devoir de français sur les usines de Emile Verhzeren

Publié le 19 avr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 21 avr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

je dois répondre au question suivante:

1)Quels sont les différentes rimes et mêtres?
2)TRouver une personnification et analysez la.
3)A quoi se réduit la présence humaine.Pourquoi?
5)Etudiez les thêmes qui évoquent la vision de la cité moderne offerte ici par Verhaeren.

Sur le texte suivant:
Se regardant avec les yeux cassésde leurs fenêtres
Et se mirant dans l'eau de poix et de salpêtre
D'un canal droit, marquant sa barre à l'infini,
Face à face, le long des quais d'obre et de nuit,
Par à travers les faubourgs lourds
Et la misère en pleurs de ces faubourgs,
Ronflent terriblement usines et fabriques.

Et tout autour, ainsi qu'une ceinture,
Là-bas, de nocturnes architectures,
Voici les docks, les ports, les ponts, les phares,
Et le gares folles de tintamarres;
Et plus lointains encor des toits d'autres usines
Et des cuves et des forges et des cuisines
Formidable de naphte et de résines
Dont les meutent de feu et de lueurs grandies
Mordent parfois le ciel, à coup d'abois et d'incendies.

Au long du vieux canal à l'infini,
Par à travers l'immensité de la misère
Des chemins noirs et des routes de pierre,
Les nuits, les jours, toujours,
Ronflent les continus battement sourds,
Dans les faubourgs,
Des fabriques et des usines symétrique.

L'aube s'essuie
A leurs carrés de suie;
Midi et son soleil hagard
Comme un aveugle,errent par leurs brouillards;
Seul, quand au bout de la semaine, au soir,
La nuit se laisse en ses ténèbres choir,
L'âpre effort s'interrompt, mais demeure en arrrêt,
Comme un marteau sous une enclume,
Et l'ombre, au loin, parmi les carrefours, paraît
De la brume d'or qui s'alume.

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai trouvé que les rimes étaient des rimes plates et des rimes embrassés.Quant au mêtres je pense que sont des alexandrins pur le reste je trouve pas.



1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 20 avr. 2010
2) Une personnification c'est un objet ou une chose qui n'est pas vivante à qui on insuffle des sentiments ou actions humaines. dans ce cas c'est les "feux et lueurs grandies qui mordent le ciel". Voici la personnification.

3) La présence humaine se résume aux constructions matérielles qu'ils ont pu réaliser, mais rien de vivant en fait, tels bâtiments, chemins... Et pourquoi, parce que c'est plus fort d'évoquer une énumération de choses non vivantes afin de souligner ce qui est vivant justement. En gros souligner encore plus quelque chose par son absence.

4) La ville, les usines, le port, la métallurgie, l'industrie, le travail ouvrier...

je ne vois pas quoi dire de plus, les réponses sont assez courtes en fait.

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