Notre dame de paris

Tout d'abord merci beaucoup pour votre réponse si précise et rapide !
Ensuite le professeur à dit que l'on devez aussi parler un petit peu dans la synthèse du portail central de la cathédrale et pour une synthèse à rendre il n'y devrait pas y avoir un peu plus de détails ? (je suis en 2nde)

Encore merci beaucoup pour votre réponse et bonne appétit :)

la soupe est trop chaude... je réfléchis et vais tenter de retrouver la photo du portail central sur le net pour ne rien oublier.

Très bien merci beaucoup j'attend votre réponse :)

en attendant va voir le site ci-dessous qui est très bien fait mais n'ouvre pas Quick... ne copie pas servilement... inspires-toi des infos ...

http://www.notredamedeparis.fr/spip.php?article42

Oui je veux bien ne pas copier mais mon souci est que je n'arrive pas bien à synthétiser, mes phrases ne veulent rien dire... Donc pouvez-vous me formuler une synthèse et je la lirai bien et vous posez des questions en cas d'incomprehension ou de questions sur la méthodologie utilisée pour la synthèse ?
Le site ne marche pas sur mon ordinateur et je n'ai pas accès au téléchargement ce qui fait que QuickTime est bloqué, impossible de le télécharger :(


Merci beaucoup pour vos réponses !

exceptionnellement je vais te copier/coller ce qui y est écrit.

"Le Portail du Jugement est le portail central de la façade occidentale, installé dans les années 1220-1230, peu après les deux autres portails de la façade. Il représente le Jugement Dernier tel qu’il est écrit dans l’Evangile de Saint Matthieu.

Au linteau* inférieur, les morts ressuscitent et sortent de leur tombe. Juste au-dessus, au linteau supérieur, l’archange Michel pèse leur âme et, suivant la vie qu’ils ont menée sur la terre et l’amour qu’ils ont manifesté envers Dieu et les hommes, les élus sont conduits à gauche vers le Paradis (à la droite du Christ) tandis que les damnés sont menés par un diable vers l’enfer à droite.

Cependant le Christ au tympan*, majestueusement assis sur son trône de gloire, rappelle qu’il est venu sur terre pour sauver l’humanité, par son sacrifice sur la Croix. Il montre les plaies de ses mains et de son flanc tandis que les deux anges qui l’entourent portent respectueusement les instruments de la Passion : celui de gauche la lance et les clous de la Croix, celui de droite la Croix elle-même. Jésus nous demande ainsi de lui faire confiance et nous indique qu’alors tout deviendra possible pour nous, avec son soutien et l’aide de tous les saints qui intercèdent pour nous, en premier lieu Marie et Jean l’Evangéliste placés ici comme au pied de la Croix le jour de sa Crucifixion, Marie à sa droite et Jean à sa gauche.


© NDPAu-dessus, comme dans les autres portails, les voussures* sont occupées par la cour céleste (anges, patriarches, prophètes, docteurs de l’Eglise, martyrs et vierges) et l’on peut remarquer la place très réduite prise sur l’enfer tout à fait à droite. Il ne fait donc pas désespérer mais garder sa lampe allumée comme celle des vierges sages figurant au piédroit* gauche (du côté du Paradis), alors qu’au piédroit opposé, les vierges folles n’ont plus d’huile dans leur lampe à l’arrivée de l’Epoux.

Ce Portail a subi deux modifications importantes au XVIIIe siècle. Tout d’abord en 1771 où l’architecte Germain Soufflot [1] supprima le trumeau et la partie centrale des deux linteaux à la demande le l’Archevêque et du Chapitre, il fallait en effet faciliter le passage du dais sous lequel était présenté le Saint Sacrement lors des processions. Le vide réalisé fut remplacé par une arcade en bois ornée du chiffre de Marie rehaussé d’une couronne portée par deux anges. Les lourds vantaux de XIIIe siècle furent remplacés par deux portes où furent sculptés sur l’une le Christ portant sa croix et sur l’autre une Vierge douloureuse.

