Commentaire composé Français

Publié le 27 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 31 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour,
Voilà j’ai fait le commentaire composé sur le texte de Rimbaud « Aube » , et je souhaiterais qu’ ’on me le corrige (ce message est particulièrement adressé à Cyberpro).
J'ai embrassé l'aube d'été.

Extrait:

Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.

La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.

Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.

Alors, je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.

En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.

Au réveil il était midi.

MERCI D’AVANCE,
A bientôt.


Où j'en suis dans mon devoir

Aube est un poème en prose, tire des Illumination d’Arthur Rimbaud et publié en 1875.C’est un poème à la fois descriptif et narratif ,où évoque de manière originale son rêve ainsi que ses hallucinations dont le décor déstabilise ,quelque peu, le lecteur. En quoi ce poème en prose correspond-t-il en une évocation du rêve de Rimbaud ?
Pour répondre à cette question , nous nous intéresserons en premier lieu à la situation d’énonciation , puis nous parlerons des personnages de l’extrait et enfin nous nous pencherons sur le rêve de Rimbaud.


Dans cet extrait , le poète précise de manière plus ou moins explicite tous les éléments d’une situation d’énonciation.
D’emblée , dans la première phrase , le pronom personnel « je » dans « J’ai embrassé l’aube d’été » renvoie autant au narrateur qu’au poète , donc le narrateur est Rimbaud et c’est lui qui parle . Comme n’importe quel écrivain notre poète s’adresse automatiquement aux lecteurs même si nous ne percevons aucune indication leur renvoyant(ni pronom personnel , ni adjectif possessif ), de plus une seule fois dans ce poème , « une fleure » lui parle ,ce qui est mentionné dans la personnification « une fleure qui me dit son nom » .
Puis, Rimbaud nous raconte son aventure onirique , en effet , il fait la description du cadre spatial de l’action et de son décor , et , narre les péripéties grâce à l’emploi du passé simple(« se levèrent », ou bien « fut », ou encore « s’ échevela »).
Enfin, les références spatio-temporelles sont élucidées le long du poème. En effet, l’aventure imaginaire de Rimbaud a lieu en « été » plus précisément à l’ « aube » (« J’ai embrassé l’aube d’été »), aux environs du Rhin , peut être en Allemagne , comme le laisse deviner la référence au chute d’eau du Rhin « wasserfall » dans « Je ris au wasserfall blond.. ». Ainsi, le caractère à la fois vague et précis du cadre spatio-temporel fait de ce rêve une légende , cette impression est le plus due à l’évocation du Rhin qui a toujours était une source d’inspiration pour le poète , tels qu’Apollinaire dans La Loreley.

Ce poème implique deux personnages principaux dans l’aventure onirique de l’auteur : le premier est ordinaire , le second est irréel même légendaire.
D’abord, la récurrence des pronoms personnels et possessifs renvoyant au narrateur-poète (« J’ »l.1, « J »l.2, « me »l.7, « Je »l.8, « Je »l.9, « je »l.10, « je » l.11, « je »l.13 , « je »l.14, « j’ »l.15 ) font font de dernier un personnage principal du rêve , peut-être même le héros puisqu’il est le sujet de la majorité des verbes d’action , tels que « je ris » , « je levai », ou encore « je reconnus ».
Ensuite, un autre personnage surgit .Ce dernier est imaginaire comme le montre la description dans le second paragraphe , en effet, il a des yeux de « pierreries » , « des ailes (qui) se lèv(ent) sans bruit » ainsi que « des haleines vives et tièdes » , un peu plus loin, le narrateur précise qu’il a un « immense corps ». D’autres, éléments viennent nous renseigner sur ce personnage , tels que « réveillant » qui sous-entend que ce surnaturel est perspicace , ou bien la référence au wasserfall et donc au rhin qui en fait un personnage légendaire ( le Rhin a toujours été un endroit et source d’inspiration des légendes , comme pour La Loreley d’Apollinaire) , ou encore la personnification « Je ris au wasserfall blond qui s’échevela… » qui nous informe que cet être irréel est aux cheveux blond, d’où la couleur du wasserfall , en effet, ce dernier reflète le blond des cheveux (« …s’échevela à travers les sapins ») blonds de ce personnage semblent des chutes d ’eau (« wasserfull »). A la ligne 9 le narrateur précise qu’il s’agit d’une « déesse » dans « je reconnus la déesse ».

Ainsi , Rimbaud campe les personnages participant à l’aventure qui n’est en réalité qu’un reve.

