisseurs des quartiers qu'elle avait d'abord habités avec mademoiselle. " Ligne 31 à 37   " Elle avait quémandé partout, exhorté humblement, prié, supplié, inventé des histoires, dévoré la honte de mentir et de voir qu'on ne la croyait pas. L’humiliation d’avoué qu'elle n’avait pas d'argent placé, comme on le croyait et comme par orgueil elle le laissait croire, la commisération de gens qu'elle méprisait, les refus, les aumônes elle avait tout subi, essuyé ce qu'elle n'aurait pas essuyé pour trouver du pain, et non une fois auprès d'une personne, mais auprès de trente, de quarante, auprès de tous ceux qui lui avaient donné ou dont elle avait espéré quelque chose. "

3) Les caractéristiques donnés à l'argent est celui d'argents pauvres, d'argents salis par des mains sales, de l'argent qui ne donne pas envie étant donner qu'il est fait par des travailleurs qui travaille durs et beaucoup, un argent "médiocres". La dernière phrase de l'extrait nous montre que le héros arrivait à réunir l'argent demandé, mais qu'il en était rien pour elle. Elle était rabaisser et reste au stade de travailler dur pour une force supérieur, un patron, un maître comme il nous est décrit : son cauchemar n'est donc pas finis.

4) Son milieu social est évoqué à travers la "Dame". L'écrivain donne à ce personne une personne hors réalité. Elle prend dans ses bras la jeune femme, une travailleuse, et elle elle nous renvoie une image de bourgeoise qui remercie les pauvres de lui apporter de la richesse en plus. Ligne 22 " Elle avait eu " a courir " comme elle disait, pour retrouver une pareille somme, réalisser cette chose impossible : trouver deux milles trois cents frans [...] "

J'espère que j'ai réussi à t'aider!


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