De retour chez lui, un des félons raconte ce combat a son épouse. (Le combat d'Yvain contre les felons). SVPP AIDDE :(

Sujet du devoir

SUJET: De retour chez lui, un des félons raconte ce combat a son épouse. Imaginez le dialogue en respectant les informations données dans le texte. Le félon exprimera ses sentiments (son dépit, sa souffrance) et reconnaîtra la valeur d'Yvain.
Le travail d'écriture devra êtres rendu après les vacances vous serez notés selon les critères suivants:
-dialogue correctement organisé
-récit du combat bien mené
-vocabulaire précis et bien utilisé (combat-équipement)
-sentiments du félon bien exprimés
-valeur d'Yvain bien expliquée
-texte correctement écrit mis en page

Où j'en suis dans mon devoir

Lisez-le jusqu'a la fin et svpp aidez moi pour corriger certaine chose (pas les fautes d'orthographe)

Le félon, d’une allure fâcheuse, rentra chez lui tout médusé à propos de sa grande défaite. Sur le chemin, il avait malencontreusement parut d’un aspect pitoyable, que ce soit dans son regard, ou de sa tête toujours basse. Ceci avait donc révélé aux habitant la victoire du chevalier au lion, et révéler aussi la couardise du félon envers un vrai chevalier. En arrivant chez lui il alla se refugier sous l’auvent, en attendant sa bien-aimé. Un peu plus tard, sa femme rentra et chercha son mari :
« - Ou es-tu ? Mon tendre et cher mari ? cria la jeune femme sarcastiquement.
- Sous l’auvent rejoins moi ! répondit d’une petite voix le mari. »
La femme du félon, Geneviève, rejoignis son pauvre mari qui s’empressa de parler d’une voix toute ébahit :
« - Ah ! Ma femme ! Si vous saviez comme je vous aime ! Mais cela est réciproque car tu ne m’a jamais promis de m’aimer malgré moi ou plutôt malgré mon honneur. Alors, en ce mois de soleil, promettez le moi ! Pour que vous et moi ne formions plus qu’une seule personne.
- Pourquoi me fais-tu promettre de tels choses au lui de m’avouer vite la vérité ! Car moi je la connais, dans ce comté tout se sait, vous avez perdu contre un malheureux petit chevalier ! Et de plus vous n’osez même pas le dire à votre femme que vous aimez tellement comme venez-vous de le dire ! cria Geneviève
- J’allais y venir ! Laissez-moi le temps ! Mais qui vous a prétendu cela ? Car personne et je ne dit bien personne n’est au courant ou même censé être au courant à propos de ma défaite ! protesta le félon.
- Et bien vois-tu, on est tous au courant ! Pourquoi n’avez- vous pas suivis les conseils de votre compagnon ? Sinon vous auriez gagné ! Vous devez être fort, mais vous agissez comme un immorale ! Vous avez beaucoup plus d’expérience que le chevalier au lion ! Comme tous les autres ! s’énerva la femme du félon.
- Arrêtez, vous agissez comme toutes ces vieilles dames austères ! Et j’ai suivis ses conseils ! Voulez-vous bien m’accorder le malheur de vous conter la bataille ? demanda le mari de Geneviève
- Ne m’abouche pas avec des vieilles dames ! Et je te l’accorde, c’est le moins que je puisse faire, je ne peux pas allez en arrière.
- Je vais donc commencer par le commencement ! Le combat venait de débuter, moi et mes deux compagnons étions énormément confiants. De loin j’observé le chevalier avec toute sa belle armure ou plutôt son armure flamboyante ! J’aimerais avoir toute cette armure, c’est un parfait chevalier, il a toute la panoplie : l’épée, l’écu, l’heaume, la cotte de maille, le baudrier, le panache,… Et j’en passe, mais je sais que nous en avons pas mal mais cela ne suffit guerre. Ensuite comme tu me l’as toujours dit : il faut prendre le taureau par les cornes, alors nous avons foncé sur le chevalier, le chevalier au lion, celui-ci commença une méthode de chevalerie, je me rappelle on me l’avait apprise…
