Les Misérables de Victor-Hugo

Publié le 30 oct. 2018 il y a 5A par julie457 - Fin › 3 nov. 2018 dans 5A
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Sujet du devoir

Bonjour à tous,
Je dois faire un commentaire sur Les misérables,Victor Hugo et je me pose c'est questions pour continuer d'avancer.Et aussi povez vous me donner des idées de plan sur ce texte.Merci de m'aider

Voici l'extrait: (Victor Hugo,Les misérables,1862)

A cette certaine heure où Cosette eut sans le savoir ce regard qui troubla Marius, Marius ne se douta pas que lui aussi eut un regard qui troubla Cosette.Il lui fit le même mal et le même bien.

Depuis longtemps déjà elle le voyait et elle l'examinait comme les filles examinent et voient, en regardant ailleurs. Marius trouvait encore Cosette laide que déjà Cosette trouvait Marius beau. Mais comme il ne prenait point garde à elle, ce jeune homme lui était bien égal.

Cependant elle ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il avait de beaux cheveux, de beaux yeux, de belles dents, un charmant son de voix quand elle l'entendait causer avec ses camarades, qu'il marchait en se tenant mal, si l'on veut, mais avec une grâce à lui, qu'il ne paraissait pas bête du tout, que toute sa personne était noble, douce, simple et fière, et qu'enfin il avait l'air pauvre, mais qu'il avait bon air.Le jour où leurs yeux se rencontrèrent et se dirent enfin brusquement ces premières choses obscures et ineffables que le regard balbutie, Cosette ne comprit pas d'abord. Elle rentra pensive à la maison de la rue de l'Ouest où Jean Valjean, selon son habitude, était venu passer six semaines. Le lendemain, en s'éveillant, elle songea à ce jeune homme inconnu, si longtemps indifférent et glacé, qui semblait maintenant faire attention à elle, et il ne lui sembla pas le moins du monde que cette attention lui fût agréable. Elle avait plutôt un peu de colère contre ce beau dédaigneux. Un fond de guerre remua en elle. Il lui sembla, et elle en éprouvait une joie encore tout enfantine, qu'elle allait enfin se venger.

Se sachant belle, elle sentait bien, quoique d'une façon indistincte, qu'elle avait une arme. Les femmes jouent avec leur beauté comme les enfants avec leur couteau. Elles s'y blessent. On se rappelle les hésitations de Marius, ses palpitations, ses terreurs. Il restait sur son banc et n'approchait pas. Ce qui dépitait Cosette. Un jour elle dit à Jean Valjean: «Père, promenons-nous donc un peu de ce côté-là.» Voyant que Marius ne venait point à elle, elle alla à lui. En pareil cas, toute femme ressemble à Mahomet. Et puis, chose bizarre, le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse. Ceci étonne, et rien n'est plus simple pourtant. Ce sont les deux sexes qui tendent à se rapprocher et qui prennent les qualités l'un de l'autre.

Ce jour-là, le regard de Cosette rendit Marius fou, le regard de Marius rendit Cosette tremblante. Marius s'en alla confiant, et Cosette inquiète. A partir de ce jour, ils s'adorèrent

Questions que je me pose
1/Quel sont les figures de style dans ce texte ?
2/Pourquoi ce texte est sous-jacent ?
3/Quels sont les procédés utiliser ?
4/Quel sont les idées principale et quelle est le but de ce texte?

Sinon bonne journée à vous et désolée pour les fautes d’orthographe

Où j'en suis dans mon devoir

NB: pour la 4 j'ai mis le regard ici révèle entre ses 2 personnages le véritable sentiment= l'amour

I-UN TEXTE ISSUE DU ROMANTISME

1)Un regard qui révèle le véritable sentiment

2)Le reve 

 




2 commentaires pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 30 oct. 2018

1) Des figures de style :

Les répétitions.

Les champs lexicaux, surtout celui du regard. Le combat (guerre/lutte/couteau)

Comparaison ( comme les enfants avec leur couteau)

Périphrase : ce beau dédaigneux

Opposition : confiant/inquiète

Gradation :  hésitations, ses palpitations, ses terreurs. 

julie457
julie457
Posté le 31 oct. 2018

Merci beaucoup 


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