Redigez une lettre d'un Poilus

tu pourrais dire:
Ma très cher femme
J'ai été condamné à mort ce 26 juillet 1917, à cause d'un mal entendu, j'avais juste offert pain à un allemand, alors que lui et moi sommes ennemis, il souffre comme nous tous ici, il allait mourir, je le lui ai donné et maintenant me voila condamné.
J'ai le sentiment de trahison, je pensais bien faire, pour ma famille je voulais aider et je me sens mal de ne plus être à t'es coté.
Ensuite je sais pas......

je pense que c'est un bon début mais fait attention aux fautes d'orthographe
'très chère'
'à mort'
'à'
'fraternisé'
'donné'
'à'
'à'

Ma trés chére femme,
J'ai été condamné à mort ce 26 Juillet 1917,car j'ai à ce que l'on dit,fraterniser avec l'ennemi,mais j'ai juste donner à boire à un allemand,qui comme moi était en train de souffrir et de mourir.Un des poilus m'avait surpris,puis le denonça au chef qui me condamna à mourir sous les fusillades de mes compagnons,ceci m'avait pratiquement troublé puisque j'ai su que j'allais me faire fusiller par ceux avec qui j'ai passé de bon moments ou de mauvais moments,ceci me manquera de ne plus entendre la voix de mes proches.

Voici un lien qui va bien t'aider http://www.lourdes-infos.com/PDF%202008/Lettre%20de%20Poilus.pdf
Ou sinon :
http://1ere-guerremondiale.xooit.com/t198-Lettres-de-poilus.htm
( yen beaucoup la dessus)
Bonne chance !

Inspire toi de lettre que tu trouveras sur Internet

Oui, les fautes je les ai vues, je ne me jamais ou presque jamais mes accents sur les lettre ou je ne met pas leur terminaison quant je tape sur internet ;)

Merci beaucoup =)

Je te remercie.

Si j'étais à ta place, j'écrirais

Paris, le 5 novembre 1918

Si j'étais à ta place, j'écrirais

Paris, le 5 novembre 1918

Paris, le 5 novembre 1918

Ma chère femme,
J'ai été condamné à mort ce 3 novembre 1918. Maintenant, à lieu d'attendre la fin de la guerre, j'attends la fin de ma vie, de mon espoir d'être avec toi. Sincèrement, je ne sais pas très bien la cause de la damnation, mais la seule chose claire est que l'idéale pour lequel j'ai lutté m'a été volé. Un jour, j'ai essayé à donner une goutte d'eau à un allemand et j'ai passé comme coupable pour la fraternisation avec l'ennemi.Mon ennemi, l'ennemi de mon peuple? Je ne crois pas car il luttait pour le même idéal comme moi, il avait les mêmes espoirs comme moi. Mais, ma chère, ne sois pas triste, car je viverai toujours à côté de toi et de notre enfant. Je meurs comme un héros qui a essayé à aider pas un ennemi, mais un homme, mon frère si tu veux car il était comme moi - seul, souffrant, triste, luttant pour un idéal.Je suis gai et je vois la mort comme un ami qui couronne mon activité de soldat. Et maintenant je te dis Adieu et n'oublie pas que je t'aimerai à jamais.

de rien