Commentaire litéraire, Le Rivages Des Syrtes de Julien Gracq

Publié le 9 nov. 2012 il y a 11A par Anonyme - Fin › 16 nov. 2012 dans 11A
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Sujet du devoir

J'ai un commentaire a faire, sur Le Rivages Des Syrtes de Julien Gracq. J'ai lu au moins 10 fois le texte, ca fait deux heure que je suis dessus et j'arrive toujour pas, à trouver une problématique, ni le plan :((

l'extrait c'est:

Ses grandes portes ouvertes sur les reflets dansants de la lagune, le palais semblait tout à fait endormi. Mes appels n’éveillaient personne. Je m’avançais, incertain et hésitant, dans cette perspective insolite de pièces nues que je ne reconnaissais pas. Une indifférence glaciale tombait des voutes, et je sentais brusquement refluer sur moi toute ma mauvaise humeur. Assez irrésolu, je me mis à circuler lentement de salle en salle, en levant un oail d'ennui vers la sarabande geléé des plafonds et des fresques, comme un visiteur de musée. Je penetrai ainsi dans une galerie écartée qui me montrait en enfilade le pont et le jardin délabré attenant au palais au-delas du bras d'eau morte, et, juste de l'autre coté de l'eau, debout dans une allée couverte, tout à coup j'apercus Vanessa.
De toute evidence, elle se croyait seule. Elle sortait de son bain et n'avait passé qu'un large pantalon marin et une courte veste échancrée qui laissait ses bras nus. Elle tordait maintenant ses cheveux humides : au creux de ses bras.bougeait une touffe brune et au creux de ses seins un plis un sombre. Elle tenait ses épingles dans sa bouche serrée, qui baignait tout le visage tendu d'une soudaine onde d'enfance ; dans son innocence ambigue et son appplication maniaque d'écolière, on eut dit que cette bouche abandonnée, si crûment à son affaire, tirait la langue, vivait ave une intensité de fleur carnassière dans le seul geste aveugle de happer et de retenir.

Je restai tapi, le cœur battant, devant cette étrangère soudain livrée à la grâce trouble de son animalité pure. Les doigts s'attardaient, se ployaient dans les touffes souples, la tête renversée faisait de la gorge une averse pâle, tordait doucement les seins comme autour du manche d'un poignard. Elle ressemblait au tremblement qu'on voit à l'air au-dessus d'une flamme chaude. Pour la première fois, Vanessa s'était faite chair. Elle surgissait du reflux de mes rêveries fiévreuses, ferme et élastique comme une grève, faite pour la plante et la paume, une douce terre ameublie sous le fossé de pluie de sa chevelure.

Où j'en suis dans mon devoir

Lu le texte plusieur fois.
vanessa represente la chaleur et le desir
Le calme regne la nature vie, les hommes dorment
L'homme est peu sur de lui, l'avenir lui fait peur

Je bloque pour trouver une problematique et plan, pour pouvoir, demmarrer.



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