Procédés utilisés dans un corpus de textes.

Merci pour ta réponse. :)
Ce sont les mêmes dans les autres textes aussi ?

J'ai rédigé ma réponse et je pense l'avoir terminée. Ce serait possible de me donner un avis pour me dire ce qui ne vas pas, si il y a quelque chose à changer avant que je l'écrive sur feuille ? Voilà la réponse en question :

Les textes de George Duhamel, Simone de Beauvoir et Julien Gracq utilisent un certain nombre de procédés pour mettre en place une critique du cinéma et un éloge de la littérature efficaces.
Ce corpus traite des mêmes sujets à savoir du cinéma et de la littérature. Les auteurs priviligient tous l'écrit à l'image et se lancent donc dans une argumentation afin de défendre leurs points de vue. De nombreux procédés sont utilisés pour rendre leurs argumentations efficaces. Dans la totalité des extraits - et en particulier dans Scènes de la vie future - nous pouvons remarquer une accumulation de termes péjoratifs qui qualifient le cinéma. " C'est un divertissement d'ilotes, un passe-temps d'illéttrés, de créatures misérables, ahuries par leur besogne et leurs soucis. " Dès la première phrase, l'auteur exprime son mépris envers le cinéma. " Un spectacle qui ne demande aucun effort (...) n'excite aucun espérence, sinon celle, ridicule, d'être un jour "star" à Los Angeles. " Il va même jusqu'à le tourner en ridicule, le tout d'un ton ironique. Duhamel utilise aussi la concession en admettant que le cinéma est "encore dans son enfance" mais réfute cet argument en disant que malgré cela, le cinéma a déjà conquis le monde entier.
Nous notons aussi la présence d'anaphores qui contribuent à rendre les textes plus vivants et renforcent sans doute ce que les auteurs affirment. " Pas lieu de faire acte d'intelligence, pas lieu de discuter ... " " (...) à me déranger, à faire la queue, à subir les actualités et la publicité. " Par le biais d'accumulations et d'anaphores mais aussi de répétitions, de beaucoup de redondances et d'une gradation, les auteurs parviennent à accentuer leurs propos.
Pour renforcer la critique du cinéma, les textes sont écrits dans un registre satirique voir polémique. À l'opposé, le ton employé pour faire l'éloge de la littérature est évidemment beaucoup moins critique.
Ces trois auteurs nous offrent donc chacun une critique virulente du cinéma. Ils emploient de nombreuses figures d'insistances dans le but de mieux accentuer leurs propos et de nous faire croire que ceux qu'ils avancent est vrai. Dans un premier temps, ils essayent tous de nous convaincre que le cinéma est un art méprisable pour ensuite mieux nous faire pencher en faveur de la littérature, qu'ils considèrent comme étant sans défauts.