Ecriture d'invention

Publié le 9 nov. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 15 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Raconter la scène de ce fut comme une apparition toujours a la 3eme personne du singulier cette fois selon le point de vue de mme arnoux vous devrez obligatoirement introduire 2 passage au discours indirect libre et conservez un  point de vue interne.

Ce fut comme une apparition:
Elle était assise, au milieu du banc, toute seule; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête; il fléchit involontairement les épaules; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda.
Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu.
Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manoeuvre; puis il se planta tout près de son ombrelle, posée contre le banc, et il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière.
Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une chose extraordinaire. Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé? Il souhaitait connaître les meubles de sa chambre, toutes les robes qu'elle avait portées, les gens qu'elle fréquentait; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites.
Une négresse, coiffée d'un foulard, se présenta, en tenant par la main une petite fille, déjà grande. L'enfant, dont les yeux roulaient des larmes, venait de s'éveiller. Elle la prit sur ses genoux. "Mademoiselle n'était pas sage, quoiqu'elle eût sept ans bientôt; sa mère ne l'aimerait plus; on lui pardonnait trop ses caprices." Et Frédéric se réjouissait d'entendre ces choses, comme s'il eût fait une découverte, une acquisition.
Il la supposait d'origine andalouse, créole peut-être; elle avait ramené des îles cette négresse avec elle?
Cependant, un long châle à bandes violettes était placé derrière son dos, sur le bordage de cuivre. Elle avait dû, bien des fois, au milieu de la mer, durant les soirs humides, en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans! Mais, entraîné par les franges, il glissait peu à peu, il allait tomber dans l'eau, Frédéric fit un bond et le rattrapa. Elle lui dit:
- "Je vous remercie, monsieur."
Leurs yeux se rencontrèrent.
- "Ma femme, es-tu prête?" cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l'escalier.

 

Où j'en suis dans mon devoir

Comme à son habitude, elle était assise, au milieu du banc, toute seule ; ou du moins, plongée dans ses pensées, elle ne voyait personne. Le banc lui paraissait fort humide pour un jour de beau temps; Mais ça ne la dérangée peu. Elle attendait l'arrivée de sa fille et de son mari M. Arnoux. Elle s'était fait toute belle pour paraître la plus élégante au bord de se cours d'eau : elle avait un large chapeau de paille qui lui avait été offert par son fiancé et sa robe de mousseline. Elle avait taché de bien dessiner ses sourcils, coiffée ses cheveux en bandeaux. Soudain, alors qu’elle relevait la tête, elle aperçut un jeune homme qui passait, qui quelques secondes plus tard, la regarda à son tour.Tout en brodant un petit napperon pour sa sœur, elle l’observa. Mais les rayons du soleil la gêné, elle ne pu donc le contempler comme lui l'avait fait. Malgré ça elle avait pu entrevoir de nombreuses choses comme : les traits de son visages assez réguliers, les cheveux châtains clair et ondulés. Le front étroit, les yeux bleu vifs qui pouvait détectait une éblouissante femme de loin, ainsi que les profonds secrets de la rivière a l'aide d'une chaloupe. Il paressait plus âgé qu'elle se qui montrait sa maturité. Il était assez grand et corpulent. Son regard ne la quittait pas des yeux. Elle étais comme plongée dans son regard, elle s'y sentais en sécurité et il avait l'air de n'y porter aucune attention. Un sentiment enchanté, plein d'amour ,surprenant, et curieux la traversa, pareil à la vue d'une scène romantique . Je ne pus décrire d'avantage ce sentiment. Tout excité, il ne cessait de faire des tours de droite a gauche.Comme si il était impatient : à l'attente d'un événement sans doute ! . Il semblait essayait de dissimuler sa manœuvre. Elle continua a broder mais levait régulièrement la tête pour le regarder.
La couleur de sa chemise était à elle seule une véritable énigme, un mystère des plus totales pour elle. C'était du « bleu ciel» était-ce une couleur indescriptible vue de sa beauté ? Sa chemise faisait ressortir ces beau gros yeux bleu vifs qui reflétait sa sincérité. Il paraissait si rêveur à regarder le fleuve et il m’intriguait de plus en plus. Elle en avait oublier l'arrivée de M. Arnoux et de sa fille. Soudain elle aperçu au main de son conjoint, sa fille pleurant. L'enfant dont les yeux roulaient de larmes venait de s'éveiller. Celle- ci pleurnichait a chaude larmes car on lui avait refuser l'achat d'une poupée en porcelaine. Elle avait bientôt sept ans donc il fallait arrêter de dire oui a tous ses caprices d'enfants pourri gâté. Elle détourna son regard que quelques seconde en direction de se magnifique monsieur mais son époux lui parla. Cependant son long châle à bandes violettes qui était placée derrière son dos afin de la couvrir s'envolait peu a peu. Elle utilisait se pardessus que pour les sorti dans des endroit assez humides comme celle-ci. Ce foulard était cher a ses yeux . Il lui a était offert par sa mère c 'est pour cela qu'elle essayait d'y prendre soin. Son écharpe s'envola en direction de la mer . «  Mon pardessus ! «  ressenti-je intérieurement pris d'un sentiment d 'étonnement et égarer. Elle était abasourdi et embrassé lorsque ce mystérieux et étrange homme bondi de toutes ses forces afin de récupérer son châle qui lui tenait à cœur. Il attrapa le châle et le donna d'un air fier et timide a Mme Arnoux. Ne sachant quoi dire a cette intervention elle lui dit tout simplement et complètement ébahi dans ses admirable et somptueux yeux  : « Je vous remercie monsieur. » Leurs yeux se rencontrèrent. Elle ressenti pendant de courte seconde de l'affection pour cet inconnue.

 

Les passages en gras sont au discours indirect libre ( je pense).

Pouvez vous corrigez mes fautes et me dire si j'ai bien respecter la consigne. 

Merci d'avance. :) 

 




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