Expression Ecrite

Publié le 15 sept. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 22 sept. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Un ami ou un adulte de votre entourage a convaincu de changer votre comportement. vous raconterez cette expérience en ra pellant d'abord comment vous vous comportiez puis comment votre interlocuteur s'y est pris pour vous amenez à changer

Consigne:
1) respect des différentes étapes du sujets
2) présence de passages narratifs et de dialogue
3) qualités des arguments formules

Où j'en suis dans mon devoir

A l'époque où j'étais agitée et impulsive, les gens me regardaient comme une personne peu fréquentable, Il et vrai que je ne n'acceptais aucune remarques ni qu'on me dise ce que je devais faire ou dire. La moindre réflexions ou obligation imposée me révolter. Mon comportement vis-à-vis de mon entourage comme avec mes parents ou mon frère était insupportable:
« Quand j'y repense cela le paraît être qu'un rêve ».
Quand je voulais quelque chose, je ne demandais pas, je me servais dans le frigo quand il s'agissait de nourriture. Quand c'était pour m’acheter des fringues, je piquais dans le porte feuille de mes parents car il me donnait plus d'argent de poche vus que j'étais dépensière .Quand ils s'apercevaient d'un trou dans leur argent, ils me demandaient si c'était moi, je disais que non, c'est mon frère! Ensuite sa crée un conflit général, j'étais contente En cour j'y allais pour m'amuser et distraire les copains, c'est sure que les profs eux ça les faisaient moins rire, à chaque cours vous pouviez être sûre que j'étais exclue...
J'étais soit collé, ou punis par les parents.
Alors forcement pendants heures j'avais le droit à la leçon de moral.
Quand j'avais décidé de ne pas rentré, je ne rentrais pas.
Quand j'allais en ville j'insultais les gens, les bousculés et sa me faisait rire. Mes grands-parents
Eux aussi essayaient de me remettre dans le droit chemins, mais je leurs disaient :
« Ce n'est pas votre problème, lâcher moi la grappe »
A force de se comportement mauvais, la famille refusait de me voir et tournée le dos à mes parents, mon frère ne me parler plus « à l'époque je men moquais » Tout le monde me jugée et ils ne cherchaient pas à comprendre pourquoi j'agissais de cette façon, « en même temps il n'y avait pas de raison »

