Article de journal

Publié le 13 févr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 16 févr. 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

aprés le déraillement du train , un article parait dans la presse pour informer les lecteurs sur les circonstance de l'accident , les dégats et les victimes . L'article devra présenter des informations objective mais aussi apitoyer les lecteurs bien évidament le journaliste ne serait donner le même version que Zola qui procéde a une transfiguration de la rélaiter qui lui est propre , né en moin pour apitoyer le public , il utilise un style particulier avec des figures de styles. votre article comportera un titre , s'organisera en paragraphe et fera minimum 40 lignes . respectez l'époque fin 19 eme siécles , s'interéssé au victimes , a quel heure , la destination du train , causse du déraillement , s'appuyer sur le sensationnelle et l'horreur , utiliser des hyperbole et des gradations . chapitre 10 " la bête humaine , Zola "

Où j'en suis dans mon devoir

titre acrrocheur " Un déraillement apocalyptique " , j'ai lu la chapitre 10 de la bête humaine et fait un résumé de l'histoire .



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 13 févr. 2011
Bonjour lusitana27,

Peut être décrire des spectateurs en pleurent, des membres humains arrachés ou broyés, du sang qui bave des wagons basculés...
Ce colosse de fer broyé et éventré...

bon courage.
Anonyme
Posté le 13 févr. 2011
Je viens de lire un article de journal sur un déraillement de train en 1917 , cela ma donner des idées pour mon article . Merci pour ton aide ;)
Anonyme
Posté le 13 févr. 2011
je ne savais pas vraiment comment toucher le lecteur , mais avec de l'aide , j'ai réussie a écrire quelques lignes ;

UN DERAILLEMENT APPOCALYPTIQUE

Dans la nuit de mercredi à jeudi de la semaine dernière vers les vingt heures s'est produite sur la ligne du chemin de fer de Béziers a Clermont Ferrand , sur la ligne Béziers - Neussargues, a quelque km du viaduc de Garabit une catastrophe ce produit ce fameux 22 Décembre ..

Une terrible accident s'est produit alors que le train filait à 102km/h, c'est-à-dire à un moment où le mécanicien n'était plus maître de sa machine qu'il ne put arrêter qu'en gare de Clermont Ferrand .
L'enquête de police et les témoignages des victimes montrent que Cinq minutes avant d'arriver a la gare , le fourgon de tête, très léger, dérailla , les freins du train ne répondirent plus , La voiture de tête dérailla et éclata en heurtant le pilier de droite du second pont-route surplombant la voie. Toutes les autres voitures vinrent s’enchevêtrer en un inextricable amas de poutres tordues, de panneaux de bois éclatés, de chairs broyées. Un accordéon monstrueux se repliait. Les dix-neuf voitures s’encastrèrent sur trois cents mètres. Le toit d’un wagon passa par-dessus le pont de La Saussaz, des poutrelles, des axes d’essieu, des roues volèrent de tous côtés à trente mètres de là.le train fantôme passa en hurlant, perdant des corps disloqués, fracassés, pantelants, des indices montrent que le chauffeur de train a serré à mort les freins, mais rien n'a répondu, Il renversa alors la vapeur, des soupapes éclatérent, des torrents d’eau sous pression fusèrent, mais le convoi ne ralentit pas.
Le choc fut d'une violence inouïe. Les wagons se brisèrent, leurs débris formant un amas inextricable de fers et de bois tordus duquel, en pleine nuit, sortaient les cris d'appel au secours des malheureuses victimes. Dans le noir, enfouies sous les décombres, on distingue des masses lumineuses, des météores d’un rouge presque blanc. Ce sont les roues et les patins de freins. Puis des cris affreux s’élèvent. Jamais la mort n’a fait en un temps si court, une telle moisson. Du piège de fer, des ombres fantomatiques tentent de sortir. Des mains se tendirent, puis tombèrent en poussant des cris de terreur et des rafles éffroyables.
Près de la passerelle de pierre, une algue jaune rampe, glisse, crépite, monte… C’est le feu qui se déclare dans les wagons, provoqué par les réservoirs à gaz qui avaient été éventrés. " Lentement, je compris , que je n'étais pas bloqué sous les débris du wagon, je me rendis compte que j’avais la tête en bas et que j'étais suspendu par les jambes. Non sans efforts, j'arrivais à me rétablir et je pus me dégager, puis dans un état de demi-conscience, je franchis des obstacles, des poutres, des débris de banquette. Je marchai sur des corps dans le noir, je ne sais plus. Je n’avais qu’une idée, fuir, échapper. Mais déjà vers la gauche, vers ce qui était la tête du train, de grandes flammes s’élèvaient. Remontant la pente, le feu gagna les carcasses en quelques secondes, c’était l’enfer" nous raconte un survivant de ce terrible accident nocturne .
Un mur gigantesque, une muraille dantesque, sert de fond à cette tragédie. Les wagons écrasés, empilés, forment des cages monstrueuses. La clarté des flammes révèle des corps suspendus, mutilés. Au sol, il y a des morts partout sous une couche d’éclats de bois, de ferrailles tordues, de roues fumantes. Ceux que la flamme n’a pas encore atteints regardent avec effroi brûler leurs camarades de voyage .Les premiers secours furent apportés par des hommes, des femmes, des sapeurs-pompiers, quelques soldats sortent de la nuit , Ceux-ci, avec un courage et un dévouement admirables, s'employèrent à retirer des décombres fumants tous les passagers qu'ils purent approcher.
le train brûler toujours, il n’y a plus de cris, mais une affreuse odeur de chair brûlée et des explosions qui obligent les sauveteurs à reculer. Ces carcasses fumantes, ces alignements de corps calcinés, ces plaques de sang… ces femmes et ces enfants, blancs de froid, qui tentent l’impossible ne l'oublieront jamais .
La catastrophe dans la nuit du 22 au 23 décembre 1919, a fait 300 morts environ, 175 furent identifiés et 125 corps furent également enterrés sur place, dans la fosse communes aux victimes non identifiées. Cette affreux épisode restera graver dans nos mémoires ..

cela parait bien ?


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