Rédaction

Publié le 22 janv. 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 24 janv. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'ai fait une rédaction en français. Pouvez-vous me dire si le texte est compréhensif et si il y a des fautes ? Merci d'avance ^^

Où j'en suis dans mon devoir

Il y a trois ans, pendant les vacances de Noël, je suis allée chez mes cousines Coralie et Jessica pendant une semaine. En cette période, il neigeait beaucoup donc mon parrain et ma tante nous ont proposés d’aller passer un après-midi à la neige pour aller faire de la luge. Nous étions toutes excitées à l’idée d’y aller...
Le lendemain, nous nous préparions à partir pour l’après-midi. Les combinaisons et les bottes enfilées, nous montions dans la voiture pour une heure de route.

Une fois arrivés là-bas, Jessica faisait déjà la ‘fofolle’ dans la neige, moi et Coralie nous nous occupions de sortir la luge. Peu de temps après, nous sommes montés au sommet d’une piste de luge.
Au pied de la piste se trouvait des sapins protégés de fils barbelés, puis un peu plus loin, il y avait une route avec un grand ravin de l’autre côté.
Ma petite cousine Jessica voulu descendre la première et tout c’est bien passé.
Coralie et moi, nous voulions descendre la piste à deux dans une luge mais mon parrain refusait, il disait que c’était trop dangereux mais ma tante, elle, était un peu retissante mais nous a laissé le choix de faire comme nous le souhaitions.

Finalement nous avons désobéis à mon parrain, nous nous sommes installées toutes les deux dans la luge, Coralie derrière, et moi devant. J’ai donné un petit coup de pied sur la neige pour pouvoir descendre la piste.
La neige était gelée, la luge prit tout à coup de la vitesse. Devant nous se trouvait un tremplin formé par la neige, la luge continuait à prendre de la vitesse et dévala en cinq secondes la moitié de la piste... Nous entendions mon parrain crier : « Arrêtez-vous ! Freinez ! » . Ma cousine freina de toutes ses forces mais sans succès, la neige était trop gelée pour que les freins puissent agir.
Alors nous avions essayé de nous renverser sur le côté mais nous n’avons pas réussis. Quand nous nous sommes rendus compte que l’on faisait face au tremplin et aux fils barbelés sans pouvoir rien faire pour nous arrêter, nous nous sommes cramponnées l’une à l’autre et nous avions crié de toutes nos forces et j’ai fermé les yeux.
La luge passa sur le tremplin se qui l’a fit décoller grâce à la vitesse, elle a survolé les fils barbelés et a éviter les sapins. En une fraction de secondes, nous nous sommes retrouvées éjectées sur la route et la luge a continué son chemin et alla s’engouffrer dans le ravin...

Les voitures freinèrent toutes et une conductrice est venue à notre secours. Mon parrain, ma tante et ma petite cousine ont courus vers nous.
La luge à été récupérée par mon parrain : le dessous avait été creusé par les fils barbelés.
Nous avons été transportées dans une infirmerie près de la station de ski.
Nous avions dû traverser un bar, les gens me regardaient tous ! Je ne savais pas pourquoi... Les infirmiers se sont occupés de nous, Coralie s’en est sortie avec le poignet cassé et moi ? Qu’est-ce que j’avais ? On m’a appliqué de la crème sur le visage tout en gardant le secret de ce qu’il m’était arrivé.

Une fois dans la voiture, pour rentrer à la maison, ma tante et mon parrain se disputèrent à cause de l’accident qui n’aurait pas eu lieu si nous avions écouté mon parrain... Mon visage me brûlait, c’était horrible. Il n’y eu pas un mot avant de rentrer chez nous. Une fois à la maison, je me suis empressée dans la salle de bains devant le miroir pour découvrir ce que j’avais. Une fois dans la salle de bains, je me suis pétrifiée devant la glace, ce fut le choc ! Mon visage était entièrement brûlé. Des plaques de brûlures me dévisageaient, je ne ressemblais plus à rien...
Après m’être regardée, je me suis effondrée en larmes. Je suis allée voir Coralie et elle aussi était en pleurs. Nous n’osions pas en parler car l’accident nous avait tellement terrifiés.
Mon parrain appela mes parents pour leur apprendre la mauvaise nouvelle... Ma mère s’inquiétait terriblement pour moi, je n’ai même pas eu le courage de lui parler au téléphone.

Quand je repense à ce jour là, Coralie et moi nous nous répétons sans cesse que nous sommes des miraculées... Nous aurions pu être mortes, il y avait tout pour faire. Mais, je crois que ce n’était pas l’heure pour nous de mourir.
Les brûlures ne m’ont pas laissées de cicatrices : j’ai vraiment eu de la chance !
Je serais marquée à vie de cet accident. Depuis, je ne suis pas retournée à la neige, de peur qu’il m’arrive encore un malheur.



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 22 janv. 2012
salut moi je pense que ta rédaction est plutot bien, est qu'elle est bien rédigés mais attend plusieurs avis car sela vari par apport aux gens et peut étre que ton proffeseur n'apreciera pas comme moi continue tes efforts
Anonyme
Posté le 22 janv. 2012
D'accord, merci !
Anonyme
Posté le 22 janv. 2012
Merci beaucoup pour cette correction !

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