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Sujet du devoir
Il y a quelques temps,j'avais eu la plus grande crainte de ma vie,je raconterai dans quelques lignes les faits angoissants que j'ai vécu.
Où j'en suis dans mon devoir
Moi,j'ai ressenti la peur d'hiver dernier,par une nuit de Décembre.C'était un soir de pleine lune envers 11 Pm,j'étais chez mon qui avait comme tâche cette nuit là de faire un reportage dans un hôpital sur des phénomènes étranges.Alors,je restais avec mes cousins à la maison entrain de regarder un film,et après quelques instants nous nous sentions de l'ennuie,et nous décidâmes de sortir pour que nous nous baladions un peu.Sur notre chemin nous passions par une cimetière,je ne savais pas qui en a eu l'idée,mais,comme c'étais fermée,nous sommes montés sur la grille,et nous avons tous commencé à regarder les noms gravés sur les tombes.
Puis,le vent s'est mis à souffler à nos oreilles.C'était une sensation bizarre,le moindre bruit nous faisait sursauter.Nous avions l'impression que nos cheveux se dressaient sur nos têtes,nos cœur battaient à cent à l'heure,nous avions les trouillomètres à zéro.Le bruit ce n'était pourtant,que nos pas sur le gravier.Semblait-il.
Soudain,un hurlement retentit derrière moi,une chauve-souris frôla la tête de ma cousine qui cria en pleins poumons,ce qui nous fit hurler tous en chœur.Nous avions la peur aux ventres,nous nous mettions à courir comme des fous.Essoufflés,nous nous arrêtâmes devant une tombe qui ne présentait qu'une simple photo,c'était celle d'un homme très vieux.Aux cheveu longs,avec un nez crochu et,sur sa joue,on croyait apercevoir le trou causé par une balle:Image tout droit sortie d'un film d'horreur.
Une terrible angoisse s'empara de moi,j'avais l'impression que son regard ne fixait que moi.Mon cœur battait à la chamade,j'avais des sueurs froides et le sang qui se glaçait dans mes veines.
Ne pouvant plus supporter cette atmosphère "nous croyions alors être entourés de fantômes".Nous décidâmes de rebrousser le chemin en nous promettant de ne plus nous promener un soir en une heure tardive dans un endroit aussi effrayant.
6 commentaires pour ce devoir
Soudain,un hurlement retentit derrière moi,une chauve-souris avait frôlé la tête de ma cousine qui cria en pleins poumons,ce qui nous fit hurler tous en chœur.Nous avions la peur au ventre,nous nous sommes mis à courir comme des fous.Essoufflés,nous nous arrêtâmes devant une tombe qui ne présentait qu'une simple photo,c'était celle d'un homme très vieux,aux cheveux longs,avec un nez crochu et,sur sa joue,on croyait apercevoir le trou causé par une balle:image tout droit sortie d'un film d'horreur.
Une terrible angoisse s'empara de moi,j'avais l'impression que son regard ne fixait que moi.Mon cœur battait à la chamade,j'avais des sueurs froides et le sang qui se figeait dans mes veines.
Ne pouvant plus supporter cette atmosphère, nous pensions alors être entourés de fantômes, nous décidâmes de rebrousser chemin en nous promettant de ne plus nous promener un soir en une heure tardive dans un endroit aussi effrayant.
Si tu veux un conseil, évites ce genre de structures pseudo-littéraires avec des tournures et syntaxes compliquées : c'est bancal et ça montre que tu ne maitrises pas cette manière d'écrire. On dirait un texte de collégien
Par un soir de pleine lune vers 23h, j’étais chez mon ?? qui avait comme tâche cette nuit-là de faire un reportage dans un hôpital sur des phénomènes étranges.Alors, je restai avec mes cousins à la maison pour regarder un film, mais très rapidement nous avons ressenti de l'ennui, et nous nous décidâmes de sortir pour faire un tour.Sur notre chemin il y avait un cimetière, alors nous décidâmes de rentrés dedans mais comme c'était fermé, nous avons escaladé la grille, et nous avons commencé a observé les noms gravés sur les tombes. Soudain, le vent s'est mis à souffler dans nos oreilles.C’était une sensation étrange, le moindre bruit nous faisait sursauter.Nous avions l'impression que nos cheveux se dressaient sur nos têtes, nos cœurs battaient à cent à l'heure et nous avions les "trouillomètres" à zéro. Le bruit ce n'était pourtant pas arrêter mais en plus nous entendîmes nos pas sur le gravier. Brusquement, un hurlement retentit derrière moi, une chauve-souris avait frôlé la tête de ma cousine qui cria en pleins poumons, ce qui nous fit hurler tous en chœur. Nous avions la peur au ventre et nous nous sommes mis à courir comme des fous. Essoufflés, nous nous arrêtâmes devant une tombe qui ne présentait qu'une simple photo. C’était celle d'un homme très vieux, aux cheveux longs, avec un nez crochu et sur sa joue on semblant apercevoir un trou causé par une balle. Ce portrait paraissait sortir tout droit d'un film d'horreur. Une terrible angoisse s'empara de moi, j'avais l'impression que son regard me fixait. Mon cœur battait à la chamade, j’avais des sueurs froides et le sang qui se figeait dans mes veines. Ne pouvant plus supporter cette atmosphère nous pensions alors être entourés de fantômes, nous décidâmes enfin de rebrousser chemin en nous promettant de ne plus nous promener un soir en une heure tardive dans un endroit aussi effrayant.
