Poeme sur le theme du voyage

Tu as raison, tu devrais développer et décrire plus amplement le pays dont parle, par exemple si c'est la mer, ou la campagne, et utilise plusieurs adjectifs pour le dire. Voilà, en esperant t'avoir un tout petit peu avancé au moins ^^

CE pays qui m'a tellement fasciné
Que j'ai pu enfin rencontrer
Un pays si développé
Mais une tradition respectée
Et en aucun cas oubliée.

TOUS SONT friands de technologie
Les choses démodéEs, ils en rient
Face à eux je me suis senti tout petit
Face à leur créativité de génie
EN MOI, L'AMITIE A JAILLI. ( pour faire des rythmes de 5 vers)


Ils ne sont jamais à courT d'idées
Sans cesse à vouloir innover
C'est ce qui fait leur beauté
Dans un autre poème je vous parlerai
De ce pays qui m'a tant charmé.

Tu décris l'attitude des habitants, pourquoi pas? Maintenant tu décris les paysages, puis tu feras un autre paragraphe pour décrire les costumes, les traditions, la cuisine.

Conserve ce rythme d'alternance de rimes pour chaque strophe, maintenant c'est avec "I" et 5 vers chaque fois.

Bonne soirée.

Je veux bien t'aider, mais il faut que tu me dises le pays concerné ;) Bonne continuation.

c sur le japon

merci beaucoup sa ma beaucoup aider

otsoge
Ton visage écarlate ton biplan transformable en
hydroplan
Ta maison ronde où il nage un hareng saur
Il me faut la clef des paupières
Heureusement que nous avons vu M Panado
Et nous somme tranquille de ce côté-là
Qu’est-ce que tu vois mon vieux M.D…
90 ou 324 un homme en l’air un veau qui regarde à
travers le ventre de sa mère

J’ai cherché longtemps sur les routes
Tant d’yeux sont clos au bord des routes
Le vent fait pleurer les saussaies
Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre
Regarde mais regarde donc
Le vieux se lave les pieds dans la cuvette
Una volta ho inteso dire chè vuoi
je me mis à pleurer en me souvenant de vos enfances

Et toi tu me montres un violet
épouvantable
Ce petit tableau où il y a une voiture
m’a rappelé le jour
Un jour fait de morceaux mauves
jaunes bleus verts et rouges
Où je m’en allais à la campagne
avec une charmante cheminée
tenant sa chienne en laisse
Il n’y en a plus tu n’as plus ton petit
mirliton
La cheminée fume loin de moi des
cigarettes russes
La chienne aboie contre les lilas
La veilleuse est consumée
Sur la robe on chu des pétales
Deux anneaux près des sandales
Au soleil se sont allumés
Mais tes cheveux sont le trolley
À travers l’Europe vêtue de petits
feux multicolores

Bonjour,

L'ennui avec ton devoir c'est que c'est a toi de l'écrire et nous on peut pas bien t'aider.
A la limite regarde ça pour t'inspirer :

http://poeme-yves.blogspot.com/2007/01/le-plus-beau-pays-du-monde.html

sinon je pense que le plus simple c'est encore ça :

http://www.laissemoichercherca.com/?q=poeme%20pays%20du%20monde

En esperant t'avoir aidé,
Leogirard98

Voila un exemple :

Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes,
L'univers est égal à son vaste appétit.
Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes !
Aux yeux du souvenir que le monde est petit !

Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers :

Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme ;
D'autres, l'horreur de leurs berceaux, et quelques-uns,
Astrologues noyés dans les yeux d'une femme,
La Circé tyrannique aux dangereux parfums.

Pour n'être pas changés en bêtes, ils s'enivrent
D'espace et de lumière et de cieux embrasés ;
La glace qui les mord, les soleils qui les cuivrent,
Effacent lentement la marque des baisers.

Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir ; coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s'écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !

Ceux-là, dont les désirs ont la forme des nues,
Et qui rêvent, ainsi qu'un conscrit le canon,
De vastes voluptés, changeantes, inconnues,
Et dont l'esprit humain n'a jamais su le nom !

Un pays qui m'a tellement fasciné
Que j'ai pu enfin rencontrer
Un pays si develloppé
Mais une traditon respectée
Et en aucun cas oubliée
On est friands de technologie
Les choses démodés, ils en rient
Face à eux je me suis sentis tout petit
Face à leur créativité de génie
Ils ne sont jamais à cours d'idées
Sans cesse vouloir innover
C'est ce qui fait leur beauté
Dans un autre poème je vous reparlerai
De ce pays qui m'a tant charmé.
J'en suis tombé amoureux
Et je regardais ces paysage, envieux.
Je devenais un habitué de ces sourires
Et un adepte du rire.
Je m'y sentais bien
Je m'y sentais sain
Ma terre n'est pas si bien.
Où mes problèmes ne sont que miens.
Face à toute cette solidarité
Je me suis senti pour une fois, aimé.
Pour tous, j'étais le petit étranger
Mais moi, j'avais l'impression que ce pays m'avait adopté.
Je ne voulais plus rentrer.
Ces plats et cette convivialité me manqueraient.
Sui-je obliger de m'envoler?
Je ne vois meilleur nid où me poser.
C'est décidé.
Sur ces terres, je reviendrai!

décris un paysage, les fleurs, les champs, les animaux, les personnages typiques du pays ou de la ville où tu voyages ...
Les profs aiment bien tout savoir.