Correction de mon texte, merci. (2)

Publié le 25 oct. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 4 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Bonjour ! Je suis revenue.

Eh ouais, un autre texte a corrigé ! Désolé, mais j'y peux rien.

Merci en tout cas :)

Où j'en suis dans mon devoir

Après cinq ans de ce malheur, Jonathan obtenu un travail à Paris et il dut déménager avec sa femme. La nouvelle ville était très différente de St-Christol, où on ne voyait presque jamais de grands et célèbres monuments. À en dire leurs expressions à la vue de la Tour Eiffel, ils ne l'avaient jamais vu en vrai et leur visage laissait paraître qu'ils étaient émerveillés ! Arrivés aux champs Elysées, le bruit qui régnait dans les rues, associé à une foule de personnes se huant dans les magasins leur donnait certainement des malaises. En effet, cela représente une réelle opposition avec leur petite commune d'origine, St-Christol.

 

En arrivant dans leur nouvelle maison, c'était sûr qu'ils éprouvèrent un sentiment de soulagement. Le lendemain, Jonathan partit tôt au bureau et Lily dut rester seule à la maison. Elle passa des heures et des heures sur son lit, le regard fixe sur le mur : elle pensait probablement à Ayden. Cela faisait cinq ans, que personne ne l'avait revu, mais le jeune enfant ne quitta jamais les pensées de sa mère. Cette dernière était devenue silencieuse, très silencieuse. Le soir, quand son mari rentra à la maison, il la vit regarder des enfants par la fenêtre. Donc, pour la distraire, il lui raconta sa journée. Néanmoins, elle restait inattentive. Il lui dit alors :


« Tu sais, Lily, aujourd'hui, j'ai rencontré un homme très sympathique. Il m'a fait visiter le bâtiment et on discutant, j'ai appris qu'il habitait à deux pas d'ici. C'est bien, non ? Il m'a dit que, comme toi, sa femme restait à la maison, seule. Tu pourras aller bavarder chez elle. Et ... ils ont aussi des enfants, trois.
-C'est vrai ? Tu crois qu'ils me laisseront jouer avec eux ?!, demanda sa femme, le visage soudain illuminé.
-Euh ... oui, pourquoi pas ?
-Ils ont quels âges ?
-La plus grande, Enola, a 10 ans. Ensuite, il y a Cléo, qui a 8 ans et Léo qui a 7 ans.
-Je partirais chez eux, dès demain ! »




7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 25 oct. 2014

La dernière phrase que je t'ai conseillé : Cela représente.. remplace par Paris. Je n'ai pas fait attention.

C'était sur : Il est certain / dut : dû / tu pourrais aller...

Anonyme
Posté le 25 oct. 2014

Merciii beaucoup ! Au fait j'ai un doute ... Ma nouvelle où un couple retrouve leur fils perdu depuis 5 ans, n'est pas extraordinaire ? Parce que ça s'arrive pas tout le temps! Donc, on peut pas trouver une autre chute de ce qu'on a écrit pour l'instant. On ne changera rien, sauf la fin. 

Anonyme
Posté le 25 oct. 2014

C'est clair que ça n'arrive pas tous les jours.. Cependant, il y en a qui par exemple retrouvent leurs parents beaucoup plus tard.. Donc oui c'est extraordinaire mais pas irréel donc c'est bien comme ça!

willffy
willffy
Posté le 25 oct. 2014

Après cinq ans de ce malheur, Jonathan obtint  un travail à Paris et il dut déménager avec sa femme. La nouvelle ville était très différente de St-Christol, où on ne voyait presque jamais de grands et célèbres monuments. À voir leurs expressions face à  la Tour Eiffel, on comprenait qu' ils ne l'avaient jamais vue en vrai et leur visage laissait paraître leur émerveillement  ! Arrivés aux champs Elysées ( cette phrase ne va pas, où est le sujet?) , le bruit qui régnait dans les rues, associé à une foule de personnes se ruant dans les magasins leur donnait certainement des malaises. En effet, cela représentaitun réel contraste  avec leur petite commune d'origine, St-Christol.

