récit d'un monde utopique

Sujet du devoir

Bonjour !

En français, je dois écrire deux pages sur le récit d'un monde utopique selon moi. Seulement, j'ai davantage l'impression que c'est une dissertation et non un récit... De plus, je suis un peu à court d'idées...

Pourriez - vous me donner votre avis ?

Merci d'avance !

Où j'en suis dans mon devoir

Pour l'instant j'ai écrit ça :

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Un jour où je me promenais dans un parc où les fleurs brillaient, où un arc – en ciel surplombait les collines, un long chemin bordé par des massifs de fleurs me conduisit à un magnifique banc en fer forgé où étaient posés des coussins de toutes les couleurs. Alors que je m’assis sur ce banc et que je fermai les yeux, je me mis à penser à un monde parfait, à un monde où il ferait bon vivre. Dans ce monde, la verdure et les arbres prendraient leurs aises : ces arbres atteindraient presque les nuages et l’abondance des fruits serait telle que dès qu’on les cueillerait, ils repousseraient presque instantanément, et ce tout au long de l’année. Tous les immenses immeubles, désormais ancrés dans le sol, ne gâcheraient pas la vue des magnifiques villes de ce monde. Les mers, océans et plages seraient conservées dans leur état naturel, à l’état sauvage.

La pollution et toutes les autres choses nocives pour l’environnement n’auraient pas leur place dans ce monde, Greta Thunberg ainsi qu’une grande partie de la population mondiale ne se battraient pas pour essayer de sauver la planète de même que les animaux et que les dernières ressources de la Terre.

La misère ne serait pas autorisée, les gens seraient tous solidaires, respectueux, ils ne porteraient ni jugements, ni atteinte envers les autres personnes. Tout le monde aurait de quoi se loger, de quoi s’alimenter, de quoi se laver, et le chômage ne serait plus de mise. Les enfants auraient tous la meilleure éducation possible et seraient tous scolarisé à la même échelle : il n’y aurait plus aucune différence entre école privée et école publique, le coût des écoles d’enseignement supérieur diminuerait fortement, offrant ainsi à chacun la possibilité de faire les études qu’il souhaite. Tout le monde serait égal, il n’y aurait ni discriminations entre riches et pauvres, ni aucune misère sociale, aucun harcèlement, moral ou physique, entre les jeunes ou les adultes car le harcèlement n’aurait pas sa place dans la société. Les personnes ayant un handicap quel qu’il soit auraient leur place et ne seraient plus mises à part ni jugées. Les cancers, ainsi que les autres maladies, ne tueraient personne en raison de leur inexistence, et, par conséquent, personne ne serait gravement malade. L’esclavage présent dans encore certains pays cesserait et il en serait de même pour les guerres. Les pays pauvres s’enrichiraient de toutes les manières possibles et auraient des logements très convenables, et il en serait de même pour la nourriture. Personne ne tuerait. Personne ne paierait d’impôts, de factures d’électricité, d’eau ou encore de gaz. Le racisme serait un mot inconnu, chacun aurait sa propre liberté de penser et d’agir, du moment que ces libertés n’ont aucune répercussion sur la vie des autres habitants de la Terre. Chaque pays serait très accueillant envers chaque personne voulant habiter dans un autre pays, et chaque voyageur n’aurait plus à se soucier des coûts de transport : la seule barrière serait donc la langue mais, si on y met du sien, cela s’apprend vite. Le partage serait donc la clé de la vie en société. De ce fait, tout le monde serait heureux, danserait, chanterait et bénéficierait d’une vie agréable tout en vivant en harmonie.

Les animaux, au même titre que les hommes, auraient eux aussi la vie sauve : on ne tuerait plus les éléphants ou les rhinocéros pour leurs défenses en ivoire, les animaux à la fourrure recherchée ne seraient également plus menacés. Les zoos se feraient désormais plus rares : il n’y en aurait plus beaucoup mais ceux qu’ils y auraient seraient grands de telle sorte à quand même éblouir les visiteurs : ainsi, les animaux sauvages en voie d’extinction comme les lions, les loups, les ours blancs, les gorilles ou encore les pandas géants se feraient moins nombreux en captivité et auraient une belle vie dans leur milieu naturel."