Ainsi, je me souviens d'un  lointain voyage

Panama, Costa Rica j'en ai plein la cabeza

En tout cas j'ai hâte d’être là-bas je ferai la fiesta

Mais pour faire ce périple il faut avoir l'age

Les couleurs, saveurs, et traditions y'en a assez

Et je me fermerai les yeux tout en entendant chanter le vent*

Qui me mène en bateau jusqu'au soleil levant 

J'y vais comme ça je pourrai goûter, toucher, et savourer

Le paysage, les gens la langue tout est magnifique

*Je voudrais  voir ce qu'il en est de la rythmique

Soleil, luxe, carnaval, plage monuments on a tout notre temps

 Jabiru, jacamar  et ara, que d'oiseaux

**Bom dia  à tous, mon dieu quel envoûtement !

Et maintenant faite place au CARNAVAL DE RIO

Bom dia = bonjour en portugais ( la langue du Brésil)

Tu n'as pas respecté les alexandrins.

Les alexandrins ne sont pas toujours respectés

Inutile de répéter systématiquement ce qui a déjà été dit

la modération

Peut-être cela t'inspirera-t-il pour améliorer ton poème...

Longtemps j'avais songé à ce lointain voyage

Panama, Costa Rica, emplissaient ma tête

J'avais hâte d'y être pour y faire la fête

Mais pour un tel périple il fallait avoir l'âge

Saveurs, couleurs et traditions, tels des mirages...

Fermer les yeux, quand les vents parfumés m'entêtent,

Et mènent mon bateau jusqu'aux exquis rivages...

Et puis toucher enfin, et goûter à ces  fêtes !

Jabiru, jacama, et ara, beaux oiseaux,

colorant l'air de leurs chants si beaux,

J'entends et je souris, je regarde et je vis.

Paysages, habitants, langue et sons tribaux

Je cherche les rythmes, et découvre la vie

endiablée des cariocas :  boa dia  Rio !

(rimes ABBA ABBA CCD, CDC ; alexandrins)