exercice francais pour la rentrer

Publié le 25 févr. 2015 il y a 9A par Anonyme - Fin › 28 févr. 2015 dans 9A
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Sujet du devoir

 1) Transposer le texte de Maupassant en un quatrain d'alexandrins.

 

J'étais assis sur le môle du petit port d'Obernon près du hameau de la Salis, pour regarder Antibes au soleil couchant. Je n'avais jamais rien vu d'aussi surprenant et d'aussi beau.
La petite ville, enfermée en ses lourdes murailles de guerre construites par M. de Vauban, s'avançait en pleine mer, au milieu de l'immense golfe de Nice. La haute vague du large venait se briser à son pied, l'entourant d'une fleur d'écume ; et on voyait, au-dessus des remparts, les maisons grimper les unes sur les autres jusqu'aux deux tours dressées dans le ciel comme les deux cornes d'un casque antique. Et ces deux tours se dessinaient sur la blancheur laiteuse des Alpes, sur l'énorme et lointaine muraille de neige qui barrait tout l'horizon.
Entre l'écume blanche au pied des murs, et la neige blanche au bord du ciel, la petite cité éclatante et debout sur le fond bleuâtre des premières montagnes offrait aux rayons du soleil couchant une pyramide de maisons aux toits roux, dont les façades aussi étaient blanches, et si différentes cependant qu'elles semblaient de toutes les nuances.
Et le ciel, au-dessus des Alpes, était lui-même d'un bleu presque blanc, comme si la neige eût déteint sur lui ; quelques nuages d'argent flottaient tout près des sommets pales ; et de l'autre côté du golfe, Nice couchée au bord de l'eau s'étendait comme un fil blanc entre la mer et la montagne. Deux grandes voiles latines, poussées par une forte brise, semblaient courir sur les flots. Je regardais cela, émerveillé.
C'était une de ces choses si douces, si rares, si délicieuses à voir qu'elles entrent en vous, inoubliables comme des souvenirs de bonheur. On vit, on pense, on souffre, on est ému, on aime par le regard

Où j'en suis dans mon devoir

1) Transposer le texte de Maupassant en un quatrain d'alexandrins.

 

J'étais assis sur le môle du petit port d'Obernon près du hameau de la Salis, pour regarder Antibes au soleil couchant. Je n'avais jamais rien vu d'aussi surprenant et d'aussi beau.
La petite ville, enfermée en ses lourdes murailles de guerre construites par M. de Vauban, s'avançait en pleine mer, au milieu de l'immense golfe de Nice. La haute vague du large venait se briser à son pied, l'entourant d'une fleur d'écume ; et on voyait, au-dessus des remparts, les maisons grimper les unes sur les autres jusqu'aux deux tours dressées dans le ciel comme les deux cornes d'un casque antique. Et ces deux tours se dessinaient sur la blancheur laiteuse des Alpes, sur l'énorme et lointaine muraille de neige qui barrait tout l'horizon.
Entre l'écume blanche au pied des murs, et la neige blanche au bord du ciel, la petite cité éclatante et debout sur le fond bleuâtre des premières montagnes offrait aux rayons du soleil couchant une pyramide de maisons aux toits roux, dont les façades aussi étaient blanches, et si différentes cependant qu'elles semblaient de toutes les nuances.
Et le ciel, au-dessus des Alpes, était lui-même d'un bleu presque blanc, comme si la neige eût déteint sur lui ; quelques nuages d'argent flottaient tout près des sommets pales ; et de l'autre côté du golfe, Nice couchée au bord de l'eau s'étendait comme un fil blanc entre la mer et la montagne. Deux grandes voiles latines, poussées par une forte brise, semblaient courir sur les flots. Je regardais cela, émerveillé.
C'était une de ces choses si douces, si rares, si délicieuses à voir qu'elles entrent en vous, inoubliables comme des souvenirs de bonheur. On vit, on pense, on souffre, on est ému, on aime par le regard

 

pouvez vous m'aider car je n'y arrive pas




1 commentaire pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 25 févr. 2015

La partie "où j'en suis" est là pour que tu expliques ce que tu as déjà fait.

 

Pour faire le quatrain souligne les mots clés:

La petite ville, enfermée en ses lourdes murailles de guerre

s'avançait en pleine mer, 

La haute vague du large venait se briser à son pied, l'entourant d'une fleur d'écume ;

  les maisons grimper les unes sur les autres

 comme les deux cornes d'un casque antique.

  la blancheur laiteuse des Alpes,

la petite cité éclatante et debout sur le fond bleuâtre

  une pyramide de maisons aux toits roux,

dont les façades aussi étaient blanches,
Et le ciel, au-dessus des Alpes, était lui-même d'un bleu presque blanc,

quelques nuages d'argent

  comme un fil blanc entre la mer et la montagne.

Deux grandes voiles latines, poussées par une forte brise, semblaient courir sur les flots.

  comme des souvenirs de bonheur. On vit, on pense, on souffre, on est ému, on aime par le regard


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