Ecriture d'invention SVP !!! Help .

Publié le 28 sept. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 30 sept. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

On s’était tu. Une des femmes se remit à parler. Il s’agissait du froid qui devenait violent, pas assez cependant pour arrêter l’épidémie de fièvre typhoïde ni pour permettre de patiner. Et chacune donna son avis sur cette entrée en scène de la gelée à Paris ; puis elles exprimèrent leurs préférences dans les saisons, avec toutes les raisons banales qui traînent dans les esprits comme la poussière dans les appartements.
Un bruit léger de porte fit retourner la tête de Duroy, et il aperçut, à travers deux glaces sans tain, une grosse dame qui s’en venait. Dès qu’elle apparut dans le boudoir, une des visiteuses se leva, serra les mains, puis partit ; et le jeune homme suivit du regard, par les autres salons, son dos noir où brillaient des perles de jais.
Quand l’agitation de ce changement de personnes se fut calmée, on parla spontanément, sans transition, de la question du Maroc et de la guerre en Orient, et aussi des embarras de l’Angleterre à l’extrémité de l’Afrique.
Ces dames discutaient ces choses de mémoire, comme si elles eussent récité une comédie mondaine et convenable, répétée bien souvent.
Une nouvelle entrée eut lieu, celle d’une petite blonde frisée, qui détermina la sortie d’une grande personne sèche, entre deux âges.
Et on parla des chances qu’avait M. Linet pour entrer à l’Académie. La nouvelle venue pensait fermement qu’il serait battu par M. Cabanon-Lebas, l’auteur de la belle adaptation en vers français de Don Quichotte pour le théâtre.
— Vous savez que ce sera joué à l’Odéon l’hiver prochain !
— Ah ! vraiment. J’irai certainement voir cette tentative très littéraire.
Mme Walter répondait gracieusement, avec calme et indifférence, sans hésiter jamais sur ce qu’elle devait dire, son opinion étant toujours prête d’avance.
Mais elle s’aperçut que la nuit venait et elle sonna pour les lampes, tout en écoutant la causerie qui coulait comme un ruisseau de guimauve, et en pensant qu’elle avait oublié de passer chez le graveur pour les cartes d’invitation du prochain dîner.
Elle était un peu trop grasse, belle encore, à l’âge dangereux où la débâcle est proche. Elle se maintenait à force de soins, de précautions, d’hygiène et de pâtes pour la peau. Elle semblait sage en tout, modérée et raisonnable, une de ces femmes dont l’esprit est aligné comme un jardin français. On y circule sans surprise, tout en y trouvant un certain charme. Elle avait de la raison, une raison fine, discrète et sûre, qui lui tenait lieu de fantaisie, de la bonté, du dévouement, et une bienveillance tranquille, large pour tout le monde et pour tout.

Où j'en suis dans mon devoir

Au cours d'un bal , le regard de Georges Duroy est attiré par une femme mondaine .
Rédigez le portrait satirique de cette femme tel qu'il pourrait s'intégrer au roman de Maupassant



Pouvez-vous m'aidez SVP !!!



1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 28 sept. 2010
Oui je comprends tout à fait !


Mais je ne sais pas trop quoi dire ...

par exemple , si j'ai envie de la décrire , je peux la mettre en ''valeur'' et non la critiqué sur ce sujet ?

Pour la critique , j'avais pensé de dire qu'elle était belle a l'extérieur , mais qu'a l'intérieur , c'est tout le contraite , qu'elle n'a rien dans la tete


Peut-tu me dires si c'est bien comme idées ?

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