Un jour je fis connaissance de nouveaux voisins « David et Nath » tous justes emménagés; Au début ils ne m’intéressaient pas plus que ça. C'est vrai qu'au fur-et-a-mesure, leur gentillesse et leurs présences ne m’insupportaient pas. Malgré mon comportement qui était désagréable, les « voisins » d'intéressés a moi.
Un jour ils m'ont même proposée de partir avec eux quelques jours avec leur petit garçon que j'aimais bien, j’acceptai.
« Nath » ne me posait aucunes questions sur mon comportement, et étrangement quand j’étais avec elle, j’étais apaisée.
Si elle me demander de débarrasser la table ou de sortir les poubelles je le faisais sans rechigner. Pendant ces quelques jours je fis la rencontre de quelques potes qui m’invitèrent à passé la soirée avec eux. J’ai bien ris et je me suis bien éclatée ; Je suis rentré à pas d’heure mais je ne m’attendais pas à ceux que Nath m’attende de pied ferme.
« Pourquoi tu t’es là lui dis-je ? »
Bizarrement elle ne m’a pas criée dessus comme pouvais faire mes parents, mais me demanda de m’installée sur la chaise d’un ton ferme et polie !
Elle commença : « Tu vois sa fais quelques heures que je t’attends, je ne vais pas m’énervée parce que je te respecte, mais toi me respecte tu ? » Et la je me suis senti très mal à l’aise et m’installa sur la chaise. Elle continua : « Je pensée que étais une jeune fille a qui je pouvais faire confiance, mais je vois que me suis trompée, un seul coup de fil aurais suffit à enlever mon inquiétude. Tu ne t’en doute certainement pas mais David et moi on s’intéresse à toi, et par ton comportement des gens comme nous te tourneront le dos. Si tu ne prends pas compte de tes actes et de ton attitude tu passeras a côté de bonne chose, et de bonnes personnes. T’es tu demandais si j’étais inquiète ?
Je lui répondis « Non, je ne pensais qu’a m’amusé ! »
Elle reprit : « Je suis d’accord avec toi, tu as le droit de t’amusé, mais réfléchie à tes actes.
Tu à pris l’habitude avec tes parents à ne pas dialogué et a dénigrer tout ce qu’ils pouvaient te dire, mais moi je ne suis pas tes parent s. Si tu veux que les gens te voie différemment et te respecte, respecte toi, la vie est faite de règles que même les adultes doivent se soumettre. Je pense avoir fait le tour des choses et n’insistera pas plus sur cette conversation, le débat et clos ; Mais sache que tu ma déçus ! Sur ceux bonne nuit et à demain.
- Sur ces mots je pris conscience que je l’avais blessée, et je restai planté la comme une imbécile et à ce moment là je compris qu’il fallait que je change.
- Le lendemain matin David et Nath firent comme ci rien ne c’était produit la veille, néanmoins la nuit m’a porter conseil, je décidai de leurs faire mes excuses qu’ils acceptèrent. La fin du séjour arrivé, nous rentrâmes chez nous, et David et Nath ne firent aucuns commentaires sur cet incident et disent à mes parents que tout c’était passé à merveille. Ils n’en croyaient pas leurs oreilles qu’un compliment puisse être fait à mon égard. Je m’approchai d’eux et les prirent dans mes bras ! A partir de ce jour toutes les choses changèrent : mon comportement, mes résultats scolaire, et mon rapport familial en fur que meilleures.
- Mon frère, mes parents et mes grands-parents étaient fières de moi.
- Quand je repense à tout ça, je me dis qu’a l’époque j’étais égoïste, personnel et sa me semble très loin. Je remercie la vie de m’avoir fait rencontrer David et Nath qui ont une place très importante dans mon cœur.
- Si j’ai un conseil à donné à quelqu’un prenez conscience de ce que vous avez autour de vous avant qu’il ne soit trop tard.

FIN



10 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
La moindre réflexions ou obligation imposée me révolter.

Correction : Le moindre réflexion ou obligation imposée me révoltait.
Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
« Quand j'y repense cela le paraît être qu'un rêve ».

correction : « Quand j'y repense, cela me paraît n'être qu'un mauvais rêve ».

Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
correction : je piquais dans le portefeuille de mes parents car ils ne me donnaient plus d'argent de poche, vu que j'étais dépensière. Quand ils s'apercevaient que de l'argent avait disparu, ils me demandaient si c'était moi, je disais que non, que c'était mon frère ! Ensuite cela a créé un conflit général : j'étais contente. En cours, j'y allais pour m'amuser et distraire les copains, c'est sûr que les professeurs, eux, cela les faisait moins rire, à chaque cours, vous pouviez être sûrs que j'étais exclue...
Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
correction : J'étais, soit collée, soit punie par les parents.
Alors forcément pendant des heures j'avais droit à une leçon de morale.

Quand j'avais décidé de ne pas rentrer, je ne rentrais pas.
Quand j'allais en ville, j'insultais les gens, les bousculais et cela me faisait rire. Mes grands-parents, eux aussi, essayaient de me remettre dans le droit chemin, mais je leur disais :
« Ce n'est pas votre problème, lâchez-moi la grappe »

A force de me comporter ainsi, la famille refusait de me voir et tournait le dos à mes parents, mon frère ne me parlait plus « à l'époque je m'en moquais » Tout le monde me jugeait et personne ne cherchait à comprendre pourquoi j'agissais de cette façon, je dois dire qu'en même temps, je n'avais pas vraiment de raison d'agir ainsi !

Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
Un jour, je fis la connaissance de nouveaux voisins « David et Nath » qui veenaient tout juste d'emménager ; Au début, ils ne m’intéressaient pas plus que ça. C'est vrai, qu'au fur et à mesure, leur gentillesse et leur présence ne m’insupportaient pas. Malgré mon comportement qui était désagréable, ces voisins s'intéressaient quand même à moi.

