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Sujet du devoir
Je dois créer un livre de poéme de chaques saison (été,hiver,printemps,automne:/ voila merci ..............................................................................Où j'en suis dans mon devoir
On a parlé avec le prof c'est tout :///////////////////////////////////////.................................................................................................................................................14 commentaires pour ce devoir
Automne Cadou René-Guy
L'hiver Pergaud Louis
Printemps Hugo Victor
Le printemps Pergaud Louis
LE VENT D'AUTOMNE Menanteau Pierre
Au printemps Gautier Théophile
Premier sourire du printemps Gautier Théophile
Automne Apollinaire Guillaume
Bonjour! Géraldy Paul
CHALEUR De Noailles Anna
CHANSON D'AUTOMNE Verlaine Paul
Chanson pour les enfants l'hiver Prévert Jacques
JOIE DU PRINTEMPS Delarue-Mardrus Lucie
L' autommne Careme Maurice
L'automne manon1997
LE MOULIN AU PRINTEMPS De Lamartine Alphonse
Le printemps Auguste ANGELLIER
Printemps Anne-Marie Chapouton
Quand automne en saison revient... Samivel
Rêve d'automne cilonite
RONDEAU Charles d Orléans
Saisons Jean-Pierre Siméon
Soir d'hiver Pouchkine
Tu pourras choisir.
Bon week end.
L'AUTOMNE :
Arbres remplis de fruits qu'en cette saison la nature
Nous donne généreusement !
Gaieté dans les vignes où les raisins bien mûrs
Sont cueillis en chantant.
Premiers brouillards et champignons cachés des bois
Nonnettes voilées, bolets bais...
Sous les noyers les enfants cherchent les dernières noix
Que le vent fait tomber.
Dans un grand champ un percheron retourne la terre
En fumant des nasaux
Pendant qu'une volée d'oiseaux se battent à l'arrière
Pour quelques vermisseaux !
De temps à autre, des aboiements cassent le silence
Mêlés de coups de feu ...
Cache-toi petite biche des chasseurs sans clémence,
Si tu veux vivre heureuse,
Arbres remplis de fruits qu'en cette saison la nature
Nous donne généreusement !
Gaieté dans les vignes où les raisins bien mûrs
Sont cueillis en chantant.
Premiers brouillards et champignons cachés des bois
Nonnettes voilées, bolets bais...
Sous les noyers les enfants cherchent les dernières noix
Que le vent fait tomber.
Dans un grand champ un percheron retourne la terre
En fumant des nasaux
Pendant qu'une volée d'oiseaux se battent à l'arrière
Pour quelques vermisseaux !
De temps à autre, des aboiements cassent le silence
Mêlés de coups de feu ...
Cache-toi petite biche des chasseurs sans clémence,
Si tu veux vivre heureuse,
LE PRINTEMPS :
Enfin, voici notre cher beau printemps
Qui doucement montre le bout de son nez
Car après cet hiver qui dura si longtemps
La terre et les arbres de fleurs vont s’orner
Ainsi bien sûr la froideur de l’hiver
Va quitter enfin notre pauvre terre
Avec ce printemps si beau si doux
Qui réchauffera tendrement surtout
Tous les oiseaux, comme les hirondelles
Vont nous bercer de chansons nouvelles
Et tous aussi vont à nouveau batifoler
Heureux de ce printemps et de sa beauté
Les animaux vont courir à perdre haleine
Sentant joyeusement l’odeur de la plaine
Surtout heureux que l’hiver soit enfin fini
Pour calment renaitre avec joie à la vie
Oui voilà enfin les joies du printemps
Qui sur nous descend si joyeusement
Et l’on chantera à tue-tête tout le temps
Cette si grande joie de cet enchantement.
Enfin, voici notre cher beau printemps
Qui doucement montre le bout de son nez
Car après cet hiver qui dura si longtemps
La terre et les arbres de fleurs vont s’orner
Ainsi bien sûr la froideur de l’hiver
Va quitter enfin notre pauvre terre
Avec ce printemps si beau si doux
Qui réchauffera tendrement surtout
Tous les oiseaux, comme les hirondelles
Vont nous bercer de chansons nouvelles
Et tous aussi vont à nouveau batifoler
Heureux de ce printemps et de sa beauté
Les animaux vont courir à perdre haleine
Sentant joyeusement l’odeur de la plaine
Surtout heureux que l’hiver soit enfin fini
Pour calment renaitre avec joie à la vie
Oui voilà enfin les joies du printemps
Qui sur nous descend si joyeusement
Et l’on chantera à tue-tête tout le temps
Cette si grande joie de cet enchantement.
L'ETE :
L’été qui doucement s’installe
fait jaunir l’herbe dans les prés,
vibrer les premières cigales
et gonfler les fruits du figuier
Souffrent les fleurs et les légumes…
il va falloir bien arroser.
La chaleur monte du bitume,
ne te promènes pas nu-pieds !
Les gens se pressent à la plage
peaux rouges et corps entassés...
Reste plutôt sous le bocage...
fais la sieste et, surtout, bois frais !
VOILA J'ESPERE T'AVOIR AIDER , A+
L’été qui doucement s’installe
fait jaunir l’herbe dans les prés,
vibrer les premières cigales
et gonfler les fruits du figuier
Souffrent les fleurs et les légumes…
il va falloir bien arroser.
La chaleur monte du bitume,
ne te promènes pas nu-pieds !
Les gens se pressent à la plage
peaux rouges et corps entassés...
Reste plutôt sous le bocage...
fais la sieste et, surtout, bois frais !