willffy
willffy
Posté le 25 oct. 2014

En arrivant dans leur nouvelle maison, c'est  sûr qu'ils éprouvèrent un sentiment de soulagement. Le lendemain, Jonathan partit tôt au bureau et Lily dut rester seule à la maison. Elle passa des heures et des heures sur son lit, le regard fixe sur le mur : elle pensait probablement à Ayden. Cela faisait cinq ans, que personne ne l'avait revu, mais le jeune enfant ne quittait  jamais les pensées de sa mère. Cette dernière était devenue silencieuse, très silencieuse. Le soir, quand son mari rentra à la maison, il la vit regarder des enfants par la fenêtre. Donc, pour la distraire, il lui raconta sa journée. Néanmoins, elle restait inattentive. Il lui dit alors :


« Tu sais, Lily, aujourd'hui, j'ai rencontré un homme très sympathique. Il m'a fait visiter le bâtiment et en discutant, j'ai appris qu'il habitait à deux pas d'ici. C'est bien, non ? Il m'a dit que, comme toi, sa femme restait à la maison, seule. Tu pourrais aller bavarder chez elle. Et ... ils ont aussi des enfants, trois.
-C'est vrai ? Tu crois qu'ils me laisseront jouer avec eux ?!, demanda sa femme, le visage soudain illuminé.
-Euh ... oui, pourquoi pas ?
-Ils ont quels âges ?
-La plus grande, Enola, a 10 ans. Ensuite, il y a Cléo, qui a 8 ans et Léo qui a 7 ans.
-J'irai  chez eux, dès demain ! »

 

Voilà pour l'orthographe

Bonne soirée.

Anonyme
Posté le 28 oct. 2014

Tu devrais faire une chute qui doit tout retourner meme le cerveau du leccteur

Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

bonjour,

j'ai remarqué que ton devoir avait des fautes d'orthographe mais ce n'est pas grave car je vais les corriger!!

Après cinq ans de ce malheur, Jonathan obtint un travail à Paris et il dut déménager avec sa femme. La nouvelle ville était très différente de St-Christol, où on ne voyait presque jamais de grands et célèbres monuments. À voir leurs expressions face à la Tour Eiffel, on comprenait qu’ils ne l'avaient jamais vue en vrai et leur visage laissait paraître leur émerveillement ! Arrivés aux champs Élysées cette phrase ne va pas, où est le sujet? , le bruit qui régnait dans les rues, associé à une foule de personnes se ruant dans les magasins leur donnait certainement des malaises. En effet, cela représentait un réel contraste avec leur petite commune d'origine, St-Christol.

En arrivant dans leur nouvelle maison, c'est  sûr qu'ils éprouvèrent un sentiment de soulagement. Le lendemain, Jonathan partit tôt au bureau et Lily dut rester seule à la maison. Elle passa des heures et des heures sur son lit, le regard fixe sur le mur : elle pensait probablement à Ayden. Cela faisait cinq ans, que personne ne l'avait revu, mais le jeune enfant ne quittait  jamais les pensées de sa mère. Cette dernière était devenue silencieuse, très silencieuse. Le soir, quand son mari rentra à la maison, il la vit regarder des enfants par la fenêtre. Donc, pour la distraire, il lui raconta sa journée. Néanmoins, elle restait inattentive. Il lui dit alors :


« Tu sais, Lily, aujourd'hui, j'ai rencontré un homme très sympathique. Il m'a fait visiter le bâtiment et en discutant, j'ai appris qu'il habitait à deux pas d'ici. C'est bien, non ? Il m'a dit que, comme toi, sa femme restait à la maison, seule. Tu pourrais aller bavarder chez elle. Et ... ils ont aussi des enfants, trois.
-C'est vrai ? Tu crois qu'ils me laisseront jouer avec eux ?!, demanda sa femme, le visage soudain illuminé.
-Euh ... oui, pourquoi pas ?
-Ils ont quels âges ?
-La plus grande, Enola, a 10 ans. Ensuite, il y a Cléo, qui a 8 ans et Léo qui a 7 ans.
-J'irai  chez eux, dès demain ! »


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