Le lecteur remarque , dans ce passage , la progression de l’aventure vécue par Rimbaud vers un état dynamique ambigu .
D’abord , le statisme du tableau peint par le poète est annoncé par « rien ne bougeait » , en effet, l’endroit décrit semble désert et inhabité , par un bruit audible (« L’eau était morte ») et pas une ombre qui passe ou bouge (« Les camps d’ombre ne quittaient pas la route du bois », d’où l’emploi de l’imparfait : « bougeait », « quittaient » , « était ».
Puis, le verbe d’action au passé simple révolu « se levèrent » donne signe de vie et un dynamisme au tableau précédent , d’où l’emploi d’une succession de verbes d’action , comme « fut » , ou bien « dit » ou encore « levai » , et d’une formule introduisant les étapes de l’aventure « La première entreprise ».
Ensuite, l’absence des liens logiques reliant entre les évènements , surtout dans le cinquième paragraphe, donne le sentiment de l’incohérence mentale de cette aventure , en effet, il y a une succession de phrases séparées par de points et se déroulant dans des endroits différents (« Dans l’allée ,…Par la plaine, …A la grand’ ville … ») , ce qui grossit l’ambiguïté chez le lecteur.
Enfin, l’expression « L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois » signale la chute de la poursuite et de l’aventure (« tombèrent »). « L’enfant » de quelle enfant parle-t-on ? Il s’agit peut être de Rimbaud, petit dans le rêve. «Au réveil il était midi » explique l’ambiguïté et l’incohérence de ce qui est narré précédemment , en effet , le poète rêvait et l’aventure vécue est donc onirique et irréel , d’ailleurs elle a lieu à l’ « aube » alors qu’il est midi.


Ainsi, Rimbaud a merveilleusement réussi à peindre dans ce poème en prose son rêve , en effet, la description du décor et des différents paysages naturels , à la fois détaillée et ambiguë , associée à la description progressive d’un personnage légendaire et féerique « déesse » et renforcée par la juxtaposition d’une succession d’action , soulignent l’irréalité de l’aventure . Cette illusion onirique nous fait penser à celle du poème d’Apollinaire « Mai ».




6 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 mai 2010
Bonjour,
Merci Cyberpro ! Je vais compléter mon commentaire grace aux informations fournies.
En fait , je n'ai pas pu faire plus à cause du manque de mes connaissances sur les auteurs ! Je crains que ce point faible n'influence mon commentaire négativement le jour de l'examen!!!

Bonne soirée.
Anonyme
Posté le 28 mai 2010
Bonjour,
Voilà je viens relire vos informations pour refaire mon commentaire mais des questions surgissent dans mon petit cerveau:
1/Je souhaiterais que vous m'éclaircissiez un peu plus le troisième point.
2/ous dites que "l'aurore est l'instant de toutes les promesses " . De quelles promesses parlez-vous? Je crois que dans le poème , il n'y a aucune promesse , nn?

Merci d'avance Cyberpro et je suis trés fière et contente d'avoir une personne comme vous pour m'aider!
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Bonsoir,
J'ai ajouté à mon commentaire quelques remarques.

Aube est un poème en prose composé de sept paragraphes , tiré des Illumination d’Arthur Rimbaud et publié en 1875.C’est un poème à la fois descriptif et narratif ,où évoque de manière originale son rêve ainsi que ses hallucinations dont le décor déstabilise ,quelque peu, le lecteur. En quoi ce poème en prose correspond-t-il en une évocation du rêve de Rimbaud ?
Pour répondre à cette question , nous nous intéresserons en premier lieu à la situation d’énonciation , puis nous parlerons des personnages de l’extrait et enfin nous nous pencherons sur le rêve de Rimbaud.


Dans cet extrait , le poète précise de manière plus ou moins explicite tous les éléments d’une situation d’énonciation.

D’emblée , dans la première phrase , le pronom personnel « je » dans « J’ai embrassé l’aube d’été » renvoie autant au narrateur qu’au poète , donc le narrateur est Rimbaud et c’est lui qui parle . Comme n’importe quel écrivain notre poète s’adresse automatiquement aux lecteurs même si nous ne percevons aucune indication leur renvoyant(ni pronom personnel , ni adjectif possessif ), de plus une seule fois dans ce poème , « une fleure » lui parle ,ce qui est mentionné dans la personnification « une fleure qui me dit son nom » .
« L’enfant » de quelle enfant parle-t-on ? Il s’agit peut être de Rimbaud, petit dans le rêve. «Au réveil il était midi » explique l’ambiguïté et l’incohérence de ce qui est narré précédemment , en effet , le poète rêvait et l’aventure vécue est donc onirique et irréel , d’ailleurs elle a lieu à l’ « aube » alors qu’il est midi.


Ainsi, Rimbaud a merveilleusement réussi à peindre dans ce poème en prose son rêve , en effet, la description du décor et des différents paysages naturels , à la fois détaillée et ambiguë , associée à la description progressive d’un personnage légendaire et féerique « déesse » et renforcée par la juxtaposition d’une succession d’action , soulignent l’irréalité de l’aventure . Cette illusion onirique nous fait penser à celle du poème d’Apollinaire « Mai ».