VOILA J'ESPERE T'AVOIR AIDER , A+
Pour Shaynes, tu n'as pas mis l'auteur. Ce qui est indispensable.
Pour le retrouver, normalement, il suffit de taper le 1° vers.
Pour le retrouver, normalement, il suffit de taper le 1° vers.
Voilà, voilà !
AUTOMNE :
Matin d'octobre.
C'est l'heure exquise et matinale
que rougit un soleil soudain
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin
Leur chute est lente, on peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre
L'érable à sa feuille de sang.
Les dernières les plus rouillées
Tombent des branches dépouillées
Mais se n'est pas l'hiver encore.
Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l'air tout rose,
On croirait qu'il neige de l'or.
François Coppée !
AUTOMNE :
Matin d'octobre.
C'est l'heure exquise et matinale
que rougit un soleil soudain
A travers la brume automnale
Tombent les feuilles du jardin
Leur chute est lente, on peut les suivre
Du regard en reconnaissant
Le chêne à sa feuille de cuivre
L'érable à sa feuille de sang.
Les dernières les plus rouillées
Tombent des branches dépouillées
Mais se n'est pas l'hiver encore.
Une blonde lumière arrose
La nature, et, dans l'air tout rose,
On croirait qu'il neige de l'or.
François Coppée !
HIVER :
Le givre.
Le givre a mis sur mes carreaux
Toute une blanche carapace
De sapins et de fins bouleaux
Des étoiles et des animaux
A longue fourrure de glace.
Je vois aussi sur mes carreaux
Un homme chaussé de raquettes
Serait-ce donc un esquimau
Qui va sortir de sa cachette
Et déposer sur son traîneau
Quelques mystérieuses bêtes.
Le givre fond sur mes carreaux
Adieu sapins et animaux
Mon esquimau n'a plus de jambes
Quel dommage c'était si beau.
Marcel Vérité
Le givre.
Le givre a mis sur mes carreaux
Toute une blanche carapace
De sapins et de fins bouleaux
Des étoiles et des animaux
A longue fourrure de glace.
Je vois aussi sur mes carreaux
Un homme chaussé de raquettes
Serait-ce donc un esquimau
Qui va sortir de sa cachette
Et déposer sur son traîneau
Quelques mystérieuses bêtes.
Le givre fond sur mes carreaux
Adieu sapins et animaux
Mon esquimau n'a plus de jambes
Quel dommage c'était si beau.
Marcel Vérité
ÉTÉ :
L'été.
C'est une fête en vérité,
Fête où vient le chardon, ce rustre ;
Dans le grand palais de l'été
Les astres allument le lustre.
On fait les foins. Bientôt les blés.
Le faucheur dort sous la cépée ;
Et tous les souffles sont mêlés
D'une senteur d'herbe coupée.
Victor Hugo
L'été.
C'est une fête en vérité,
Fête où vient le chardon, ce rustre ;
Dans le grand palais de l'été
Les astres allument le lustre.
On fait les foins. Bientôt les blés.
Le faucheur dort sous la cépée ;
Et tous les souffles sont mêlés
D'une senteur d'herbe coupée.
Victor Hugo
PRINTEMPS :
Le muguet
Cloches naïves du muguet,
Carillonnez ! car voici Mai !
Sous une averse de lumière,
Les arbres chantent au verger,
Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !
Les yeux brillants, l'âme légère,
Les fillettes s'en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà,
Dansent en rond sur la bruyère.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !
Maurice Carême
Le muguet
Cloches naïves du muguet,
Carillonnez ! car voici Mai !
Sous une averse de lumière,
Les arbres chantent au verger,
Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !
Les yeux brillants, l'âme légère,
Les fillettes s'en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà,
Dansent en rond sur la bruyère.
Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !
Maurice Carême
"Je dois créer un livre de poéme de chaques saison"
Bonjour tigrol,
Aide toi d'internet pour trouver des poèmes et des idées pour faire ce travail, tu devrais trouver assez facilement.
bon courage.
Bonjour tigrol,
Aide toi d'internet pour trouver des poèmes et des idées pour faire ce travail, tu devrais trouver assez facilement.
bon courage.
maintenant que tu as plein de poèmes organise les par exemple l'été range les poèmes qui traite des fleurs ensemble fais pareil avec les autres essaie de trouver une classification a l'intérieur de chaque saison.Commence ton livre par le printemps qui symbolise la naissance et donc la naissance de ton livre
si c'est pour rien dire sa serre à rien :)
Ils ont besoin d'aide !
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L'HIVER :
Une nuit, la terre s'est endormie,
Sous un manteau de neige tombée à gros flocons :
Prés, chemins, maisons... sont blanchis
D'un grand tapis moelleux qui s'étend jusqu'aux monts.
Tous les canaux sont pris de glace
Et les enfants joyeux se mettent à patiner.
Parfois on aperçoit des traces
Creusées dans la neige fraîche : des pas de sangliers,
De leur excellent odorat
Sous la neige épaisse, ils cherchent avec leur groin
Châtaignes et glands, rien n'échappera...
Car en janvier : la laie met bas ses marcassins.
Jamais elle ne s'éloigne et veille
Sur son nid de branches, caché, appelé chaudron,
Là ses "petits rayés " sommeillent,
Blottis l'un contre l'autre, attendant les mamelons.
Certains chevreuils tentent une sortie
Pour glaner dans les champs les restes des cultures,
Et l'on entend au loin glapir
Un couple de renards, insouciants dans leur rut.
Essoufflés d'avoir tant couru,
Les gosses rentrent à la maison près du feu de bois.
Le soir, ils s'amusent les doigts nus,
Sur les vitres givrées, à pousser les étoiles.