Commentaire

En comparant une humanité (peut-être idéalisé)d'hommes sauvages sans besoin autre que ce que l'homme était capable de créer pour lui même et de ses mains avec une humanité qui a besoin de la force physique de l'autre pour s'accaparer un bien (blé, fer, or). L'égalité disparaît quand le désir de propriété et la propriété apparaissent. Arrivent l'esclavage et le labeur. La misère humaine croît avec les moissons.

Rousseau compare donc notre civilisation de propriétaires avec les Indiens d'Amérique qui se contentaient de ce que leur apportait la nature. Dialectiquement, Rousseau nous convainc par la comparaison de deux états de fait.

Tu as un extrait du discours sur internet.

Bon courage

Est ce qu'il convainc avec les deux formes d'inégalités puis les deux questions réfutées ???

Bonjour,
Je viens compléter les informations intéressante d'ego.L'homme à l'état de nature s'oppose à l'homme social sur pas mal de points. J.J.R est persuadé que l'homme à l'état naturel est bien meilleur que l'homme socialisé. Il nous explique de façon claire les caractères de l'homme sauvage et nous en montre ses côtés positifs.Celui-ci vit sans but, sans domicile, la nature lui appartient, il vit en symbiose avec celle-ci. Il n'a pas de langage, ni de code, ni de lois puisqu'il ne vit pas en sté. Ces seuls besoins sont de dormir, manger. Il n'a aucun contact.Il se suffit à lui-même puisqu'il capable de répondre lui seul à ses besoins.Il ne souhaite pas changer, progresse et son seul but est de suffire à lui même.
J.J.R nous fait ici un discours oratoire de grande éloquence et il essaie de nous convaincre : le bonheur de l'homme sauvage à l'état naturel et le malheur de l'Homme social.Il nous raconte l'épopée de l'âge d'or perdu et il insiste sur sa durée comme pour regretter cette période. Il s'appuie même sr quelques récits. Mais cela est quand même bien utopique de penser que le bonheur d'un homme est de vivre près de la nature sans aucun lien social. Il essaie de ns convaincre que l'homme peut vivre loin des techniques mais qu'il peut vivre simplement, sans luxure à l'état naturel. Il insiste sur cette notion de bonheur chez les hommes sauvages. Ils vivent en autarcie.L'auteur ns parle du malheur de l'homme civil, socialisé avec les progrès, le travail et l'entraide,la propriété qui naît de l'agriculture. JJR met cette notion de bonheur malheur en opposition. Il dénonce aussi la misère et l'injustice humaine.
Voilà j'espère t'avoir apporter quelques éclaircissements pour ton devoir. BON COURAGE