Coucou, je t'ai fait quelques corrections : en gras les modifications que je t'ai faites, en italique des suggestions et en gras+italique les choses à enlever (selon moi) :
J'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. C'était un soir de pleine lune, vers 23 heures, j'étais chez mon (...) qui avait comme tâche, cette nuit là, de faire un reportage dans un hôpital, sur des phénomènes étranges. De ce fait, je restai avec mes cousins à la maison, en train de regarder un film. Après quelques instants, nous ressentîmes de l'ennui, et nous décidâmes donc de sortir nous balader (ou promener) un peu. Sur notre chemin, nous passions par un cimetière, je ne savais pas qui en avait eu l'idée, mais,comme c'étais fermé,nous sommes montés sur la grille,et nous avons tous commencé à regarder les noms gravés sur les tombes.
Tout à coup, le vent se mit à souffler à nos oreilles.C'était une sensation bizarre (étrange), le moindre bruit nous faisait sursauter. Nous avions l'impression que nos cheveux se dressaient sur nos têtes, nos cœur battaient à cent à l'heure, nous avions les trouillomètres à zéro. Pourtant, ce bruit n'était que nos pas sur le gravier, nous semblait-il.
Soudain,un hurlement retentit derrière moi,une chauve-souris frôla la tête de ma cousine qui cria à pleins poumons,ce qui nous fit hurler tous en chœur.Nous avions la peur au ventre, et nous nous mîmes à courir comme des fous. Essoufflés,nous nous arrêtâmes devant une tombe qui ne présentait qu'une simple photo,c'était celle d'un homme très vieux. Il avait les cheveux longs,avec un nez crochu et,sur sa joue,on croyait apercevoir le trou causé par une balle: image tout droit sortie d'un film d'horreur.
Une terrible angoisse s'empara de moi,j'avais l'impression que son regard ne fixait que moi.Mon cœur battait à la chamade,j'avais des sueurs froides et le sang qui se glaçait dans mes veines.
Ne pouvant plus supporter cette atmosphère qui nous faisait croire en la présence de fantômes, nous décidâmes de rebrousser chemin, tout en nous promettant de ne plus nous promener la nuit, en une heure si tardive et dans un endroit aussi effrayant.
Voilà, j'espère que ma correction t'aura aidé, je trouve que ton histoire est super ;) bonne chance, à+
c'est super
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J'ai ressenti une très grande peur l'hiver dernier,par une nuit de Décembre.C'était un soir de pleine lune envers 23h ,j'étais chez mon (??) qui avait comme tâche cette nuit là de faire un reportage dans un hôpital sur des phénomènes étranges.Alors,je restai avec mes cousins à la maison pour regarder un film,mais très rapidement nous avons ressenti de l'ennui,et nous décidâmes de sortir pour faire un tour.Sur notre chemin nous sommes passés par une cimetière,je ne savais pas qui en a eu l'idée,mais,comme c'était fermé,nous avons escaladé la grille,et nous avons tous commencé à regarder les noms gravés sur les tombes.
Puis,le vent s'est mis à souffler à nos oreilles.C'était une sensation bizarre,le moindre bruit nous faisait sursauter.Nous avions l'impression que nos cheveux se dressaient sur nos têtes,nos cœur battaient à cent à l'heure,nous avions les "trouillomètres" à zéro.Le bruit ce n'était pourtant,que nos pas sur le gravier,semblait-il.