commentaire composé, extrait des misérables

Publié le 11 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 16 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Je dois rendre mon devoir bientôt mais j'ai de grosses difficultés en français et je n'arrive pas à trouver un plan et encore moins une problématique.Pouvez vous m'aider s'il vous plait ?

Etudiant pauvre, Marius a trouvé un logement dans un quartier déshérité de Paris. Intrigué par ses voisins- en qui le lecteur a reconnu les Thénardier- il s'aperçoit qu'il peut observer l'intérieur de leur logis par un trou dans le mur...
Il escalada la commode, approcha sa prunelle de la crevasse et regarda.

L'homme fauve au gîte





Les villes, comme les forêts, ont leurs antres où se cachent tout ce qu'elles ont de plus méchant et de plus redoutable. Seulement, dans les villes, ce qui se cache ainsi est féroce, immonde et petit, c'est-à-dire laid ; dans les forêts, ce qui se cache est féroce, sauvage et grand, c'est-à-dire beau. Repaires pour repaires, ceux des bêtes sont préférables à ceux des hommes. Les cavernes valent mieux que les bouges.
Ce que Marius voyait était un bouge.
Marius était pauvre et sa chambre était indigente ; mais, de même que sa pauvreté était noble, son grenier était propre. Le taudis où son regard plongeait en ce moment était abject, sale, fétide, infect, ténébreux, sordide. Pour tous meubles, une chaise de paille, une table infirme, quelques vieux tessons, et dans deux coins deux grabats indescriptibles ; pour toute clarté, une fenêtre-mansarde à quatre carreaux, drapée de toiles d'araignée. Il venait par cette lucarne juste assez de jour pour qu'une face d'homme parût une face de fantôme. Les murs avaient un aspect lépreux, et étaient couverts de coutures et de cicatrices comme un visage défiguré par quelque horrible maladie. Une humidité chassieuse y suintait. On y distinguait des dessins obscènes grossièrement charbonnés.
La chambre que Marius occupait avait un pavage de briques délabré ; celle-ci n'était ni carrelée, ni planchéiée ; on y marchait à cru sur l'antique plâtre de la masure devenu noir sous les pieds. Sur ce sol inégal, où la poussière était comme incrustée, et qui n'avait qu'une virginité, celle du balai, se groupaient capricieusement des constellations de vieux chaussons, de savates et de chiffons affreux ; du reste cette chambre avait une cheminée ; aussi la louait-on quarante francs par an. Il y avait de tout dans cette cheminée, un réchaud, une marmite, des planches cassées, des loques pendues à des clous, une cage d'oiseau, de la cendre, et même un peu de feu. Deux tisons y fumaient tristement.
Une chose qui ajoutait encore à l'horreur de ce galetas, c'est que c'était grand. Cela avait des saillies, des angles, des trous noirs, des dessous de toits, des baies et des promontoires. De là d'affreux coins insondables où il semblait que devaient se blottir des araignées grosses comme le poing, des cloportes larges comme le pied, et peut-être même on ne sait quels êtres humains monstrueux.
L'un des grabats était près de la porte, l'autre près de la fenêtre. Tous deux touchaient par une extrémités à la cheminée et faisaient face a Marius.

Où j'en suis dans mon devoir

Je sais qu'il y a une focalisation interne, mais que Hugo intègre aussi sa vision ( je sais pas vraiment comment le dire ). Je pense aussi qu'il faudrait intégrer la notion de réalisme et de subjectivité ( Thèse de champfleury )



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 11 mai 2010
Ben enfaite si tu a lut et compris le texte sa sera facile. L a j'ai pas le temps de lire le texte désolé la problematique sa sera exemple une probleme très conpréhensible et le plan sa sera vriament facile tu mais exemple
A/ les expression du recit
- Le registre pahtétique
ect... c'est une exemple bonne chance!!
Anonyme
Posté le 11 mai 2010

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