Dissertation sur la vérité

Sujet du devoir

Bonsoir à tous ! puis-je avoir votre aide s'il vous plait ? Merci d'avance :)

voici le sujet : Admettre tous les points de vue, est-ce de la tolérance ou de l'indifférence à la vérité ?

Où j'en suis dans mon devoir

pour l'instant j'ai juste définis les termes ! je n'ai pas d'idée, je ne sais pas par où commencer non plus.

Voici mes définitions :
Tolérance :
Selon le dictionnaire, la tolérance est définie comme le « respect de la liberté d'autrui en matière d'opinions et de croyances ». Tolérer, c’est admettre ou supporter que quelqu’un pense ou croit quelque chose de différent. Pour être tolérant, il faut accepter qu’il y ait un désaccord entre deux personnes. Mais aujourd’hui, la définition a changé. Être tolérant, c’est rester neutre. Croire que chacun est libre de décider pour soi-même. Ne pas juger. Ne pas vouloir imposer ses convictions.

Indifférence :
Indifférent signifie n'éprouver ni amour ni haine, ni attirance ni répulsion. Laisser de côté, se désintéresser, ne pas être concerné.

vérité :
La notion de vérité a été depuis la naissance de la philosophie le théâtre de toutes sortes de doctrines qui s'opposent. Certains, comme les sophistes, pensent que la connaissance réside entièrement dans l'opinion subjective de chacun. C'est-à-dire que la vérité est relative au point de vue de chacun : il n'y a pas une Vérité, mais des vérités. D'autre part, il y a la doctrine de ceux qui, comme Platon, pensent que la connaissance consiste à savoir ce que sont les choses en elles-mêmes, objectivement, indépendamment de l'opinion que l'on peut en avoir. La vérité concerne aussi l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet (ce cahier, cette lampe sont réels) et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. Ainsi le jugement : « ce cahier est vert » est un jugement vrai ou bien un jugement faux. La vérité ou la fausseté qualifient donc non l'objet lui-même mais la valeur de mon assertion. La philosophie, parce qu'elle recherche la vérité, pose le problème de ses conditions d'accès et des critères du jugement vrai.