Un jour, ils m'ont même proposé de partir avec eux quelques jours avec leur petit garçon que j'aimais bien. J’acceptais.
« Nath » ne me posait aucune question sur mon comportement, et étrangement quand j’étais avec elle, j’étais apaisée.
Si elle me demandait de débarrasser la table ou de sortir les poubelles, je le faisais sans rechigner. Pendant ces quelques jours, je fis la rencontre de quelques potes qui m’invitèrent à passer la soirée avec eux. J’ai bien ris et je me suis bien éclatée ; Je suis rentré à point d’heure mais je ne m’attendais pas à ce que Nath m’attende de pied ferme.

« Pourquoi es-tu là ? lui dis-je.

Bizarrement elle ne m’a pas crié dessus comme pouvaient le faire mes parents, mais elle me demanda de m’installer sur la chaise d’un ton ferme et poli !
Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
Elle commença à me parler calmement : « Tu vois cela fait quelques heures que je t’attends, je ne vais pas m’énerver parce que je te respecte, mais toi me respectes-tu ? »

Et la je me suis sentie très mal à l’aise sur ma chaise.

Elle continua : « Je pensais que tu étais une jeune fille à qui je pouvais faire confiance, mais je vois que me suis trompée, un seul coup de fil aurait suffi à enlever mon inquiétude. Tu ne t’en doutes certainement pas, mais David et moi, on s’intéresse à toi, et par ton comportement des gens comme nous te tourneront le dos. Si tu ne réfléchis pas aux actes que tu poses et à ton attitude, tu passeras à côté de bonnes choses et de bonnes et solides amitiés. T’es-tu demandé, un seul instant, si j’étais inquiète ?

Je lui répondis « Non, je ne pensais qu’à m’amuser ! »

Elle reprit : « Je suis d’accord avec toi, tu as le droit de t’amusér, mais pense à tes actes.

Tu as pris l’habitude avec tes parents de ne pas dialoguer et de dénigrer tout ce qu’ils pouvaient te dire, mais moi je ne suis pas tes parents. Si tu veux que les gens te voient différemment et te respectent, respecte-toi, la vie est faite de règles auxquelles même les adultes doivent se soumettre. Je pense avoir fait le tour des choses et n’insisterai pas plus à propos de cette conversation, le débat est clos ; Mais sache que tu m'as déçue ! Sur ce, bonne nuit et à demain.

- Sur ces mots, je pris conscience que je l’avais blessée, et je restais plantée là comme une imbécile et à ce moment-là je compris qu’il fallait que je change.
Anonyme
Posté le 15 sept. 2011
- Le lendemain matin David et Nath firent comme si rien ne s’était produit la veille, néanmoins la nuit m’a porté conseil, je décidais de leur faire mes excuses, qu’ils acceptèrent. La fin du séjour arriva, nous rentrâmes chez nous, et David et Nath ne firent aucun commentaire sur cet incident et dirent à mes parents que tout s’était passé à merveille. Ils n’en croyaient pas leurs oreilles, qu’un compliment puisse être fait à mon égard. Je m’approchai d’eux et les pris dans mes bras ! A partir de ce jour, la vie changea : mon comportement, mes résultats scolaires, et mon rapport familial en furent transformés.

- Mon frère, mes parents et mes grands-parents étaient fièrs de moi.
- Quand je repense à tout cela, je me dis qu’à l’époque j’étais égoïste, personnel et cela me semble très loin. Je remercie la vie de m’avoir fait rencontrer David et Nath qui ont une place très importante dans mon cœur.
- Si j’ai un conseil à donner à quelqu’un : prenez conscience de ce que vous avez autour de vous avant qu’il ne soit trop tard.

voilà et n'oublie de remercier.
Anonyme
Posté le 16 sept. 2011
je te rappelle de remercier, car tu as fermer ta précédente demande sans remercier qui que ce soit. Pas de merci = pas de points de progression !
Anonyme
Posté le 16 sept. 2011
Je vous remercie Beaucoup
Anonyme
Posté le 16 sept. 2011
Je vous remercie Beaucoup

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