DEVOIR PFEG - Le microcrédit

Publié le 25 mars 2015 il y a 9A par Anonyme - Fin › 4 avr. 2015 dans 9A
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Sujet du devoir

(Document 1) Le microcrédit personnel

Le microcrédit personnel est accordé aux personnes généralement exclues du système bancaire classique, du fait de leurs revenus trop faibles ou de la fragilité de leur situation professionnelle. Il a généralement pour objet l’acquisition de bien ou service permettant d’améliorer la situation de l’emprunteur à travers un projet personnel. Il est différent du microcrédit professionnel qui est accordé pour créer ou développer une activité professionnelle.

(Document 2) Sortir de la pauvreté grâce au microcrédit ? Pas sûr.

Le microcrédit semble miraculeux. Il consiste, dans les pays en développement, à accorder de petits prêts non garantis à des personnes pauvres auxquelles la plupart des banques ne s’intéressent pas.
Et ces modestes emprunteurs remboursent presque toujours leur dette (ainsi que les intérêts plutôt élevés) en temps et en heure, ce qui semble indiquer qu’ils utilisent cet argent de manière productive.
Les acteurs du secteur vantent son efficacité. Mohammad Yunus, fondateur de la Grameen Bank au Bangladesh et père de la microfinance, estime ainsi que 5 % des clients de cette institution sortent de la pauvreté chaque année.
Solution simple et pratique pour démarrer une activité, ce mode de financement ne garantit pas un succès durable à ceux qui y ont recours.

(Document 3) Microcrédit : pas sacré mais utile...

Quand Muhammad Yunus, le prix Nobel de la paix, avait publié Vers un monde sans pauvreté, il n’entendait pas sacraliser le microcrédit. Présenter celui-ci comme LA solution à tous les problèmes, comme ce fut souvent le cas ensuite, ne pouvait qu’exposer ce bel outil aux sarcasmes. Par exemple, le microcrédit est souvent critiqué pour le niveau élevé des taux d’intérêt pratiqués. Mais c’est un faux débat. La ressource financière coûte entre 8 % et 12 % aux institutions de microfinance

Elles doivent refacturer ce coût à leurs clients en plus du taux local d’inflation, généralement de 5 % à 10 %, avant même d’affecter les charges opérationnelles et le coût des programmes d’accompagnement social ! Il n’est pas surprenant que le taux moyen du microcrédit soit aujourd’hui de 26 %. Les vrais usuriers, eux, facturent du 200 %…

Dans quelques pays, des phénomènes de surendettement ont certes été observés. Cela ne révèle cependant pas un défaut intrinsèque du microcrédit, mais une défaillance de ses régulateurs locaux. Dans ces pays, les institutions de microfi nance pullulent en effet sans contrôle : il en existe ainsi 1 000 au Nicaragua ! S’il est correctement régulé, le microcrédit contribue bel et bien à l’intégration de ses bénéficiaires dans le tissu économique local.

Mais la critique a du bon. Dans le monde du microcrédit, on reparle d’impact social, et non plus seulement de clients, d’encours ou de taux de retour sur investissement. Tant mieux. Le rôle des opérateurs de microcrédit est de trouver le juste équilibre entre croissance, pérennité et impact social. La poursuite de l’essor de ce bel outil est à ce prix.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai quasiment fini le devoir seulement voilà, il me reste trois questions auxquelles je ne parviens pas à répondre. Ce sont les questions trois, huit et neuf.

3. Après avoir rappelé les différents types de flux et leurs définitions, vous expliquerez les flux qui sont générés par le micro-crédit.

8. Montrez que le micro crédit exerce à la fois un rôle social et un rôle économique.

9. Le marché de la microfinance ne provoque-t-il que des effets positifs ? Comment tenter d’éviter les effets pervers du système ?

Je bloque énormément là dessus alors s'il vous plaît aidez-moi, c'est l'un des seuls devoirs que je n'ai pas encore rendu. Merci d'avance.




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