Autre avatar en 1792, les révolutionnaires détruisirent, comme aux autres portails de la cathédrale, les grandes statues des ébrasements. Lors de la grande campagne de restauration à la moitié du XIXe siècle, Viollet-le-Duc rétablira l’état d’origine du portail en faisant refaire, de même que les effigies des vierges sages et les vierges folles, le trumeau* et les statues des douze apôtres placées aux ébrasements. On reconnaît successivement :
à gauche, Barthélemy, Simon, Jacques le Mineur, André, Jean et Pierre
au trumeau, le Christ enseignant, placé sur un socle où sont sculptés les arts libéraux
à droite, Paul, Jacques le Majeur, Thomas, Philippe, Jude et Matthieu

Au pied des douze apôtres, des médaillons représentant les vertus et les vices qui leur sont opposés, thématique reprise dans la Rose ouest."

dans le paragraphe qui commence par "ce portail a subi deux modifications... " il y a un jeu de mots... qui circule chez les gens qui fréquentent souvent la Cathédrale et la font visiter... On a supprimé le trumeau (colonne sculptée centrale dans le porche du milieu) pour un beau dais (un baudet !)... un dais étant un tissu tendu sur 4 perches que l'on tenait au-dessus du St Sacrement dans un osthensoir quand on faisait une procession. Tu avouera que massacrer un chef d'oeuvre pour cela est quand même répréhensible !

Oui mais mon soucis comme je vous l'ai dit plus haut est que je n'arrive pas à synthetisé, à faire une synthèse... Pouvez-vous m'en faire une rapidement s'il vous plaît ? :$

La scène sculptée du Jugement Derniier selon l'Evangile de St Matthieu sur le portail central (occidental) de la Cathédrale de Notre-Dame de Paris est à elle seule un résumé de la vie du Christ, de la place prépondérante qu'il occupe dans le jugement des vivants et des morts, lors de l'apocalypse. Tout est vivant et sensible dans cette représentation : le Christ porte les trâces des plaies de sa Passion, sa mère et ses apôtres sont présents et participent à ce Jugement. Les anges entrâinent au paradis les âmes des justes que St Michel pèse dans sa balance et les damnés sont emportés en enfer par les démons. Les sculptures des vices et des vertus rappellent ce qu'il faut éviter ou mettre en pratique pour être jugés dignes de participer à la fête éternelle. De telles représentations permettaient au peuple du Moyen-Age de savoir concrètement ce qu'il devait mettre en pratique pour être sauvé.

Voilà une petite aide. Personnellement, je pense que l'enfer et le paradis sont des notions... et que Dieu étant père, ne peut perdre aucun de ses enfants ! Le ciel sera à mon avis une question d'intensité... qu'on ait un petit verre ou un grand verre, l'important c'est qu'il soit plein... quels que soient les chemins (religions ! orthodoxes, musulmans, Hindous, protestants, catholiques, animistes, etc.) empruntés pour vivre Dieu ; ma religion pour moi, c'est d'aimer les autres et de le leur témoigner.

Oui moi aussi j'aurai fait une description du portail mais le professeur m'a dit que cela serait du hors sujet car l'objet de la synthèse reste :

"en quoi le jugement dernier de notre dame témoigne t-il de la sensibilité religieuse des fidèles et du message que l'eglise veut diffuser"

Et c'est cette synthèse que je n'arrive vraiment pas a faire surtout qu'il faut en faire une vingtaine de lignes et je ne sais pas trop de quoi parler ...

Merci beaucoup

sans description mais quand même avec allusion :

Les scuptures des édifices religieux au Moyen-Age étaient destinées, non pas à faire joli mais à enseigner aux fidèles ce qu'il fallait vivre pour être sauver et aller au Paradis. Ainsi sur le portail occidental de la Cathédrale de Notre Dame de Paris, la scène du Jugement dernier, indique aux croyant ce qu'il faut faire ou ne pas faire pour être sauvé. Sachant que la Cathédrale est le siège de l'Evêque et que ce terme vient du grec Episkopos, celui qui veille sur son peuple et sur la bonne transmission de la Parole de Dieu, alors on comprend que sur ce siège épiscopal on utilise aussi la sculpture pour transmettre l'Evangile. Ainsi à Paris, les chrétiens assistent au Jugement dernier et doivent en retirer les leçons nécessaires : je dois m'exercer à la vertu et fuir les vices.

voilà quelques idées !

pour la sensibilité des fidèles, tu peux ajouter que l'être humain est sensible à tout ce qui est visuel et que ces sculptures lui "parlent" de par leur réalisme et émeuvent donc les fidèles qui les regardent.

(à ne pas ajouter, mais pense à l'exemplarité de la télévision : les films dans lesquels on tue, viole, vole, triche, brutalise... entraînent les téléspectateurs à en faire autant ! hélas... d'où une formation de la personnalité qui devrait se faire en famille et à l'école !)

Merci beaucoup, je m'occupe de faire la synthèse en détails construite.... Et je vous poste sa :) m

Encore merci à vous !