Puis, Rimbaud nous raconte son aventure onirique , en effet , il fait la description du cadre spatial de l’action et de son décor , et , narre les péripéties grâce à l’emploi du passé simple(« se levèrent », ou bien « fut », ou encore « s’ échevela »).

Ce poème implique deux personnages principaux dans l’aventure onirique de l’auteur : le premier est ordinaire , le second est irréel même légendaire.

D’abord, la récurrence des pronoms personnels et possessifs renvoyant au narrateur-poète (« J’ »l.1, « J »l.2, « me »l.7, « Je »l.8, « Je »l.9, « je »l.10, « je » l.11, « je »l.13 , « je »l.14, « j’ »l.15 ) font de ce dernier un personnage principal du rêve , peut-être même le héros puisqu’il est le sujet de la majorité des verbes d’action , tels que « je ris » , « je levai », ou encore « je reconnus ».
Le terme « enfant » dans « L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois » nous précise que Rimbaud était encore jeune lorsqu’il a écrit ce poème , en effet , il n’avait alors que 15ans.

Ensuite, un autre personnage surgit .Ce dernier est imaginaire comme le montre la description dans le second paragraphe , en effet, il a des yeux de « pierreries » , « des ailes (qui) se lèv(ent) sans bruit » ainsi que « des haleines vives et tièdes » , un peu plus loin, le narrateur précise qu’il a un « immense corps ». D’autres, éléments viennent nous renseigner sur ce personnage , tels que « réveillant » qui sous-entend que ce surnaturel est perspicace , ou bien la référence au wasserfall et donc au Rhin qui en fait un personnage légendaire ( le Rhin a toujours été un endroit et source d’inspiration des légendes , comme pour La Loreley d’Apollinaire) , ou encore la personnification « Je ris au wasserfall blond qui s’échevela… » qui nous informe que cet être irréel est aux cheveux blond, d’où la couleur du wasserfall , en effet, ce dernier reflète le blond des cheveux (« …s’échevela à travers les sapins ») blonds de ce personnage semblent des chutes d ’eau (« wasserfull »). A la ligne 9 le narrateur précise qu’il s’agit d’une « déesse » dans « je reconnus la déesse ».

Ainsi , Rimbaud campe les personnages participant à l’aventure qui n’est en réalité qu’un rêve.

Le lecteur remarque , dans ce passage , la progression de l’aventure vécue par Rimbaud vers un état dynamique ambigu .

D’abord , le statisme du tableau peint par le poète est annoncé par « rien ne bougeait » , en effet, l’endroit décrit semble désert et inhabité , par un bruit audible (« L’eau était morte ») et pas une ombre qui passe ou bouge (« Les camps d’ombre ne quittaient pas la route du bois », d’où l’emploi de l’imparfait : « bougeait », « quittaient » , « était ».
Puis, le verbe d’action au passé simple révolu « se levèrent » donne signe de vie et un dynamisme au tableau précédent , d’où l’emploi d’une succession de verbes d’action , comme « fut » , ou bien « dit » ou encore « levai » , et d’une formule introduisant les étapes de l’aventure « La première entreprise ».

Ensuite, l’absence des liens logiques reliant entre les évènements , surtout dans le cinquième paragraphe, donne le sentiment de l’incohérence mentale de cette aventure , en effet, il y a une succession de phrases séparées par de points et se déroulant dans des endroits différents (« Dans l’allée ,…Par la plaine, …A la grand’ ville … ») , ce qui grossit l’ambiguïté chez le lecteur.

Enfin, l’expression « L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois » signale la chute de la poursuite
et de l’aventure (« tombèrent »). En effet, la déesse poursuivie par Rimbaud qui est métaphore de la Muse, devient insaisissable et impossible avec la disparition de l’aube et le déroulement de la journée.

Enfin, les références spatio-temporelles sont élucidées le long du poème. En effet, l’aventure imaginaire de Rimbaud a lieu en « été » plus précisément à l’ « aube » (« J’ai embrassé l’aube d’été »), aux environs du Rhin , peut être en Allemagne , comme le laisse deviner la référence au chute d’eau du Rhin « wasserfall » dans « Je ris au wasserfall blond.. ». Ainsi, le caractère à la fois vague et précis du cadre spatio-temporel fait de ce rêve une légende , cette impression est le plus due à l’évocation du Rhin qui a toujours était une source d’inspiration pour le poète , tels qu’Apollinaire dans La Loreley.

Ce poème implique deux personnages principaux dans l’aventure onirique de l’auteur : le premier est ordinaire , le second est irréel même légendaire.

