Repérage de figure de style

Publié le 30 oct. 2017 il y a 6A par Anonyme - Fin › 2 nov. 2017 dans 6A
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Sujet du devoir

Trouver les figures de style dans l'extrait suivant:

 

Rentré chez moi, je me mis à pleurer comme un enfant.

Il n’y a pas d’homme qui n’ait été trompé au moins une fois, et qui ne sache ce que l’on souffre.

Je me dis, sous le poids de ces résolutions de la fièvre que l’on croit toujours avoir la force de tenir, qu’il fallait rompre immédiatement avec cet amour, et j’attendis le jour avec impatience pour aller retenir ma place, retourner auprès de mon père et de ma sœur, double amour dont j’étais certain, et qui ne me tromperait pas, lui.

Cependant je ne voulais pas partir sans que Marguerite sût bien pourquoi je partais. Seul, un homme qui n’aime décidément plus sa maîtresse la quitte sans lui écrire.

Je fis et refis vingt lettres dans ma tête.

J’avais eu affaire à une fille semblable à toutes les filles entretenues, je l’avais beaucoup trop poétisée, elle m’avait traité en écolier, en employant, pour me tromper, une ruse d’une simplicité insultante, c’était clair. Mon amour propre prit alors le dessus. Il fallait quitter cette femme sans lui donner la satisfaction de savoir ce que cette rupture me faisait souffrir, et voici ce que je lui écrivis de mon écriture la plus élégante, et des larmes de rage et de douleur dans les yeux :

« Ma chère Marguerite, J’espère que votre indisposition d’hier aura été peu de chose. J’ai été, à onze heures du soir, demander de vos nouvelles, et l’on m’a répondu que vous n’étiez pas rentrée.

M. de G.., a été plus heureux que moi, car il s’est présenté quelques instants après, et à quatre heures du matin il était encore chez vous.

« Pardonnez-moi les quelques heures ennuyeuses que je vous ai fait passer, et soyez sûre que je n’oublierai jamais les moments heureux que je vous dois.

« Je serais bien allé savoir de vos nouvelles aujourd’hui, mais je compte retourner près de mon père.

« Adieu, ma chère Marguerite ; je ne suis ni assez riche pour vous aimer comme je le voudrais, ni assez pauvre pour vous aimer comme vous le voudriez.

Oublions donc, vous, un nom qui doit vous être à peu près indifférent, moi, un bonheur qui me devient impossible. « Je vous renvoie votre clef, qui ne m’a jamais servi et qui pourra vous être utile, si vous êtes souvent malade comme vous l’étiez hier. »

Vous le voyez, je n’avais pas eu la force de finir cette lettre sans une impertinente ironie, ce qui prouvait combien j’étais encore amoureux.

Je lus et relus dix fois cette lettre, et l’idée qu’elle ferait de la peine à Marguerite me calma un peu.

J’essayai de m’enhardir dans les sentiments qu’elle affectait, et quand, à huit heures, mon domestique entra chez moi, je la lui remis pour qu’il la portât tout de suite.

« Faudra-t-il attendre une réponse ? me demanda Joseph (mon domestique s’appelait Joseph, comme tous les domestiques).

— Si l’on vous demande s’il y a une réponse, vous direz que vous n’en savez rien et vous attendrez. » Je me rattachais à cette espérance qu’elle allait me répondre.

Pauvres et faibles que nous sommes !

Où j'en suis dans mon devoir

Bonjour,

Pouvez-vous m'aider à trouver les figures de styles dans l'extrait .

Merci.




2 commentaires pour ce devoir


Lola#0446
Lola#0446
Posté le 30 oct. 2017

Bonjour c'est facile il y a semblable

Anonyme
Posté le 30 oct. 2017

Mais encore?????

 

merci de ne poster sur les autres devoirs que si vous apportez vraiment une aide

même remarque pour lola 564 (modération)


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