- Qu’est-ce donc ? interrompit Geneviève.
- Je ne rappelle pas du nom de cette ruse, mais elle consiste à ne pas se précipiter sur l’adversaire et le laisser casser ses armes. Il m’a bien dupé avec cette ruse ! Je l’avais complètement oublié, et je dois avouer que pendant qu’il effectuer cela je suis tombé dans son jeu et j’ai vite cassé ma lance, mes deux autres coéquipier aussi. Je crois que notre adversaire était beaucoup plus confiant et nous l’avions sous-estimé. Il a le mérite ! dit le félon.
- Vous êtes en train de dire qu’il est plus vaillant que vous ?
- Non ! Oui ! Oui, je n’aurais jamais eu l’intelligence de pratiquer cela ! Ne croyez pas que je suis le meilleur des chevaliers ! Oui il est plus fort que moi ! Bon si je continue ? Ensuite, il s’éloigna, bizarrement, seulement pour éperonner sa monture. Mais il revint d’un grand pas et frappa violement le sénéchal.
- Va-t-il bien ?
- Oh, je ne veux guerre en parler. Ensuite moi et mon coéquipier sommes allez défendre notre sénéchal. Mais a quoi bon, ces coups était si fort et Yvain n’hésitait jamais, enfin selon moi. J’ai souffert énormément, j’ai essayé de toutes mes forces mais il est si fort. Il avait l’air d’aimer ce qu’il faisait, sa cause devait valoir. Je crois bien m’être trompé d’équipe, trompé de cause. Car qui voudrait combattre un combat inégal pour une fausse cause ! Ne trouves-tu pas ca normale ? Trois contre un, j’avoue au début je m’en réjouissais mais là je culpabilise surtout pour la suite que je vais vous conter. Le chef s’est relevé est à frapper le chevalier au lion si fort que je commençais à frémir devant le sénéchal. Quel spectacle ce combat ! Mais je ne voulais pas paraitre couard, et j’ai foncé sur Yvain avec mes compagnons et avons pris les dessus. Il était si mal en point, mais il continuait de toutes ses forces ! lâcha le félon.
- Eh bien alors ? Comment avez-vous perdu ?
- C’est le lion qui est origine de tout ça. Il est venu de nulle part et a commencer à attaquer le sénéchal. J’ai bien cru verser des larmes tellement cela était violent. Tellement que les mailles de son haubert volaient ! Ensuite le lion l’a pris l’a mis a terre et l’a trainé atrocement ! Et ensuite il lui a arraché le tendon de l’épaule et le…
- Non ne m’en dit pas plus sur ce que le lion avait fait ! Je ne pense pas avoir le courage de supporter un mot à nouveau ! C’est complètement répugnant ! interrompit la femme.
- Je sais mais il faut que tu le sache ! Il lui arrachait tous et n’importe quoi pour enfin lui laisser les entrailles nues… J’avais tellement peur que j’allais m’enfuir en courant, jusqu’il vienne a nous et…
- Oh ! Non ne dit rien ! Mon pauvre mari ! pleura Geneviève
- Je sais, regarde mes bras et mon visage. C’est un lion très déterminé. Je me demande comment a-t-il fait pour avoir un lion à ses ordres, c’est épatant ! Il a de l’honneur ce parfait chevalier, j’aimerais lui ressembler. Et nous étions ensuite a armes égales ! Deux contre deux. Ou plutôt un lion et un contre deux.
- Tu me déçois pourtant.
- Cogite ce que tu veux. Mais rien ne peux y faire, quand on voit le sénéchal se tordre et se vautre dans le flot sang vermeil qui coule de son corps, on ne peut rien faire... Je trouve que le chevalier au lion a énormément de valeur. Si un jour j’en ai l’occasion de lui ressembler je ne la perdrait pas. J’ai eu énormément peur lors de ce combat, mais je voyais dans les yeux d’Yvain l’endurance qu’il essayer de mener, cette endurance que moi je n’ai pas.
- Ce combat vous a appris beaucoup de choses apparemment


J'ai surement fait beaucoup de HORS SUJET , mais j'essaie d'etre dans le theme du PASSER --