Ecriture d'invention :

Publié le 23 nov. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 25 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Developer la dernière phrase du texte de Flaubert                                                                   

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Image concernant mon devoir de Français

Où j'en suis dans mon devoir

J'est fais les deux pages sans problème mais je bloque sur cet exercice alors si quelqu'un pourrai m'aidez ça serait sympa.




7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 23 nov. 2014

C'est très dificile ...

Anonyme
Posté le 23 nov. 2014

Je dois rendre le travaille demain, aidez moi SVP

Anonyme
Posté le 23 nov. 2014

C'est plutôt facile mais est-ce que tu pourrais réécrire la dernière phrase car je n'arrive pas à la lire, je pourrais t'aider ensuite ! :) 

Anonyme
Posté le 23 nov. 2014

Alors, ils parlèrent  de la médiocrité provinciale, des existences qu'elle éttoufait, des illusions qui s'y perdaient.

Anonyme
Posté le 23 nov. 2014

voici tout le texte

Anonyme
Posté le 23 nov. 2014
Emma Bovary est une jeune femme qui, à peine sortie du couvent, a épousé un médecin de province. Mais cette existence ne correspond pas à ses illusions romantiques. Pendant une foire agricole à Yonville, en normandie, elle rencontre un jeune homme seduisant: Rodolphe

Ainsi sa chemise de batiste à manchettes plissées bouffait au hasard du vent, dans l’ouverture de son gilet, qui était de coutil gris, et son pantalon à larges raies découvrait aux chevilles ses bottines de nankin, claquées de cuir verni. Elles étaient si vernies, que l’herbe s’y reflétait. Il foulait avec elles les crottins de cheval, une main dans la poche de sa veste et son chapeau de paille mis de côté.

— D’ailleurs, ajouta-t-il, quand on habite la campagne…

— Tout est peine perdue, dit Emma.

— C’est vrai ! répliqua Rodolphe. Songer que pas un seul de ces braves gens n’est capable de comprendre même la tournure d’un habit !

Alors ils parlèrent de la médiocrité provinciale, des existences qu’elle étouffait, des illusions qui s’y perdaient.

Anonyme
Posté le 23 nov. 2014

Je te fais une proposition: 

Emma parlait beaucoup, débitant tout ce qui avait compresser son coeur depuis qu'elle était venue vivre ici avec son nouveau mari, elle suffoquait presque d'ainsi s’extasier dans une véritable conversation. L'homme en face d'elle lui semblait sortir tout droit de l'un de ses romans à l'eau de rose qu'elle gardait précieusement sur le bord de la fenêtre où elle allait le lire. 

-On s'en ira, chuchota-t-elle soudain coupant court au bavardage. 

Il la regarda pétrifié, elle venait de dire tout haut le désir qui les brûlaient et pourtant ces quelques mots, plutôt que délivreur vinrent frapper en pleine poitrine les deux jeunes. 

Est-ce que ce début te convient ? Si oui tu n'as qu'à le continuer et n'hésites pas si tu as encore besoin d'aide ! :) 


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