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Sujet du devoir
A) 1er extrait page 53 : 1) que represente la terre pour le soldat ? Pour quelles raisons ?
2) Aqui s'adresse le narrateur dans le deuxième paragraphe ? comment justifiez-vous ce tutoiement ?
3) Identifiez la principale figure de style. Relevez deux exemples.
4) quel est le temps principal de cet extrait ? Donnez sa valeur.
B) 2ième extrait page 196 : 5) Comment le narrateur Paul explique-t-il son geste ? Que ressent-il ? justifiez.
6) Que veut montrer l auteur ? soyez précis.
7) Relevez trois valeurs differentes du présent. Donnez des exemples.
8) D'après le narrateur , que ressent la generation a laquelle il appartient ? Pourquoi ?
9) Quel avenir envisage-t-il ? Soyez precis.
II) Analyse d'une planche de bande dessiné:
1) Presentez cette oeuvre (type de document, titre, auteurs , année de parution.
2) Relevez les differents elements qui composent cette planche. Pourquoi a votre avis n'y-a-t-il pas de bulle?
3) comment voit-on la violence de la guerre ? Appuyez-vous sur le traitement des couleurs , le decor, les personnages (position des corps.....)
4) Quels termes du recitatif (texte du narrateur) soulignent cette violence?
5) comment la composition du tableau suggere-t-elle que les soldats n'ont pas d'avenir ? Appuyez-vous sur les lignes et sur les plans.
Où j'en suis dans mon devoir
svp aidez moi car je suis pas tres bon en français
merci merci d'avance
7 commentaires pour ce devoir
http://combattant.14-18.pagesperso-orange.fr/Representer/EC01RemarqueOuest.html
E.M Remarque, A l’ouest rien de nouveau. L’auteur fut un soldat allemand.
Rôle de la terre = pour se protéger ...
beaucoup d'éléments
pour mieux cerner ce roman
Aidez moi svp
1) que represente la terre pour le soldat ?
"elle est alors son unique amie, son frère, sa mère"
A qui s'adresse le narrateur dans le deuxième paragraphe ?
"nous avons fouillé tes entrailles"
il s’adresse à la terre.
Ils ont besoin d'aide !
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Sans le texte, il est difficile de t'aider.
bonjour je t'envoi les extraits de texte
1er extrait page 53 : Pour personne, la terre n'a autant d'importance que
pour le soldat. Lorsqu'il se presse contre elle longue-
ment, avec violence, lorsqu'il enfonce profondément en
elle son visage et ses membres, dans les affres mortelles du
feu, elle est alors son unique amie, son frère, sa mère. Sa
peur et ses cris gémissent dans son silence et dans son
asile : elle les accueille et de nouveau elle le laisse partir
pour dix autres secondes de course et de vie, puis elle le
ressaisit,_ et parfois pour toujours.....
L'ébranlement éperdu de notre existence en lambeaux
a trouvé un reflux vital qui est passé de toi dans nos mains,
de sorte que, ayant échappé a la mort, nous avons fouillé
tes entrailles et, dans le bonheur muet et angoissé d'avoir
survécu a cette minute, nous t'avons mordue a pleines lèvres....
merci de ton aide
2ieme extrait page 196:
Le silence se prolonge. Je parle, il faut que je parle. C'est pourquoi je n'adresse à lui, en lui disant : "Camarade, je ne voulais pas te tuer. Si, encore une fois, tu sautais dans ce trou, je ne le ferai plus, à condition que toi aussi tu sois raisonnable. Mais d'abord tu n'as été pour moi qu'une idée, une combinaison née de mon cerveau et qui a suscité une résolution : c'est cette combinaison que j'ai poignardée. A présent je m'aperçois pour la première fois que tu es un homme comme moi. J'ai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes; maintenant c'est ta femme que je vois, ainsi que ton visage et ce qu'il y a en nous de commun. Pardonne-moi, camarade. Nous voyons les choses toujours trop tard. Pourquoi ne nous dit-on pas sans cesse que vous êtes, vous aussi, de pauvres chiens comme nous, que vosmères se tourmentent comme les nôtres et que nous avons tous la même peur de la mort, la même façon de mourir et les mêmes souffrances ? Pardonne-moi, camarades; comment as-tu pu être mon ennemi ?
1er extrait page 53 : Pour personne, la terre n'a autant d'importance que
pour le soldat. Lorsqu'il se presse contre elle longue-
ment, avec violence, lorsqu'il enfonce profondément en
elle son visage et ses membres, dans les affres mortelles du
feu, elle est alors son unique amie, son frère, sa mère. Sa
peur et ses cris gémissent dans son silence et dans son
asile : elle les accueille et de NOUVEAU elle le laisse partir
pour dix autres secondes de course et de vie, puis elle le
ressaisit,_ et parfois pour toujours.....
L'ébranlement éperdu de notre existence en lambeaux
a trouvé un reflux vital qui est passé de toi dans nos mains,
de sorte que, ayant échappé a la mort, nous avons fouillé
tes entrailles et, dans le bonheur muet et angoissé d'avoir
survécu a cette minute, nous t'avons mordue a pleines lèvres....