Expression Ecrite: Roman Policier

Sujet du devoir

Bonjour, Notre professeur de français nous a demandés de rédiger une nouvelle policière.
Cette nouvelle policière est notée sur 20: 15 points sur l'imagination et 5 points pour l'orthographe.
Il n'y a aucune limite, mais il faut qu'elle soit "à suite" c'est à dire que les mêmes personnages puissent fairent une autre enquête.

Où j'en suis dans mon devoir

Meurtre à la Faculté

Hector Trev se réveilla difficilement ce matin, ravagé par une nuit passé à se remémorer le visage affligé de tous les clients qu'il avait rencontré tout au long de sa carrière.
Il gagna la cuisine, but un cappuccino bien chaud, et prit une douche en souriant: il avait été admis à la nouvelle cellule d' Interpol: The International Unit of Investigation. Alors qu'il sortait de la douche, son nouveau téléphone professionnel mis à disposition sonna, l'alertant d'une nouvelle enquête.

«Un professeur de la faculté de Nantes vient de mourir. Selon les premiers éléments, la chute d'un objet lourd sur sa tête causa sa mort à onze heures et trente-quatre minutes car sa montre Géonaute se brisa à onze heures et trente-quatre minutes , lui expliqua Wolfgang, un de ses coéquipiers.
-Des indices?
-Aucun, hormis une empreinte digitale partielle sur les feuilles que portaient le professeur mais cette empreinte pourrait être la sienne.
-L'as-tu transmis à Albert?
-Oui, mais il lui faut l'empreinte des suspects.
-Venons-y, quels sont les suspects?
-Toutes les personnes qui n'avaient pas cours à onze heures et trente-quatre minutes , soit150 élèves.
-Demande au procureur un mandat pour prélever les empreintes de chaque suspect et boucle la
scène de crime.»

Pendant que Wolfgang s'occupait des demandes de Trev, Hector Trev prit congé, s'en allant chez le médecin légiste. Le chemin était très court, en effet, il lui suffisait de tourner à gauche, avançait tout droit prendre l'ascenseur, descendre de trois étages pour arriver au second, avancer tout droit pendant une dizaine de mètres et ouvrir la troisième porte métallique à droite.
Arrivé, le médecin légiste ne tarda pas à lui faire part de ses découvertes: L'arme du crime serait un livre de 723 grammes qui possède une gravure en quatrième de couverture, le livre est tombé sur la tête de la victime depuis le haut de l'escalier du bâtiment A où la victime a été trouvée: ce qui limite nos suspects aux 12 élèves de cinquième année qui possédaient le manuel de biologie d'édition Nathan en format compact et qui se trouvaient dans le bâtiment A entre dix heures et onze heures.
Tout en écoutant les dires du légiste, Trev, l'ancien détective, prenait des notes sur son calepin orange de marque Oxford qu'il achète à chaque meurtre. Ainsi, il s'est déjà rendu 692 fois chez le libraire de la rue du paradis pour acheter un calepin orange de marque Oxford.
Trev finit son entrevue en expliquant qu'il allait transmettre les informations à ses collègues, Albert Marquet et Wolfgang Kuhlmann.
Wolfgang, après avoir interrogé les suspects dans la salle d'interrogatoire numéro 2, vérifia les alibis de chacun et prit leurs empreintes pour les envoyés à Albert.
De ce fait, Albert vérifia les empreintes et affirma que seuls trois des suspects avait une empreinte qui correspondait: Lise France, François Métai et Bernadette Chirac. Parmi eux, Lise France était la seule qui ne possédait pas d'alibi.
Trev, interrogea Lise pendant près trois heures mais elle ne craqua pas...
Au bout des vingt-quatre heures de garde à vue, Hector finit par la laisser partir.
N'ayant plus aucune piste, Kuhlmann, prit congé et marcha en direction de la résidence de la victime qui est à dix minutes plus ou moins du siège de la cellule policière.
Arrivé à destination, Kuhlmann remarqua la présence de codes présents dans le disque dur de la défunte victime. Ne tardant pas à les décrypter, il apprit rapidement que la victime, Antoine Chirelli, était le père de François Métai, l'un des suspects. Après avoir partagé ses découvertes avec ses compagnons , Wolfgang laissa Trev songeur, lisant le dossier de la victime et de François Métai.
En effet, un des suspects, alors mis à l'écart grâce à son alibi, ressortait de l'oubli.
Finalement, il obtenu un mandat d'arrêt et s'en alla au domicile des Métai.
Il vivait avec sa mère, seule, dans un appartement de quatre-vingt-deux m2 au quatrième étage d'un immeuble de couleur argenté, ils possédaient aussi un balcon avec soleil plein-sud et véranda.
Trev prit l'ascenseur, appuya sur le bouton du quatrième étage, attendit l'ouverture de la porte de l'ascenseur et sonna au second appartement à sa gauche. Il arrêta François et l'amena dans la salle d'interrogatoire numéro trois. Ne cédant pas, il invita Wolfgang et Albert pour expliquer sa version des faits:
«La victime avait abandonné François à la naissance car il était marié avec une autre femme que sa mère. Son épouse, Maria, est morte d'un cancer, il y a de ça trois ans. François, qui avait enfin trouvé l'identité de son père et qui voulait se venger, finit par le tuer entre neuve heures et dix heures. Après l'avoir tué, il avança l'heure de la montre blanche Géonaute d'une heure et la cassa avec son manuel de sept cent vingt-trois grammes. Il en profita pour aller à la bibliothèque l'heure suivante, étant donné que chaque personne y restant une heure est enregistré:Il possédait donc un alibi.»
Après la tirade de l'inspecteur Trev, Wolfgang et Albert applaudissaient tandis qu'un policier menottait François.
C'est ce jour-là que la première enquête de la nouvelle cellule d'Interpol fut résolue. C’est aussi ce jour-là que Trev s'acheta une Audi TT rouge 2011.