Décrire un endroit naturel

Publié le 19 sept. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 26 sept. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Décrire un endroit naturel avec des adjectifs en 15 lignes. A l'imparfait. 11111111111111111111111111111111111111111

Où j'en suis dans mon devoir

C'est un grand jardin qui s'étend à perte de vue . Il a des allées parallèles et plein de jets d'eau et quelques bancs de pierres blanches . Ce paysage hésite à mi-chemin entre la pluie et le soleil.Il n'y a pas de bruits appart le bruit des oiseaux qui chantes



8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 19 sept. 2011
attention "appart" s'écrit "à part".
Ensuite question adjectif ta proposition est plutot légère et l'imparfait est passé ou?

C'était un grand jardin verdoyant... par exemple.
willffy
willffy
Posté le 19 sept. 2011
C'est un grand jardin qui s'étend à perte de vue . Il a des allées parallèles et plein de jets d'eau et quelques bancs de pierres blanches . Ce paysage hésite à mi-chemin entre la pluie et le soleil.Il n'y a pas de bruits "à part" le bruit des oiseaux qui "chantaient" .
C'est là que se retrouvaient nos mères chéries pendant les belles journées d'été, nous , les petits nous jouions .....

Et pense à changer le temps des verbes.

Bonne soirée.
Anonyme
Posté le 19 sept. 2011
C'est un grand jardin qui s'étend à perte de vue . Il a des allées parallèles ,d'innombrables jets d'eau et quelques bancs de pierres blanches . Ce paysage hésite à mi-chemin entre la pluie et le soleil.Il n'y a pas de bruit à part le chant mélodieux des oiseaux...

pense aux parterres de fleurs variées, multicolores, odorantes,
aux papillons légers
aux vieux arbres majestueux
aux allées pierreuses et sinueuses
aux pelouses verdoyantes d'herbes tendre
la fontaine rafraîchissante
les bancs accueillants

Voilà quelques adjectifs pour enrichir ton texte
évite les "il y a "
...les arbres se dressent
les pelouses s'étendent
les allées nous conduisent
la fontaine chante

Dans ce jardin le temps s'arrête...il semble magique


Bonne rédaction
Anonyme
Posté le 19 sept. 2011
Merci a tous
Anonyme
Posté le 20 sept. 2011
Bonjour,

Attention, tu n'as pas respecté la consigne de ton prof : l'emploi de l'imparfait.

Je corrige et apporte quelques modifications.

C'était un grand jardin qui s'étendait à perte de vue bordé d'allées parallèles, de jets d'eau immenses et quelques bancs de pierres blanches. Le ciel était sombre, le soleil se cachait peu à peu derrière de gros nuages cotonneux et quelques gouttes de pluies rendaient le décor très romantique.Aucun bruit ne perturbait cette nature et le chant des oiseaux résonnait avec élégance.

Evite les "il y a" qui alourdissent les phrases et les répétitions.

flower
Anonyme
Posté le 22 sept. 2011
Le néant... où est-tu ?
Anonyme
Posté le 22 sept. 2011
correction :
es-tu ?
Anonyme
Posté le 23 sept. 2011
Bonjour, je te propose ce texte qui est une version continuée de ton début. Je suis certaine de moi à 10 sur 20. J'espère que ça t'aidera:

C'était un grand jardin verdoyant. On y entrait par une grille en fer forgé noire. Sitôt le seuil franchi la nature s'étendait à perte de vue. Il y avait des pelouses fleuries et des allées qui serpentaient en se perdant dans les bois et les collines pour se finir en une multitude de petits sentiers.

Ces chemins menaient toujours à des endroits à part, merveilleux de quiétude, tel que par exemple des bassins que remplissaient doucement des petits jets d'eaux. Ça et là des bancs en pierre gris permettaient aux promeneurs de s'assoir. Des ruines de colonnades et de quelques statues en marbre blanc rappelaient aux visiteurs la nature antique de l'endroit.
Les arbres couvraient le ciel des bosquets. On y entendait que le bruissement des feuilles des arbres et puis l'écoulement de l'eau dans les fontaines.

On pouvait dire que c'était un endroit rafraîchissant, paisible, calme. Quand on s'y posait on avait plus envie de le quitter. C'était comme si le temps dans son imperfection demandait à suspendre son vol, lassé de courir qu'il était. Et cependant toujours le soir finissait par venir, embrasait le ciel de ses lueurs crépusculaires, et alors nous partions et je rentrais à la maison.

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