D’abord, la récurrence des pronoms personnels et possessifs renvoyant au narrateur-poète (« J’ »l.1, « J »l.2, « me »l.7, « Je »l.8, « Je »l.9, « je »l.10, « je » l.11, « je »l.13 , « je »l.14, « j’ »l.15 ) font de ce dernier un personnage principal du rêve , peut-être même le héros puisqu’il est le sujet de la majorité des verbes d’action , tels que « je ris » , « je levai », ou encore « je reconnus ».
Le terme « enfant » dans « L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois » nous précise que Rimbaud était encore jeune lorsqu’il a écrit ce poème , en effet , il n’avait alors que 15ans.

Ensuite, un autre personnage surgit .Ce dernier est imaginaire comme le montre la description dans le second paragraphe , en effet, il a des yeux de « pierreries » , « des ailes (qui) se lèv(ent) sans bruit » ainsi que « des haleines vives et tièdes » , un peu plus loin, le narrateur précise qu’il a un « immense corps ». D’autres, éléments viennent nous renseigner sur ce personnage , tels que « réveillant » qui sous-entend que ce surnaturel est perspicace , ou bien la référence au wasserfall et donc au Rhin qui en fait un personnage légendaire ( le Rhin a toujours été un endroit et source d’inspiration des légendes , comme pour La Loreley d’Apollinaire) , ou encore la personnification « Je ris au wasserfall blond qui s’échevela… » qui nous informe que cet être irréel est aux cheveux blond, d’où la couleur du wasserfall , en effet, ce dernier reflète le blond des cheveux (« …s’échevela à travers les sapins ») blonds de ce personnage semblent des chutes d ’eau (« wasserfull »). A la ligne 9 le narrateur précise qu’il s’agit d’une « déesse » dans « je reconnus la déesse ».

Ainsi , Rimbaud campe les personnages participant à l’aventure qui n’est en réalité qu’un rêve.

Le lecteur remarque , dans ce passage , la progression de l’aventure vécue par Rimbaud vers un état dynamique ambigu .

D’abord , le statisme du tableau peint par le poète est annoncé par « rien ne bougeait » , en effet, l’endroit décrit semble désert et inhabité , par un bruit audible (« L’eau était morte ») et pas une ombre qui passe ou bouge (« Les camps d’ombre ne quittaient pas la route du bois », d’où l’emploi de l’imparfait : « bougeait », « quittaient » , « était ».
Puis, le verbe d’action au passé simple révolu « se levèrent » donne signe de vie et un dynamisme au tableau précédent , d’où l’emploi d’une succession de verbes d’action , comme « fut » , ou bien « dit » ou encore « levai » , et d’une formule introduisant les étapes de l’aventure « La première entreprise ».

Ensuite, l’absence des liens logiques reliant entre les évènements , surtout dans le cinquième paragraphe, donne le sentiment de l’incohérence mentale de cette aventure , en effet, il y a une succession de phrases séparées par de points et se déroulant dans des endroits différents (« Dans l’allée ,…Par la plaine, …A la grand’ ville … ») , ce qui grossit l’ambiguïté chez le lecteur.

Enfin, l’expression « L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois » signale la chute de la poursuite
et de l’aventure (« tombèrent »). En effet, la déesse poursuivie par Rimbaud qui est métaphore de la Muse, devient insaisissable et impossible avec la disparition de l’aube et le déroulement de la journée.
« L’enfant » de quelle enfant parle-t-on ? Il s’agit peut être de Rimbaud, petit dans le rêve. «Au réveil il était midi » explique l’ambiguïté et l’incohérence de ce qui est narré précédemment , en effet , le poète rêvait et l’aventure vécue est donc onirique et irréel , d’ailleurs elle a lieu à l’ « aube » alors qu’il est midi.


Ainsi, Rimbaud a merveilleusement réussi à peindre dans ce poème en prose son rêve , en effet, la description du décor et des différents paysages naturels , à la fois détaillée et ambiguë , associée à la description progressive d’un personnage légendaire et féerique « déesse » et renforcée par la juxtaposition d’une succession d’action , soulignent l’irréalité de l’aventure . Cette illusion onirique nous fait penser à celle du poème d’Apollinaire « Mai ».

Merci d'avance,
Mes trés hautes considérations.

Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Bonsoir,
Cyberpro je souhaiterais que vous me proposiez un texte sur lequel je fairais un commentaire.

Merci d'avance,

Cordialement.
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Concernant le texte Aube , ce reve l'a-t-il vraiment vécu?
Est-ce qu'il l'adresse à la femme aimée qui s'éloigne de lui comme pour Apollinaire dans "Mai"?

Merci et excusez-moi si je pose beaucoup de questions !
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
Bonjour,
Merci Cyberpro. Je vais essayer de trouver un bon texte!
A bientot.

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