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Sujet du devoir
Je dois faire un commentaire du texte ci-dessous mais je n'arrive pas a commencer , je suis bloqué à la problématique et n'arrive pas a trouver d'axes.
Je me suis garé sur le trottoir d’en face. J’ai jeté́ un œil dans le rétroviseur. Sur la banquette arrière, Manon rassemblait ses affaires, le visage caché derrière un long rideau de cheveux noirs. À ses côtés, Clément s’extirpait lentement du sommeil. Six mois n’avaient pas suffi à m’habituer à ça. Cette vie en pointillés. Ces week-ends volés une semaine sur deux. Ces dimanches soir. Ces douze jours à attendre avant de les revoir. Douze jours d’un vide que le téléphone et les messages électroniques ne parvenaient pas à combler. Comment était-ce seulement possible ? Comment avions-nous pu en arriver là ? J’ai tendu ma main vers ma fille et elle l’a serrée avant d’y poser un baiser.
— Ça va aller, papa ?
J’ai haussé les épaules, esquissé un de ces sourires qui ne trompait personne. Elle est sortie de la voiture, suivie de son frère. J’ai attrapé leurs sacs à dos dans le coffre et je les ai suivis. De l’autre côté́ de la rue, la maison de Sarah n’était plus la mienne. Pourtant rien ou presque n’y avait changé. Je n’avais emporté que mes vêtements, mon ordinateur et quelques livres. Chaque dimanche, quand je ramenais les enfants, il me semblait absurde de repartir, je ne comprenais pas que ma vie puisse ne plus s’y dérouler. J’avais le sentiment d’avoir été expulsé de moi-même. Depuis six mois je n’étais plus qu’un fantôme, une écorce molle, une enveloppe vide. Et quelque chose s’acharnait à me dire qu’une part de moi continuait à vivre normalement dans cette maison, sans que j’en sache rien. Dans le jardin tout renaissait. Un tapis de délicates fleurs roses s’étendait au pied du cerisier. Les jonquilles et les tulipes coloraient les parterres. La pelouse avait été tondue quelques heures plus tôt, l’herbe coupée embaumait l’air encore doux. J’imaginais mal Sarah s’acquitter d’une telle besogne. Sans doute le voisin lui avait-il proposé son aide. C’était son job après tout. J’ai regardé́ sa maison et je n’ai pu m’empêcher de lui en vouloir.| Ça n’avait pas de sens. Je l’aimais bien. C’était un brave type qui croulait sous les emmerdes. Un de ses gamins était autiste ou quelque chose dans le genre, et sa femme enchaînait les opérations depuis trois ans, la plupart du temps on la voyait avec des béquilles et la jambe droite plâtrée. Mais en voyant l’herbe rase, je me suis dit qu’il faisait partie de la meute invisible qui depuis six mois me volait ma vie.
Sarah se tenait dans l’encadrement de la porte, souriante, un verre de vin à la main. Au moment de l’embrasser, j’ai dû me retenir de poser mes lèvres sur sa bouche, d’y fourrer ma langue et de la serrer contre moi. Ça non plus je n’arrivais pas à m’y habituer.
Où j'en suis dans mon devoir
Au final je n'arrive même pas a faire une amorce, et pourtant on s'est oragnisés pour travailler en groupe et tout le monde est "à la traine".
4 commentaires pour ce devoir
Bonjour Maxime_48
Tu as de bonne idée a tu snapchat?
Meerci de me répondre au plus vite
Ils ont besoin d'aide !
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Bonjour Maxime_48
Je voudrais que tu me dises ce que tu as deja marquer dans ton introduction et je completerais !
Peut tu me repondre le plus vite possible merci d'avance bonne soirée
Cordialement
Comme j'arrive difficilement à cerner le thème ainsi que la problématique je me suis contenté de faire ce que savait pour l'instant, je tient a préciser que l'amorce reste floue pour moi donc j'attends de pouvoir comprendre un peu mieux avant de la faire:
Ainsi, nous avons un extrait de "Les lisières" de Olivier Adam où un père divorcé ramène ses enfants dans son ancienne maison, celà lui évoque des souvenirs difficiles.
Pour l'amorce voici ce que je pense mettre :
Les auteurs littéraires nous parlent d'amour, mais il est à double tranchant. Ajourd'hui comme à l'époque du Romantisme on reste confrontés a des problèmes communs.