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Sujet du devoir
Bonjour je voudrai savoir comment se nomme le recueil de Aux Soldats Morts de Émile Verhaeren . merci d'avance!!Où j'en suis dans mon devoir
j ai chercher sur internet mais j ai rien trouvé aidez moi s'il vous plait je galere!6 commentaires pour ce devoir
oui mais c est quoi le recueil?
bonjour dune12,
Il me semble que le recueil est "les Ailes rouges de la guerre". Je crois qu’Émile Verhaeren n'a écrit qu'un seul recueil sur la guerre.
Fais des recherches sur le net.
flower
Il me semble que le recueil est "les Ailes rouges de la guerre". Je crois qu’Émile Verhaeren n'a écrit qu'un seul recueil sur la guerre.
Fais des recherches sur le net.
flower
Alors as-tu fait des recherches pour ce recueil ?
oui mais je ne trouve pas
Bonjour Dune12,
Voici le poème "La patrie aux soldats morts" extrait du recueil "les Ailes rouges de la guerre" numérisé :
http://commons.wikimedia.org/w/index.php?title=File:Verhaeren_-_Les_Ailes_rouges_de_la_guerre,_1916.djvu&page=85
Bonne continuation
Voici le poème "La patrie aux soldats morts" extrait du recueil "les Ailes rouges de la guerre" numérisé :
http://commons.wikimedia.org/w/index.php?title=File:Verhaeren_-_Les_Ailes_rouges_de_la_guerre,_1916.djvu&page=85
Bonne continuation
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Emile VERHAEREN
Aux soldats morts
« Vous ne reverrez plus les monts, les bois, la terre
Beaux yeux de mes soldats qui n’aviez que vingt ans
Et qui êtes tombés en ce dernier printemps
Où plus que jamais douce apparut la lumière.
On n’osait plus songer au réveil des champs d’or
Que l’aube revêtait de sa gloire irisée;
Seule, la sombre guerre occupait la pensée
Quand, au fond des hameaux, on apprit votre mort.
Depuis votre départ, à l’angle de la glace,
Votre image attirait et le cœur et les yeux;
Et nul ne s’asseyait sur l’escabeau boiteux
Où tous les soirs, près du foyer, vous preniez place.
Hélas! Où sont vos corps jeunes, puissants et fous ?
Où sont vos bras, vos mains et les gestes superbes
Qu’avec la grande faux vous faisiez dans les herbes ?
Hélas, la nuit immense est descendue en vous.
Vos mères ont pleuré dans leur chaumière close,
Vos amantes ont dit leur peine aux gens du bourg,
On a parlé de vous, tristement, tous les jours,
Et puis un soir de juin, on parla d’autre chose… »