Commentaire composé français

Publié le 3 févr. 2018 il y a 6A par Anonyme - Fin › 6 févr. 2018 dans 6A
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Sujet du devoir

Bonjour, je dois faire pour lundi un commentaire composé , la prof nous a donné le recueil Eau douce pour navires de Louis Brauquier elle nous a demander de choisir un poème et d'en faire le commentaire composé

Voici le poème que j'ai choisi :

https://plus.google.com/111816185141636822714/posts/6sXVPR1G2yU

 

Pouvez vous m'aider à trouver une problématique et des axes 

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai remarqué qu'il y avait un champs lexical des 5 sens et du regard




11 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 3 févr. 2018

même chose, ça ne passe pas.
 Scanne le texte.

Anonyme
Posté le 3 févr. 2018

Voici le poème :

Maintenant que je suis loin,

Que les visages des hommes

S’effacent, que je ne puis 

Plus rien sentir ni toucher ;

 

Maintenant que les navires

Eux-mêmes n’ont plus de noms,

Je sais bien ce qui me reste

Et qui fait que je tiens.

 

C’est une fenêtre ouverte 

D’où l’on peut, en se penchant,

Ou sur le dos de la main,

Avoir le goût de cet air,

Qui pèse aux bascules du soir.

 

Un air à la fois moite et rude 

Que les hommes revenus

Font circuler dans la ville,

Quelque chose qui prend le coeur

Après une forte journée.

 

Laisse-moi, je te regarde ;

Dix mille milles marins 

Me séparent de tes feux,

Mais brûlent clairs en moi

Comme au soir de mon départ.

 

Tu ne peut pas empêcher 

Qu’en moi je te sente battre 

O ville tumultueuse 

O ma mère et mon enfant.

 

Laisse-moi, je te regarde 

Avec mes yeux agrandis,

Bien assise sur le monde.

willffy
willffy
Posté le 3 févr. 2018

Le texte est dédié à sa femme, une déclaration d'amour par delà les océans .

 

https://www.etudes-litteraires.com/methode-commentaire-compose.php

 

willffy
willffy
Posté le 3 févr. 2018

Maintenant que je suis loin,

Que les visages des hommes

S’effacent, que je ne puis 

Plus rien sentir ni toucher ;

 

Maintenant que les navires

Eux-mêmes n’ont plus de noms,

Je sais bien ce qui me reste

Et qui fait que je tiens.

 

C’est une fenêtre ouverte 

D’où l’on peut, en se penchant,

Ou sur le dos de la main,

Avoir le goût de cet air,

Qui pèse aux bascules du soir.

 

Un air à la fois moite et rude 

Que les hommes revenus

Font circuler dans la ville,

Quelque chose qui prend le coeur

Après une forte journée.

 

Laisse-moi, je te regarde ;

Dix mille milles marins 

Me séparent de tes feux,

Mais brûlent clairs en moi

Comme au soir de mon départ.

 

Tu ne peut pas empêcher 

Qu’en moi je te sente battre 

ville tumultueuse 

O ma mère et mon enfant.

 

Laisse-moi, je te regarde 

Avec mes yeux agrandis,

Bien assise sur le monde.

 

Anonyme
Posté le 3 févr. 2018

merci , avez vous des idées de problématique ?

Mais il parle de la ville de Marseille ici, ce poème exprime de l'arrachement et de la douleur par rapport à sa ville natale. parce qu'elle est comme une mère spirituelle pour lui 

Est ce que le champs lexical des sens est bien présent dans ce texte  ?

willffy
willffy
Posté le 3 févr. 2018

Maintenant que je suis loin,

Que les visages des hommes

S’effacent, que je ne puis 

Plus rien sentir ni toucher ;

 

L'isolement , la solitude

 

 

Maintenant que les navires

Eux-mêmes n’ont plus de noms,

Je sais bien ce qui me reste

Et qui fait que je tiens.

 

L'anonymat sur l'océan

Le constat avec ces 2 premières strophes

 

C’est une fenêtre ouverte 

D’où l’on peut, en se penchant,

Ou sur le dos de la main,

Avoir le goût de cet air,

Qui pèse aux bascules du soir.

 

Une ouverture face à cet isolement

 

Un air à la fois moite et rude 

Que les hommes revenus

Font circuler dans la ville,

Quelque chose qui prend le coeur

Après une forte journée.

 

Des souvenirs

 

Laisse-moi, je te regarde ;

Dix mille milles marins 

Me séparent de tes feux,

Mais brûlent clairs en moi

Comme au soir de mon départ.

 

La déclaration d'amour

 

Tu ne peut pas empêcher 

Qu’en moi je te sente battre 

O ville tumultueuse 

O ma mère et mon enfant.

 

La terre , la femme et l'enfant associés pour tenir le coup

 

Laisse-moi, je te regarde 

Avec mes yeux agrandis,

Bien assise sur le monde.

 

Le calme et la sérénité revenus

 

willffy
willffy
Posté le 3 févr. 2018

Comment le poète en mer peut-il s'évader de la solitude ?

Anonyme
Posté le 3 févr. 2018

merci

Anonyme
Posté le 3 févr. 2018
pourriez-vous m'aider à faire mon plan
willffy
willffy
Posté le 3 févr. 2018

Bien sûr il fait appel aux sens , mais les sensations mémorielles .

La solitude du marin

L’appel aux souvenirs

La sérénité dans l'immensité

 

Anonyme
Posté le 3 févr. 2018

Pourriez vous m'aider à trouver mes parties et mes sous parties svp ,?


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