J'ai un controle en francais sur le medecin malgrè lui de moliere(je passe mon controle vendredi)

Sommaire Le malade imaginaire : commentaire de texte
Mise en scène d'une mascarade entre lucidité et crédulité
Une mascarade sous le signe de la bouffonnerie et de la farce
Argan reste dans la crédulité : se met dans une folie profonde
Angélique et Béralde : 2 personnages qui se portent vers la folie mais qui gardent leur lucidité dans une recherche de la fête
Critique implicite et satirique de la médecine
Aucune connaissance préalable n'est requise pour être médecin
Etre médecin, c'est parler « latin » et porter les habits
Les médecins ne savent pas guérir mais tuer = folie dangereuse
Une mise en scène de la folie et de la médecine
Possibilité de parodier les médecins = sujet sérieux traité d'une manière comique = burlesque
Les médecins font médecin, un fou = danger pour la société
Une folie qui se répand sur les médecins
Résumé de la fiche de lecture Molière fait de nombreuses caricatures des Grands de ce siècle. Dans l’œuvre qui nous intéresse, il nous fait la critique de la médecine et de ses patients qui se rendent, apparemment plus malade qu’ils ne le sont réellement. Molière a intitulé cette pièce le Malade Imaginaire qui est une comédie-ballet. Depuis plus de dix ans, il fournit à la Cour de grands divertissements. Son « aventure théâtrale » l’oriente de plus en plus impérieusement vers l’invention de formes de spectacle total, produisait de plus en plus volontiers des comédies-ballets, genre qu’il inaugurait et inventait avec Les Fâcheux (1661), Le Bourgeois gentilhomme (1670). Il s’agissait d’intercaler entre les entractes d’une comédie des danses, des intermèdes musicaux, des effets spectaculaires variés, afin que, par le concours des divers arts et un jeu plus ou moins complexe de disparates et d’analogies entre les diverses composantes de l’ensemble, se produisait une fête des sens et de l’esprit. Durant dix ans (1661-1670), Molière avait trouvé en Jean-Baptiste Lulli, un incomparable collaborateur. Mais, le musicien florentin avait l’ambition de créer l’opéra en français, et tenait à capter à son seul profit la faveur de Louis XIV : il se brouille avec Molière, et obtient du roi (14 mars 1672) le monopole d’exploitation comme de composition des spectacles musicaux ; Molière désormais ne peut plus disposer, pour ses propres représentations, que de peu de chanteurs et de musiciens. Ainsi avec Marc-Antoine Charpentier, il prépare Le Malade imaginaire. Pour l’intermède final, on nous reconstitue sous nos yeux la grande salle de la Faculté de médecine. Molière a écrit cette comédie ballet afin de plaire au roi, Louis XIV qui aimait la musique et la danse.
Plus d’extraits de Le malade imaginaire : commentaire de texte [...] Le burlesque s'attaque à de hauts personnages qu'il fait agir ou plutôt parler bassement. L’entrée en scène de faux médecins montre la possibilité de pouvoir travestir la médecine. Il semble facile d’imiter le médecin comme l’a fait Toinette auparavant. Molière met en scène un sujet sérieux en le traitant d’une manière comique par l’utilisation du burlesque. De plus, l’utilisation d’instruments médicaux comme instruments de musique renforce le côté comique de la scène médicale qui est mise en ridicule. 2) Les médecins font médecin, un fou = danger pour la société Tout le monde peut devenir médecin même le plus fou et le plus crédule des hommes. [...]



[...] Mise en scène d’une mascarade entre lucidité et crédulité 1) Une mascarade sous le signe de la bouffonnerie et de la farce Béralde fait une farce à Argan en lui faisant croire qu’il va être médecin. Cela est proprement de la farce qui se joue des personnes. La farce met en œuvre tous les langages comiques qui seront, ici, le latin macaronique. Le comique de farce est très important avec le ballet de la dernière scène : l’examen de doctorat en médecine de l’Université de Paris, expliquant la cause des attaques répétées de Molière contre les médecins. [...]



[...] p.241 « mais ma nièce… » C’est pourquoi Béralde se permet de suivre la folie et les caprices d’Argan. Pour lui, c’est devenu un jeu de famille. De plus, il dit lui-même que « le carnaval autorise cela », c’est-à-dire cette part de folie. Il semble avoir une réelle domination sur la situation. La réplique d’Angélique nous le confirme p. 242 « oui puisque mon… ». béralde apparaît comme celui qui détient l’autorité, une forte lucidité et de l’intelligence. Béralde voit ce que les autres n’ont pu voir. [...]



[...] Pour l’intermède final, on nous reconstitue sous nos yeux la grande salle de la Faculté de médecine. Molière a écrit cette comédie- ballet afin de plaire au roi, Louis XIV qui aimait la musique et la danse. | |Troisième intermède | |Longueur |725 | |Répliques |28 | |Personnages |9 | |ballets |4 | Le prologue et les intermèdes représentent près du cinquième de la comédie. De longueur inégale, ils ont des fonctions diverses, illustrant tous les genres, de l’églogue héroïque du prologue célébrant Louis XIV, jusqu’à la bouffonnerie en latin macaronique de l’épilogue, en passant par les divertissements à l’italienne ou à l’orientale des deux entractes. [...]



[...] On a tout dit de l’extraordinaire dialogue parlé en latin macaronique, si drôle par sa fantaisie de langue et si acerbe par ce qu’il révèle de la médecine. Un homme parle en faux latin. Il est entrecoupé par de la musique. Il se retrouve au milieu des instruments. Tous les autres futurs médecins sont endormis ce qui montre leur peu d’intérêt. La médecine est mise au ridicule par l’intervention de la musique. Argan commence à parler latin en inventant des mots. Les médecins et les futurs médecins commencent à chanter. On dirait que les connaissances en médecine d’Argan sont en lui. [...]

http://moliere.med.pagesperso-orange.fr/acte1/index-a1.html voici un site avec des question et sur la page suivante les réponses

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